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1-10 of 15 results

  • Newspaper

    Usine à devoirs : la tricherie contractuelle deviendra illégale en Angleterre

    Royaume Uni

    Press

    - BBC News

    Selon la Quality Assurance Agency for Higher Education, plus de 1 000 usines à devoirs sont en service dans les universités britanniques. Le gouvernement a annoncé que toute proposition de rédaction aux étudiants contre rémunération deviendrait une infraction pénale au titre des plans de lutte contre la tricherie. Les universités ont accueilli favorablement cette décision et ont introduit des codes de conduite prévoyant des sanctions sévères en cas de soumission par un étudiant d’un travail qui n’est pas le sien.

  • Newspaper

    Le combat des universités contre l’industrie de la « triche contractuelle »

    Etats-Unis

    Press

    Jeffery R.Young - EdSurge

    Aux États-Unis, plusieurs universités s’efforcent de combattre la triche, en recourant à un logiciel sophistiqué de détection du plagiat, en engageant des poursuites contre les entreprises proposant, moyennant finance, des services de rédaction de thèses ou en interrogeant les étudiants soupçonnés de pratiquer une triche contractuelle. Au Canada, l’Academic Integrity Council of Ontario réunit deux fois par an les responsables d’université pour partager les meilleures pratiques. L’Australie et la Nouvelle-Zélande ont une approche juridique similaire : toute fraude peut entraîner jusqu’à deux ans d’emprisonnement et de lourdes amendes.

  • Newspaper

    Georgia Tech possède désormais un robot infiltré pour traquer les fraudes

    Etats-Unis

    Press

    Derek Newton - Forbes

    Depuis 2014, 15,7 % des étudiants américains ont reconnu avoir payé quelqu’un pour faire leurs devoirs. Des établissements comme Georgia Tech ont mis au point leur propre arme de lutte contre la fraude au contrat, sous la forme d’un robot. Sur les sites spécialisés, Jack Watson (c’est son nom) se fait passer pour un rédacteur ou quelqu’un susceptible de faire vos devoirs à votre place, contre rétribution. Lorsqu’un étudiant sélectionne ses services, le robot renvoie à l’élève un devoir rédigé par l’enseignant et comportant une « marque » secrète. Neuf étudiants ont d’ores et déjà été pris la main dans le sac.

  • Newspaper

    Le cœur battant des usines à thèses d’Afrique

    Kenya

    Press

    Jake Wallis - Mail Online

    Selon un informaticien expert des questions de triche contractuelle, le Kenya est devenu le centre du monde de la fraude universitaire. L’immense majorité des étudiants travaillent dans des usines à thèses qui sont ensuite fournies à des étudiants britanniques avec la garantie qu’elles sont exemptes de plagiat et parfaitement anonymes. Soucieuse de sévir contre ces pratiques et sous pression du gouvernement britannique, la société PayPal a annoncé le blocage des règlements en faveur de ces usines.

  • Promouvoir l’intégrité académique à l’université : L’action de l’IRAFPA au Monténégro

    News

    L’Institut International pour la Recherche et l’Action sur la Fraude et le Plagiat Académique (IRAFPA)* est aujourd’hui une institution de référence en matière d’intégrité scientifique – que ce soit par la pertinence de ses méthodologies d’intervention, de ses interventions comme médiateur et en accompagnement individuel, et par ses actions de certification institutionnelle.

  • Newspaper

    pour mettre fin au plagiat dans les travaux universitaires

    Royaume Uni

    Press

    - The Guardian

    Sollicités par l’organisme de surveillance des universités pour trouver des moyens de poursuivre les sites qui pratiquent le plagiat de publications savantes, les experts ont proposé un certain nombre de solutions face à ce problème grandissant, et notamment : rendre illégale l’offre de ce type de services ; réduire le nombre de contrôles des connaissances imposés aux étudiants ; préférer le contrôle continu à la rédaction de dissertations ; et permettre aux enseignants de mieux cerner les capacités de leurs élèves afin de détecter ce qui, dans les devoirs rendus, sort de l’ordinaire.

  • Newspaper

    Les « points chauds » de la fraude : réprimer le recours frauduleux à des tiers dans les universités

    Press

    Henrietta Cook - Sydney Morning Herald

    Les universités sont instamment priées de bloquer les sites Internet qui commercialisent des thèses, mais aussi de repérer les « points chauds » de la fraude et de publier des informations sur les cas de violation de l’intégrité académique. Face au phénomène grandissant du recours à des tiers (ou contract cheating), qui conduit des étudiants à sous-traiter les contrôles de connaissances, l’autorité australienne chargée de surveiller l’enseignement supérieur a dévoilé de nouvelles directives pour le combattre. Selon une enquête récente menée par un professeur associé de l’University of South Australia, qui a participé à l’élaboration de ces directives, 6 % des étudiants australiens pratiquent une forme de triche.

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