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Suite à un rapport de la Direction des affaires juridiques, le ministère de l'Éducation nationale d'Haïti a suspendu des employés impliqués dans des actes de corruption liés à la régularisation de documents tels que les diplômes et les certificats. Le ministère a rappelé que ce processus ne nécessitait qu'un seul reçu officiel, sans frais supplémentaires. Des mesures pour lutter contre la corruption ont été prises, telles que la fermeture d'un bureau corrompu et la mise en place de services de légalisation en ligne.

Une étude sur la disponibilité publique des politiques d'intégrité de la recherche dans les principales universités africaines a montré que seulement 20,67 % des 283 universités analysées disposaient de telles politiques, avec des lacunes importantes en Afrique du Nord et en Afrique centrale. La plupart des politiques étaient rédigées en anglais (87 %), avec de plus petites parties en arabe (9 %) et en français (4 %). Les résultats suggèrent que l'intégrité de la recherche est souvent négligée et non alignée sur les normes nationales.

Un rapport montre comment la corruption dans les secteurs de la santé et de l'éducation en Afrique empêche des millions d'enfants d'accéder à des services essentiels. Des problèmes tels que l'absentéisme des travailleurs et les frais informels se traduisent par des services moins nombreux et de moins bonne qualité. Par exemple, à travers toute l'Afrique, 24 % des enseignants étaient absents lors de visites inopinées. Le rapport exhorte les gouvernements à renforcer la transparence et la redevabilité pour remédier à ces inégalités.

La municipalité de Delhi a révoqué et licencié des fonctionnaires du département de l'éducation en raison d'irrégularités dans la distribution des bourses d'études en 2012-2013. Une enquête a révélé que de fausses identités avaient été utilisées pour détourner des fonds, et un inspecteur a été rétrogradé pour avoir conservé illégalement des fonds destinés aux uniformes et détourné des aides financières sur divers comptes.

La municipalité de Delhi a révoqué et licencié des fonctionnaires du département de l'éducation en raison d'irrégularités dans la distribution des bourses d'études en 2012-2013. Une enquête a révélé que de fausses identités avaient été utilisées pour détourner des fonds, et un inspecteur a été rétrogradé pour avoir conservé illégalement des fonds destinés aux uniformes et détourné des aides financières sur divers comptes .

Le Conseil de l'enseignement supérieur (CHE) a publié des lignes directrices à l'intention des universités publiques et privées concernant l'attribution de doctorats et de chaires honorifiques. Cette initiative répond aux préoccupations liées à l'utilisation abusive de titres honorifiques, qui peut susciter à la méfiance du public et diverses exploitations. Le CHE souligne l'importance d’évaluer et de vérifier rigoureusement les antécédents et le parcours des récipiendaires. Il préconise également de révoquer les titres honorifiques des personnes reconnues coupables de conduite criminelle ou contraire à l'éthique.

L'université du Botswana fait face à des accusations de mauvaise gestion et de malhonnêteté académique, notamment pour de faux diplômes de master, du favoritisme et de la fraude académique. Le vice-chancelier de l'université a rejeté ces allégations en les qualifiant de tentatives malveillantes de ternir la réputation de l'institution.

Le Secrétaire général pour l'éducation a demandé des poursuites plus rapides envers toutes les personnes impliquées dans des fraudes aux examens, avertissant que les retards pourraient encourager la récidive. Il préconise des mesures telles que l'individualisation des sanctions et l'inscription du nom des candidats sur les copies d'examen afin d'améliorer la redevabilité. Ces actions visent à prévenir les infractions telles que les candidats non-inscrits, la possession non autorisée de matériel et la modification des résultats.

Dans le Bihar et l'Uttar Pradesh, la faible volonté politique, les mauvais résultats scolaires et la pénurie d'enseignants poussent les étudiants à tricher pendant les examens. En 2023, les universités britanniques ont signalé 7 300 cas de plagiat dans les demandes d'inscription en licence, dont 765 en provenance de l'Inde. Les outils d'IA permettent désormais un plagiat sophistiqué, ce qui complique la détection. L'article préconise d'exploiter le potentiel de l'IA et de repenser les évaluations pour s'aligner sur les avancées technologiques plutôt que d’en interdire purement et simplement l’utilisation.