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1-10 of 38 results

  • Corruption-risk assessment of the Georgian higher education sector

    This report presents the main conclusions of a corruption-risk assessment of the higher education sector of Georgia, carried out by the UNESCO International Institute for Educational Planning (IIEP) at the request of the Prime Minister’s Office of...

    Poisson, Muriel; Hallak, Jacques

    Paris, UNESCO-IIEP, 2018

  • How corruption destroys higher education in Ukraine

    This paper addresses the issue of corruption in higher education in Ukraine and its negative impact on universities. This paper discusses factors of external pressure on the higher education sector, which may be found in such areas as changes in...

    Osipian, Ararat L.

    Bucharest, NEC Publishing, 2018

  • Newspaper

    Un rapport du SERAP lève le voile sur les pratiques délibérément ignorées de corruption et de harcèlement sexuel dans les universités

    Nigéria

    Press

    Davidson Iriekpen - This Day

    Un nouveau rapport du Socio-Economic Rights and Accountability Project (SERAP) révèle comment la plupart des allégations de corruption dans les universités fédérales du Nigéria n’ont jamais donné lieu à des enquêtes sérieuses ni à des sanctions. Sous le titre ‘Stealing the future: How federal universities in Nigeria have been stripped apart by corruption’ (Un avenir dérobé : comment les universités fédérales du Nigéria ont été laminées par la corruption), le rapport affirme que « l’impunité dont a bénéficié un système universitaire corrompu a sapé la gouvernance des universités fédérales et la qualité de l’enseignement dispensé. »

  • Newspaper

    Le futur président de la meilleure université du pays créé la polémique

    Taiwan Chine

    Press

    Mimi Leung - University World News

    Le candidat pressenti pour la présidence de la meilleure université de Taiwan à l’issue d’un processus de sélection organisé en janvier aurait dû prendre son poste au 1er février. Mais courant janvier, des révélations ont montré qu’il occupait la fonction d’administrateur indépendant du conseil d’une entreprise privée dont le vice-président siège au comité de sélection de l’université. Sa prise de fonction a donc été suspendue. L’homme est par ailleurs accusé de plagiat pour un document présenté lors d’une conférence organisée en mai 2017, même si l’université a fait savoir, fin janvier, qu’elle ne lancerait pas d’enquête officielle à ce sujet.

  • Newspaper

    Le vice-recteur accusé d’avoir abusivement accordé un diplôme à l’ancienne première dame du pays

    Zimbabwe

    Press

    Kudzai Mashininga - University World News

    Le vice-recteur de l’université du Zimbabwe vient d’être arrêté pour avoir attribué « de manière corrompue » en 2014 un diplôme de docteur en philosophie à l’ancienne première dame du pays. Un autre professeur de la même université, censé avoir supervisé les travaux de cette « étudiante », est également sous le coup d’une enquête. Depuis 2014, des rumeurs circulaient sur la validité de ce doctorat mais aucune action n’avait été engagée à l’encontre de l’épouse du président du pays. Il a fallu atteindre novembre dernier et la démission forcée de l’ancien homme fort du Zimbabwe pour que les choses changent.

  • Newspaper

    En Croatie, un haut magistrat poursuit la commission nationale d’éthique qui l’accuse de plagiat

    Croatie

    Press

    Mićo Tatalović - Science

    En Croatie, un haut magistrat poursuit la commission nationale d’éthique qui l’accuse de plagiat
    L’un des juges les plus haut placés de Croatie rend coup pour coup après avoir été accusé de plagiat par la commission nationale d’éthique. Le président de la Cour constitutionnelle de la république de Croatie a annoncé la semaine dernière avoir lancé une procédure pénale à l’encontre des cinq membres du Comité pour l’éthique dans la science et l’enseignement supérieur (CESHE), lequel avait conclu que la thèse de doctorat soutenue par le magistrat en 2013 sur les droits de l’enfant dans la législation de l’Union européenne et de la Croatie contenait de nombreuses « citations tronquées et floues » de travaux d’autres universitaires.

  • Newspaper

    L’impunité explique la corruption omniprésente sur les campus ukrainiens

    Ukraine

    Press

    Tetiana Kuznetsova - UNIAN

    L’opinion publique s’est déchaînée sur les réseaux publics tout au long du weekend contre une décision de justice annulant la suspension du recteur d’une faculté de médecine de Kiev. Il n’est pas rare en Ukraine que les tribunaux prennent le parti des recteurs, doyens et autres professeurs qui, en plus d’être impliqués dans des scandales et des batailles avec l’administration, sont ouvertement corrompus. Les lourdes peines prévues en cas de corruption avérée, qui peuvent aller jusqu’à cinq à sept ans d’emprisonnement, ne semblent pas dissuader ceux qui se laissent tenter puisque, très souvent, ils bénéficient d’une totale impunité.

  • Newspaper

    Quand Photoshop facilite la fraude scientifique

    Pays-Bas

    Press

    Maxie Eckert, Sijn Cools - Standaard

    L’université catholique néerlandophone de Louvain, la KU Leuven, analyse actuellement une vingtaine d’articles, produits entre 1999 et 2013, pour y déceler d’éventuelles images frauduleuses. Deux articles viennent d’être retirés et un officiellement corrigé. L’enquête de la commission pour l’intégrité académique est pratiquement achevée. Les articles en question concernent les sciences biomédicales. Trois enseignants de l’université figurent comme co-auteurs de plusieurs articles incriminés, souvent rédigés en collaboration avec des collègues d’établissements étrangers.

  • Newspaper

    L’affaire du PhD : un responsable de l’université bientôt jugé

    Zimbabwe

    Press

    Kudzai Mashininga - University World News

    Un tribunal de Harare a estimé que le vice-recteur de l’université du Zimbabwe allait devoir s’expliquer pour avoir attribué en 2014, « moyennant finances », un diplôme de philosophie à l’ancienne première dame du pays. Cette décision intervient alors que le département pour la science et la technologie du ministère de l’Enseignement supérieur et tertiaire a porté plainte auprès du procureur général, estimant que la justice n’avait rien à avoir dans cette affaire qui relève du sénat ou du conseil universitaires.

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