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  • Newspaper

    Une nouvelle loi prévoit des peines d’emprisonnement pour les fournisseurs de services facilitant la triche

    Australie

    Press

    Geoff Maslen - University World News

    Le ministre de l’Éducation a annoncé que la vente de services facilitant la triche aux étudiants des universités australiennes était désormais passible de deux ans de prison ou d’une amende pouvant atteindre 100 000 AUS. Quant aux étudiants tricheurs, ils seront soumis aux politiques d’intégrité et aux sanctions prévues par leur université. La Tertiary Education Quality and Standards Agency aura toute autorité pour demander l’application de mesures légales afin d’obliger les fournisseurs d’accès à Internet et les moteurs de recherche à bloquer les sites proposant des services facilitant la triche.

  • Promouvoir l’intégrité dans l’enseignement général et l’enseignement supérieur du Koweït

    News

    À l’invitation de la Nazaha, l’autorité koweïtienne de lutte contre la corruption, l’IIPE a participé à un atelier de renforcement des capacités intitulé «Promouvoir l’intégrité dans le système éducatif».

  • Newspaper

    Quatre universités vont recourir à la blockchain pour authentifier les certificats

    Indonésie, Malaisie

    Press

    - University World News

    Dagang Net Technologies Sdn Bhd vient de signer un mémorandum d’accord avec quatre universités d’Indonésie pour le déploiement de son application web de blockchain, Dagang Net eScroll. Le but est de permettre aux employeurs, aux diplômés, aux universités et aux instituts de formation d’authentifier les certificats universitaires et les attestations de formation. L’application fournit un certificat unique signé et horodaté à l’épreuve de toute tentative de falsification, contrairement aux documents papier traditionnels.

  • Newspaper

    Fraude dans l’éducation

    Pakistan

    Press

    - Daily Times

    Pour combler l’écart entre la demande et une offre toujours plus nombreuse, de nombreux acteurs du secteur de l’enseignement supérieur semblent adeptes du principe « trichez, faute de mieux ». Le Sud du Pendjab a été touché par un phénomène de fraude académique. À Alipur, un établissement rattaché à une célèbre chaîne d’universités a prétendu faire partie de la GC University, à Faisalabad. De nombreux étudiants ont versé de l’argent pour s’y inscrire, alors que le site de la GC Université ne le mentionne pas dans ses établissements affiliés. Les étudiants lésés se sont tournés vers l’administration pour porter plainte. Mais les établissements bénéficient du soutien de seigneurs féodaux locaux.

  • Newspaper

    La flambée des inscriptions d’étudiants étrangers oblige les universités à renforcer leurs mesures anti-triche

    Canada

    Press

    Heather Rivers - Woodstook Sentinel Review

    Face à une flambée des inscriptions d’étudiants étrangers, doublée d’une hausse des cas d’inconduite universitaire, comme le plagiat ou le recours à des supports interdits pendant les examens, le St. Clair College de Windsor vient de créer un poste de coordinateur de l’intégrité académique. Le Fanshawe College, qui a enregistré 852 délits universitaires en 2016-18, puis 907 l’année suivante, envisage de suivre son exemple.

  • Newspaper

    Combien coûte un diplôme de doctorat ?

    Arabie saoudite

    Press

    Tariq A. Al-Maeena - Saudi Gazette

    Le ministère de l’Enseignement supérieur vient de recenser 110 officines commercialisant des faux diplômes d’universités étrangères. Un diplôme bidon de licence ou de mastère coûte entre 3 000 et 30 000 riyals saoudiens, le prix pouvant atteindre jusqu’à 90 000 riyals pour un diplôme de doctorat d’une université occidentale. Les titres fournis par ces usines à diplômes proviennent d’établissements qui proposent des cours non conformes aux normes approuvées ou le font simplement contre des virements sur un compte offshore. Des mesures ont été prises pour repérer ces officines.

  • Newspaper

    Une parlementaire du Bangladesh avait payé huit personnes pour passer des examens à sa place

    Bangladesh

    Press

    - BBC News

    Une député, qui occupe l’un des 50 sièges réservés aux femmes au sein du parlement du Bangladesh, vient d’être exclue de l’université pour avoir embauché huit personnes censées passer des examens à sa place. Selon le vice-recteur de l’Open University, l’inscription de la député a été annulée et celle-ci ne pourra plus jamais se représenter à un examen dans cette université.

  • Newspaper

    L’administration présente ses excuses pour avoir obligé des étudiants indiens à s’enfermer dans des boîtes en carton pendant les examens

    Inde

    Press

    - BBC News

    Le directeur d’un établissement pré-universitaire a présenté ses excuses aux responsables du district pour avoir tenté d’utiliser une technique inhabituelle de lutte contre la triche : les élèves devaient s’enfermer dans une boîte en carton, ouverte sur le devant, pour éviter toute tentation de copier sur leurs voisins. Un directeur adjoint du conseil local de l’enseignement pré-universitaire a jugé cette pratique « inhumaine » et indiqué qu’il envisageait des mesures disciplinaires contre les responsables de l’établissement concerné.

  • Newspaper

    Malgré des rappels, l’université de Mumbai n’utilise pas l’outil de détection du plagiat de l’UGC

    Inde

    Press

    Priyanka Sahoo - Hindustan Times

    L’université de Mumbai décerne chaque année plus de 350 diplômes de doctorat, sans procéder à aucun test de détection du plagiat. Alors que le logiciel URKUND est mis à disposition gratuitement par l’University Grants Commission (UGC), l’université ne s’en est pas encore servi. Selon les règles de l’UGC, plus de 10 % de similitudes entre deux textes sont un signe de plagiat ou de copie pure et simple.

  • Newspaper

    Des enseignants parmi la bonne centaine d’employés du ministère de l’Éducation licenciés dans les ex-Fata

    Pakistan

    Press

    Mohammad Ashfaq - Dawn

    Le ministère de l’Enseignement primaire et secondaire a mis fin au contrat de 104 enseignants et autres employés dans les anciennes régions tribales du pays (Fata) au motif qu’ils avaient falsifié leurs diplômes ou déserté leur poste pour des périodes prolongées au cours des 20 dernières années. Le ministère va réexaminer tous les titres et diplômes universitaires des employés dans les régions tribales.

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