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  • Newspaper

    L’université de Macquarie annule les diplômes d’étudiants surpris en train d’acheter des mémoires sur le site frauduleux MyMaster

    Australie

    Press

    Lisa Visentin - The Sydney Morning herald

    L’université de Macquarie a annulé le diplôme de deux étudiants et empêché une dizaine d’autres d’obtenir le leur, suite à une enquête indépendante qui a révélé que ces étudiants s’étaient servis d’un service de rédaction en ligne pour faire leurs travaux. La Northern Sydney University a conclu récemment une enquête interne sur l’entreprise frauduleuse MyMaster à laquelle près de 1 000 étudiants de 16 universités ont acheté en ligne leurs mémoires ou épreuves d’examens en ligne.

  • Newspaper

    Les universités doivent limiter le nombre doctorants par directeurs de thèse et contrôler le plagiat

    Inde

    Press

    Basant Kumar Mohanty - The Telegraph, India

    Dans le cadre d’une tentative pour réduire les lacunes dans la recherche, les universités pourraient s’attirer des pénalités, y compris le gel des subventions, si l’on découvre que leurs enseignants encadrent plus de 8 doctorants en même temps. La commission des subventions universitaires demandera à toutes les universités de mettre en place des logiciels anti-plagiat pour s’assurer que tout mémoire de thèse soit basé sur de véritables recherches, vu que certaines agences proposent aux étudiants d’écrire leur thèse pour eux contre rémunération.

  • Newspaper

    Les plus grandes universités sévissent contre les fraudeurs qui utilisent le service de rédaction « MyMaster »

    Australie

    Press

    Jean Kennedy - ABC

    Plusieurs universités de Sydney éclaboussées par un scandale de tricherie lié à l’utilisation d’un service de rédaction en ligne par certains de leurs étudiants ont décidé de réagir et de sévir contre cette nouvelle façon de frauder. Le vice-président de l’Université de Sydney a déclaré qu’il dirigerait lui-même un groupe de travail pour mener l’enquête sur ces nouvelles méthodes de fraude au sein de l’université.

  • Newspaper

    L’homme qui aidait les étudiants à tricher

    Royaume Uni

    Press

    Andrew Bomford - BBC

    La plupart des étudiants sont prêts à travailler dur, faire de leur mieux et en accepter les conséquences. Mais pour tous ceux qui ne voient pas pourquoi ils se fatigueraient, il existe une foule de rédacteurs prêts, moyennant finances, à les aider. Les universités ont réagi à cette menace en tâchant de modifier les modalités d’évaluation des étudiants. De plus en plus souvent, ces derniers doivent défendre oralement leurs travaux, devant un groupe, ou répondre aux questions posées par leurs enseignants.

  • Newspaper

    La qualité des « usines à mémoires » rend la supercherie indécelable

    Australie

    Press

    Chris Havergal - Times Higher Education

    Les étudiants qui trichent en recourant à des usines à mémoires sont « pratiquement indétectables », selon une recherche qui a constaté que bon nombre de mémoires rédigés par des scribes rémunérés obtiendraient de bonnes notes s’ils étaient présentés. Une chargée de cours associée en histoire à l’université de New South Wales a testé des sites payants de rédaction de mémoires, en commandant 13 travaux qu’elle a ensuite soumis à des universitaires de renom convaincus qu’ils avaient entre les mains des textes de véritables étudiants. Les résultats sont « inquiétants », puisque la qualité des mémoires achetés est « meilleure que prévu » de sorte que le recours à ces services payants est sans doute « beaucoup plus fréquent » qu’on ne le pensait jusqu’ici.

  • Newspaper

    Au cœur des « usines à thèses » qui font le travail à la place des étudiants

    Royaume Uni

    Press

    Guy Kelly - the Telegraph

    Selon des estimations, l’« industrie de la rédaction de thèses professionnelles », qui propose de réaliser, moyennant finances, n’importe quel devoir, quel que soit le niveau, représenterait désormais un marché de plus de 100 millions de livres. Chaque année, des dizaines de milliers d’étudiants inscrits dans les universités britanniques font appel à ces services. Si, au début, il s’agissait surtout d’étudiants étrangers soucieux de produire un travail rédigé dans un bon anglais, la tendance gagne également les jeunes Britanniques. En deux ans, l’un des poids lourds du secteur a vu le nombre de clients britanniques augmenter d’un cinquième.

  • Newspaper

    pour mettre fin au plagiat dans les travaux universitaires

    Royaume Uni

    Press

    - The Guardian

    Sollicités par l’organisme de surveillance des universités pour trouver des moyens de poursuivre les sites qui pratiquent le plagiat de publications savantes, les experts ont proposé un certain nombre de solutions face à ce problème grandissant, et notamment : rendre illégale l’offre de ce type de services ; réduire le nombre de contrôles des connaissances imposés aux étudiants ; préférer le contrôle continu à la rédaction de dissertations ; et permettre aux enseignants de mieux cerner les capacités de leurs élèves afin de détecter ce qui, dans les devoirs rendus, sort de l’ordinaire.

  • Newspaper

    La QAA aide les universités à lutter contre le recours frauduleux à des tiers

    Royaume Uni

    Press

    Brendan O'Malley - University World News

    L’organisme indépendant chargé du contrôle de la qualité dans l’enseignement supérieur au Royaume-Uni, la QAA, vient de publier de nouvelles directives sur la manière de combattre le recours frauduleux à des tiers (ou contract cheating) par des étudiants qui, moyennant finance, font exécuter par une entreprise ou un particulier un travail qu’ils s’attribueront ensuite. On qualifie souvent d’« usines à thèses » ces structures, qui utilisent en général Internet pour vanter leurs services et récupérer des commandes, mais elles peuvent aussi effectuer des recherches pour leur client, faire ses exercices ou passer des examens à sa place. L’agence souligne « qu’aucune donnée britannique ne permet de corroborer » l’idée assez répandue selon laquelle cette forme de triche serait plus fréquente chez les étudiants étrangers que chez les étudiants britanniques.

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