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1-7 of 7 results

  • Predatory publishing

    Much has been written about ‘predatory publishing’ over the past decade. In this discussion document, COPE will describe the basic phenomenon, identify the key issues, describe the impact on the various stakeholders involved, analyse proposed...

    Hampshire, Committee on Publication Ethics, 2019

  • Newspaper

    Des universités d’Ottawa et du Canada sous la coupe de revues prédatrices

    Canada, Inde

    Press

    Tom Spears - Ottawa Citizen

    Des scientifiques de l’université d’Ottawa, de l’Ottawa Hospital et d’autres institutions supérieures de renom dans tout le Canada continuent de publier leurs résultats dans des revues scientifiques bidon, entachant les travaux menés malgré des années de mise en garde. Un éditeur scientifique historique rappelle que tous les travaux ayant donné lieu à ces études sont « tout simplement passés par pertes et profits ». Encore naguère, le poids des revues « prédatrices » était difficile à mesurer. L’un des géants de l’édition scientifique falsifiée, OMICS International (une société indienne), vient de peaufiner son outil de recherche qui analyse 700 revues scientifiques. Des centaines de chercheurs canadiens ont publié récemment des articles par le biais de cette société – celle-là même qui a accepté un article de notre journal analysant la capacité des cochons à s’envoler…

  • Newspaper

    Des chercheurs néerlandais recyclent leurs textes

    Pays-Bas

    Press

    Debora Weber-Wulff - Copy, Shake, Paste

    Le 24 septembre 2017, le journal néerlandais de Volkskrant indiquait qu’un groupe de chercheurs de Nimègue enquêtait sur des cas d’auto-plagiat (zelfplagiaat). Le groupe, composé de doctorants placés sous la houlette de leur enseignant en sociologie des sciences, a analysé 922 publications récentes de chercheurs du pays. En économie, 14 % des articles reprenaient des textes tirés de publications précédentes de l’(des) auteur(s), contre 5 % en psychologie. Le groupe a découvert dans le même numéro d’une revue un article republié tel quel, à un changement minime près, et deux autres articles quasiment identiques du même auteur. Il a également constaté que plus les chercheurs publient, plus ils ont tendance à recycler leurs textes.

  • Newspaper

    « Publier ou périr » : la faille éthique de cet impératif

    Press

    Julius Kravjar and Marek Hladík - University World News

    Savez-vous ce qu’on entend par des éditeurs ou des revues « prédateurs » ? Il s’agit d’individus ou d’entreprises qui publient, moyennant finance, des travaux non soumis à l’examen des pairs. Ils sont de plus en plus nombreux. Le blog Scholarly Open Access a établi une liste des éditeurs et des revues potentiellement « prédateurs » qui publient en accès ouvert.

  • Newspaper

    Le marché noir des travaux universitaires : l’inquiétude des éditeurs

    Royaume Uni

    Press

    - The Conversation

    Le mouvement en faveur du libre accès est né de l’idée que des travaux de recherche financés sur fonds publics devaient être accessibles à tous. Des milliers de revues sont accessibles librement mais rares ont le prestige voulu pour les universités. S’ils veulent faire carrière, les chercheurs ne peuvent pas faire l’économie de publier leurs articles dans des revues prestigieuses, même s’ils n’ont pas toujours les moyens de lire leurs propres travaux. La plupart déploient des trésors d’ingéniosité pour consulter les articles sans avoir à débourser les quelque 30 dollars de droits de consultation imposés par la plupart des éditeurs.

  • Newspaper

    Une étudiante met en ligne 50 millions d’articles de recherche… consultables gratuitement

    Press

    - Washington Post

    Une étudiante de troisième cycle de 27 ans, originaire du Kazakhstan, gère une base de donnes en ligne réunissant près de 50 millions d’articles universitaires dérobés aux revues scientifiques, qu’elle prive ainsi de leurs 10 milliards de dollars de droits de péage annuels. Elle s’est débrouillée pour échapper aux poursuites d’un juge fédéral lequel avait, à la fin de l’an dernier, prononcé une injonction contre son site, soulignant que les dommages pourraient s’élever à 150 000 dollars par article.

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