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Pour tenter de promouvoir la transparence et éliminer la corruption et la fraude dans les universités, le Ministère indien de l'éducation est en train de rédiger des lignes directrices qui obligeront pour la première fois les institutions privées d'enseignement supérieur à rendre leurs comptes publics.

Des versements irréguliers d'allocations, de primes, de retraites majorées à certains membres du personnel universitaire pendant plusieurs années ont été révélées par un rapport de l'observatoire des dépenses publiques irlandais, le Contrôleur et l'Auditeur général.

Un nouveau rapport gouvernemental sur les techniques d'admission dans les établissements d'enseignement supérieur privés, révèle des cas de responsables universitaires poussant les candidats à s'inventer des enfants et à dissimuler leurs ressources financières afin de collecter davantage de fonds fédéraux.

Selon les experts, la crise financière mondiale a mis l'accent sur l'importance de la transparence et des responsabilités en matière de finances publiques, ce qui a permis d'obtenir des révélations sur les contributions.

Les établissements d'enseignement supérieur, les universités et les autres organismes universitaires ont reçu des membres du Congrès à peine moins de 2 milliards de dollars à titre de subventions au cours de l'exercice fiscal 2010, comme le montre une analyse interne de l'enseignement supérieur. Les crédits réservés sont souvent qualifiés par dérision de « dépenses électoralistes », car ils reflètent les efforts des législateurs pour s'attirer la reconnaissance (et, partant, les suffrages) de leurs électeurs.

Un rapport de la Banque mondiale intitulé « Indicateurs du développement de l'Afrique 2010 » a conclu que cette corruption dite « silencieuse » à laquelle sont confrontés les citoyens ordinaires porte atteinte aux efforts de développement du continent ainsi qu'aux rentrées d'investissements.

Le Ministre de l'enseignement supérieur et des universités, des Centres universitaires régionaux et de la recherch scientifique, a menacé de fermer l'école polytechnique de Thiès, si les professeurs continuent à ignorer l'interdiction du Gouvernement d'offrir des cours de soutien payants pendant la journée, selon la presse.