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1-10 of 30 results

  • Newspaper

    Contrôler le versement des fonds UBE pour éviter la corruption

    Nigéria

    Press

    Azeezat Adedigba - Premium Times

    Un avocat confirmé et défenseur des droits de l’homme appelle à un contrôle et une utilisation plus efficaces des ressources du Fonds pour l’éducation universelle de base (UBE). Cette subvention annuelle du gouvernement fédéral est censée aider les États à moderniser leurs écoles primaires et offrir ainsi à tous les écoliers du pays une éducation de qualité. Le militant entend alerter sur les risques très probables de détournement par des politiciens désespérément en quête de liquide pour acheter des votes en vue des prochaines élections générales du pays. Il a rappelé que la Banque mondiale avait accordé au Nigéria 611 millions de dollars (219 milliards de nairas) pour financer ce dispositif.

  • Pour des codes de déontologie efficaces dans les établissements d’enseignement supérieur

    News

    L’IIPE et allé à la rencontre de jeunes professionnels d’Allemagne, de Géorgie, du Moldova et d’Ukraine à l’université de Duisburg et Essen.

  • Newspaper

    Le NSFAS, l’université WSU et Intellimali sommés par les députés de justifier le versement de 14 millions de rands sur le compte d’un étudiant

    Afrique du Sud

    Press

    Thabo Mokone - Times Live

    Les députés ont rejeté la défense de l’université Walter Sisulu, du prestataire de services Intellimali et du NSFAS qui plaident « l’erreur » dans le versement de 14 millions de rands sur le compte d’un étudiant. Les trois entités sont dans la ligne de mire des députés, tous partis politiques confondus, certains soupçonnant Intellimati d’avoir porté trop rapidement des accusations criminelles à l’encontre de l’étudiant, alors que le rôle de ses employés n’a fait l’objet d’aucune enquête. Les députés ont également demandé au ministère de l’Enseignement supérieur de revoir le NSFAS, ce régime d’aides financières aux étudiants, et le dispositif de versement d’allocations de subsistance par les universités, rappelant que rien ne justifiait le recours à des « intermédiaires » pour distribuer les milliards de rands prévus à cet effet.

  • Newspaper

    Les universités ne disposeront plus d’argent liquide avec les fonds UGC

    Inde

    Press

    Deepika Burli - The Times of India

    Les universités à travers tout le pays risquent désormais de ne plus recevoir d’argent liquide et d’être obligées d’utiliser des virements bancaires, des chèques et des cartes de crédit pour percevoir les fonds périodiques de la Commission d’allocation des subventions aux universités (UGC), qui a déclaré que cette mesure avait pour but d’accroître la redevabilité, la transparence et la clarté dans le processus de transfert des subventions. La Commission a déclaré qu'elle a pratiquement supprimé les paiements en argent liquide et a réduit l'interface entre les parties prenantes et les employés de l'organisation.

  • Newspaper

    Le gouvernement « extrêmement préoccupé » par les 82 000 livres sterling versées au directeur d’une académie pour 15 semaines de travail

    Royaume Uni

    Press

    Rachael Pells - Independant

    Selon un rapport qui a fait l’objet d’une fuite, le gouvernement serait « extrêmement » préoccupé par le salaire versé par une académie à son directeur, qui dépasse les 82 000 livres pour 15 semaines de travail. L’enquête conduite en juin et en juillet cette année a également révélé que la Wakefield City Academy était incapable de présenter la liste des étudiants bénéficiaires de primes spéciales (des fonds supplémentaires alloués pour favoriser la réussite des élèves défavorisés).

  • Newspaper

    Enquête du ministère sur de l’argent perçu illégalement par les écoles

    Kenya

    Press

    Ouma Wanzala - Daily Nation

    Le ministère de l’éducation enquête sur plusieurs écoles accusées d’avoir gonflé leurs chiffres d’inscriptions pour pouvoir bénéficier frauduleusement de fonds pour l’enseignement gratuit. Le secrétaire de cabinet a averti que des mesures seront prises contre tout individu impliqué dans ce scandale, et que de telles pratiques sont des infractions criminelles punissables par la loi. Le rapport du vérificateur général concernant les rapports de gestion de 2013/2014 indique que le gouvernement a perdu des millions de shillings de dotation forfaitaire par élève dans des écoles publiques à cause de chiffres d’inscriptions gonflés.

  • Newspaper

    Uhuru ordonne un audit sur l’argent versé en espèces pour l’éducation

    Kenya

    Press

    Henry Wanyama - The Star

    Le Président a ordonné un audit sur la façon dont les écoles primaires et secondaires ont dépensé les milliards qu’elles ont reçu en espèces au titre de l’enseignement gratuit ces trois dernières années. Les fonds pour l’enseignement primaire gratuit (FPE) ont été versés pour la première fois en 2003, avec un montant de Sh 1 020 par enfant et par an. En 2014, le gouvernement du Jubilé a augmenté le FP à Sh 1 420, pour un nombre d’enfants inscrits estimé à environ 10 millions dans 23 000 écoles primaires. Le coût annuel s’élève à Sh14 milliards.

  • Newspaper

    Les universités doivent limiter le nombre doctorants par directeurs de thèse et contrôler le plagiat

    Inde

    Press

    Basant Kumar Mohanty - The Telegraph, India

    Dans le cadre d’une tentative pour réduire les lacunes dans la recherche, les universités pourraient s’attirer des pénalités, y compris le gel des subventions, si l’on découvre que leurs enseignants encadrent plus de 8 doctorants en même temps. La commission des subventions universitaires demandera à toutes les universités de mettre en place des logiciels anti-plagiat pour s’assurer que tout mémoire de thèse soit basé sur de véritables recherches, vu que certaines agences proposent aux étudiants d’écrire leur thèse pour eux contre rémunération.

  • Newspaper

    Les chiens de garde de l’enseignement supérieur mordent rarement

    Etats-Unis

    Press

    Andrea Fuller ; Douglas Belkin - The Wall Street Journal

    Les organismes d’accréditation maintiennent ouverts des centaines d’établissements malgré leur faible taux de réussite, ou le non remboursement de leurs emprunts. La plupart des établissements d’enseignement supérieur ne peuvent rester ouverts sans l'approbation officielle d’un organisme d’accréditation, indispensable pour que leurs étudiants obtiennent des prêts ou des bourses du Gouvernement fédéral. Or les organismes d’accréditation ne suppriment presque jamais l’accréditation des établissements les moins performants, et ne disposent pas de normes uniformes pour évaluer le taux de réussite aux examens, ou les défauts de remboursement.

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