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  • Newspaper

    Les universités australiennes tirent la sonnette d'alarme sur les faux diplômes des écoles de l'Ontario

    Australie, Canada

    Press

    The Globe and Mail - University World News

    Plusieurs universités australiennes de premier plan ont confirmé dans une déclaration qu'elles avaient été informées au début de l'année d'une « augmentation significative du nombre de relevés de notes frauduleux de diplômes d'études secondaires de l'Ontario ». En réponse, les universités accepteront les étudiants d'un certain nombre d'écoles de l'Ontario qui ont été soumises à un processus de vérification rigoureux. La couverture en langue chinoise des allégations de fraude comprenait une liste de 152 écoles que les universités australiennes avaient considérées comme "non vérifiées ou non authentiques".

  • Newspaper

    Un écrivain fantôme révèle l'existence d'un site de tricherie : les universités d'Australie-Occidentale en ligne de mire

    Australie

    Press

    Bethany Hiatt - The West Australian

    Les universités d'Australie-Occidentale ont été rattrapées par les rumeurs selon lesquelles leurs étudiants s’octroient les services d’un écrivain fantôme pour réaliser leurs travaux. L’un de ces derniers a révélé avoir réalisé des travaux pour des étudiants d'universités d'Australie, de Nouvelle-Zélande et du Royaume-Uni. La Tertiary Education Quality and Standards Association d'Australie a récemment pris des mesures contre les sites commerciaux de tricherie universitaire en utilisant les nouvelles lois australiennes contre la tricherie. Les étudiants qui paient pour tricher sont soumis aux politiques disciplinaires de leur établissement.

  • Newspaper

    Appel à la répression des services de tricherie pour les étudiants

    Australie

    Press

    The Sydney Morning Herald - University World News

    Les services de tricherie académique en ligne proposant la rédaction de devoirs pour moins de 100 dollars australiens ciblent les étudiants internationaux qui suivent des formations professionnelles dans des universités privées en Australie, notamment celles suivies à distance. Conformément à la loi promulguée en septembre 2020, les prestataires condamnés pour avoir vendu ou fait de la publicité pour des services de tricherie contractuelle risquent jusqu’à deux ans de prison et une amende pouvant atteindre 110 000 dollars. Les établissements d’enseignement supérieur exhortent le gouvernement fédéral à étendre cette législation au secteur de l’enseignement et de la formation professionnels.

  • Newspaper

    Création d’une unité chargée de l’intégrité dans l’éducation pour lutter contre les tricheries et les « usines à devoirs » dans les universités australiennes

    Australie

    Press

    Conor Duffy - Abc news

    Une nouvelle unité financée par le gouvernement fédéral est chargée de veiller à l’intégrité de l’éducation en repérant les manquements dans les universités australiennes. Selon les chercheurs, entre 6 et 10 % des étudiants trichent pendant leurs études. Cette nouvelle unité luttera contre les « menaces émergentes » qui pèsent sur l’intégrité de l’enseignement et de la recherche et examinera les normes et les informations relatives aux admissions, la sécurité des étudiants, l’ingérence étrangère, la cybersécurité, la fraude et la corruption.

  • Newspaper

    Des étudiants australiens inquiets face au projet d’universités, qui envisagent d’utiliser un logiciel de suivi des examens

    Australie

    Press

    Naaman Zhou - The Guardian

    Alors que les examens se tiennent à distance à cause de la pandémie de coronavirus, plusieurs universités australiennes envisagent de contrôler leurs étudiants grâce à des logiciels de prévention de la triche, comme Protorio ou ProctorU. Ces deux plateformes nécessitent une autorisation d’accès à la webcam, au microphone et aux touches des ordinateurs. Étudiants et universitaires s’inquiètent du manque de transparence entourant le stockage de ces données, les autorisations d’accès et la conformité de cette pratique vis-à-vis des règles en vigueur dans le pays.

  • Newspaper

    La sentinelle des universités va renforcer la lutte contre la triche contractuelle

    Australie

    Press

    Fergus Hunter - The Sydney Herlad Morning

    L’Australian Tertiary Education Quality and Standards Agency resserre sa coopération avec les organismes internationaux de réglementation pour lutter contre la triche aux contrats, qui a pris des proportions industrielles. Selon une étude récente, 10 % des étudiants font effectuer leurs devoirs par d’autres, moyennant finances. Le gouvernement fédéral prévoit des sanctions allant jusqu’à deux ans d’emprisonnement et 210 000 dollars d’amende.

  • Newspaper

    Une nouvelle loi prévoit des peines d’emprisonnement pour les fournisseurs de services facilitant la triche

    Australie

    Press

    Geoff Maslen - University World News

    Le ministre de l’Éducation a annoncé que la vente de services facilitant la triche aux étudiants des universités australiennes était désormais passible de deux ans de prison ou d’une amende pouvant atteindre 100 000 AUS. Quant aux étudiants tricheurs, ils seront soumis aux politiques d’intégrité et aux sanctions prévues par leur université. La Tertiary Education Quality and Standards Agency aura toute autorité pour demander l’application de mesures légales afin d’obliger les fournisseurs d’accès à Internet et les moteurs de recherche à bloquer les sites proposant des services facilitant la triche.

  • Newspaper

    Un nouveau projet de loi prévoit de sanctionner la triche universitaire par une peine de prison et une lourde amende

    Australie

    Press

    Ally Foster - news.com.au

    La « triche contractuelle » se banalise dans de nombreuses universités d’Australie, avec toute une palette de services faciles d’accès permettant à un tiers, moyennant finances, de terminer un devoir ou de passer un examen à la place de l’étudiant. Certains prestataires proposent même à l’étudiant de choisir la note souhaitée, le prix étant ajusté en fonction. Le gouvernement vient de présenter un projet de loi qui prévoit que la personne à l’origine de cette triche contractuelle pourrait être passible de deux ans d’emprisonnement et d’une amende de 210 000 dollars.

  • Newspaper

    Les modifications apportées aux examens d’anglais du HSC « alimenteront l’industrie des cours particuliers »

    Australie

    Press

    Alexandra Smith - Sydney Morning Herald

    Selon des chercheurs en anglais et d’anciens responsables des examens du HSC (le certificat de fin d’études secondaires), les plans visant à raccourcir la durée de l’examen d’anglais du HSC et à imposer un nombre maximum de mots dans les réponses permettront plus facilement aux élèves de déjouer le système et « alimenteront l’industrie des cours particuliers ». Le rapport met en garde contre cette exigence de brièveté, qui bénéficiera à l’industrie des cours particuliers étant donné que les élèves paieront pour apprendre à « mémoriser puis reproduire » des réponses de 600 mots.

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