Page de recherche

Page de recherche

Avis de non-responsabilité : L’IIPE ne peut garantir l’exactitude des informations contenues dans ces articles.
Les liens hypertexte vers d’autres sites web n’impliquent ni la responsabilité, ni l’approbation des informations figurant dans ces sites web.

1-7 of 7 results

  • Newspaper

    Tricherie à l’université : certains étudiants s’en donnent à cœur joie

    Australie

    Press

    Jon Mason and Guzyal Hill - University World News

    À la suite de la transition rapide vers le numérique que de nombreux établissements ont dû opérer, on a constaté une augmentation des services en ligne qui aident les étudiants à tricher. Une simple recherche Google sur le terme "aide aux devoirs" a donné 302 millions au début de 2021, contre 279 millions de résultats à la mi-juin 2020. En Australie, le gouvernement a adopté une loi qui érige en infraction le fait de fournir ou de faire de la publicité pour des services de tricherie dans l’enseignement supérieur et a publié une boîte à outils sur l’intégrité académique.

  • Newspaper

    Plus d’un étudiant sur dix triches, et la plupart ne sont pas détectés

    Australie

    Press

    Geoff Maslen - University World News

    D’après un nouveau rapport, 11 % des devoirs rendus par les étudiants australiens sont écrits par une autre personne. Plus de 95 % des étudiants qui trichent ainsi ne sont jamais inquiétés. D’après une enquête menée auprès de 4 100 étudiants de six universités, il existe deux types de tricherie : on peut payer quelqu’un pour écrire le devoir, ou bien en choisir un à télécharger parmi une collection de devoirs préalablement rédigés.

  • Newspaper

    Création d’une unité chargée de l’intégrité dans l’éducation pour lutter contre les tricheries et les « usines à devoirs » dans les universités australiennes

    Australie

    Press

    Conor Duffy - Abc news

    Une nouvelle unité financée par le gouvernement fédéral est chargée de veiller à l’intégrité de l’éducation en repérant les manquements dans les universités australiennes. Selon les chercheurs, entre 6 et 10 % des étudiants trichent pendant leurs études. Cette nouvelle unité luttera contre les « menaces émergentes » qui pèsent sur l’intégrité de l’enseignement et de la recherche et examinera les normes et les informations relatives aux admissions, la sécurité des étudiants, l’ingérence étrangère, la cybersécurité, la fraude et la corruption.

  • Newspaper

    Des étudiants australiens inquiets face au projet d’universités, qui envisagent d’utiliser un logiciel de suivi des examens

    Australie

    Press

    Naaman Zhou - The Guardian

    Alors que les examens se tiennent à distance à cause de la pandémie de coronavirus, plusieurs universités australiennes envisagent de contrôler leurs étudiants grâce à des logiciels de prévention de la triche, comme Protorio ou ProctorU. Ces deux plateformes nécessitent une autorisation d’accès à la webcam, au microphone et aux touches des ordinateurs. Étudiants et universitaires s’inquiètent du manque de transparence entourant le stockage de ces données, les autorisations d’accès et la conformité de cette pratique vis-à-vis des règles en vigueur dans le pays.

  • Newspaper

    La sentinelle des universités va renforcer la lutte contre la triche contractuelle

    Australie

    Press

    Fergus Hunter - The Sydney Herlad Morning

    L’Australian Tertiary Education Quality and Standards Agency resserre sa coopération avec les organismes internationaux de réglementation pour lutter contre la triche aux contrats, qui a pris des proportions industrielles. Selon une étude récente, 10 % des étudiants font effectuer leurs devoirs par d’autres, moyennant finances. Le gouvernement fédéral prévoit des sanctions allant jusqu’à deux ans d’emprisonnement et 210 000 dollars d’amende.

  • Newspaper

    Une nouvelle loi prévoit des peines d’emprisonnement pour les fournisseurs de services facilitant la triche

    Australie

    Press

    Geoff Maslen - University World News

    Le ministre de l’Éducation a annoncé que la vente de services facilitant la triche aux étudiants des universités australiennes était désormais passible de deux ans de prison ou d’une amende pouvant atteindre 100 000 AUS. Quant aux étudiants tricheurs, ils seront soumis aux politiques d’intégrité et aux sanctions prévues par leur université. La Tertiary Education Quality and Standards Agency aura toute autorité pour demander l’application de mesures légales afin d’obliger les fournisseurs d’accès à Internet et les moteurs de recherche à bloquer les sites proposant des services facilitant la triche.

  • Newspaper

    Un nouveau projet de loi prévoit de sanctionner la triche universitaire par une peine de prison et une lourde amende

    Australie

    Press

    Ally Foster - news.com.au

    La « triche contractuelle » se banalise dans de nombreuses universités d’Australie, avec toute une palette de services faciles d’accès permettant à un tiers, moyennant finances, de terminer un devoir ou de passer un examen à la place de l’étudiant. Certains prestataires proposent même à l’étudiant de choisir la note souhaitée, le prix étant ajusté en fonction. Le gouvernement vient de présenter un projet de loi qui prévoit que la personne à l’origine de cette triche contractuelle pourrait être passible de deux ans d’emprisonnement et d’une amende de 210 000 dollars.

Restez informés

Inscrivez-vous au buletin ETICO pour recevoir les dernières actualités

Soumettez votre contribution

Apportez votre contribution à la bibliothèque dédiée à la corruption dans l'éducation