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L’administration de l’éducation de Séoul a engagé une répression intensive contre les pratiques corrompues dans l’embauche des enseignants dans les écoles primaires, les lycées et collèges. Des fonctionnaires du Bureau de l’éducation de la ville de Séoul (SMOE) ont indiqué lundi qu’ils rassemblent des renseignements suite aux rumeurs persistantes de corruption dans le processus de recrutement. Selon certains, des liens étroits avec les directeurs d’écoles, ou même des pots de vins, seraient souvent un facteur décisif pour obtenir un poste.

A compter de cette année, le gouvernement du Bihar transférera les allocations des programmes d’éducation telles que les bourses d’études, ou les uniformes, ainsi que les programmes d’aide sociale tels que les pensions de vieillesse ou de veuvage, directement aux bénéficiaires pour réduire la charge administrative ainsi que la possibilité pour les fonctionnaires de niveau intermédiaire d’empocher une partie de ces avantages. Pour les écoles, le décret gouvernemental pose le défi d’ouvrir jusqu’à 25 millions de comptes en banque pour les élèves de 69 500 écoles primaires et intermédiaires, et de 4 500 collèges et lycées.

La ministre de l’éducation de base a informé les médias sur le rapport intermédiaire soumis par un groupe de travail ministériel chargé d’enquêter sur la vente de postes d’enseignants, et a déclaré que ce rapport confirme la présence de corruption et d’influence indue dans la nomination des enseignants et directeurs d’écoles, qu’il y a des failles dans le système, et que l’autorité du gouvernement et les pouvoirs de certaines parties prenantes devraient être revus.