Page de recherche

Page de recherche

Avis de non-responsabilité : L’IIPE ne peut garantir l’exactitude des informations contenues dans ces articles.
Les liens hypertexte vers d’autres sites web n’impliquent ni la responsabilité, ni l’approbation des informations figurant dans ces sites web.

1-10 of 29 results

  • Newspaper

    Les étudiantes « trop effrayées » pour dénoncer le harcèlement sexuel

    Kenya

    Press

    Christabel Ligami - University World News

    Trop malade pour passer son examen final, cette étudiante en troisième année de lettres à l’université de Nairobi s’est rendue dans le bureau de son professeur, qui avait accepté le report de l’épreuve, afin d’en discuter les modalités. Au lieu de lui communiquer les éléments dont elle avait besoin, il l’a informée qu’elle n’aurait pas besoin de passer l’examen et lui a imposé un rapport sexuel non consenti. Une étude de 2016 sur le harcèlement sexuel à l’université d’Eldoret, au Kenya, a constaté que plus de 50 % des étudiants avaient été confrontés à ces pratiques et qu’aucune disposition n’avait été prise pour y mettre fin.

  • Newspaper

    Des députés plaident pour l’installation de caméras dans les salles d’examen des universités

    Egypte

    Press

    - Egypt Today

    Des membres de la commission chargée de l’éducation et de la recherche scientifique à la chambre des représentants de l’Égypte ont appelé à l’installation de caméras dans toutes les salles d’examen des universités du pays, afin de lutter contre la triche et le manque de discipline. La commission transmettra sa proposition au ministère de l’Enseignement supérieur dans la mesure où ces installations permettront d’empêcher et détecter le phénomène grandissant de tricherie massive mais également de révéler tout problème entre les étudiants et les surveillants pendant les épreuves. Cet appel s’inscrit dans la volonté de l’Égypte d’améliorer la qualité de l’enseignement universitaire et de mettre fin à une production de masse d’étudiants n’ayant pas le niveau, surtout avec le phénomène de triche systématique qui touche les établissements secondaires depuis quelques années.

  • Newspaper

    Plagiat : une menace croissante pour l’intégrité académique

    Kenya

    Press

    Wachira Kigotho - Standard Digital

    Le mois dernier, la Haute cour de justice a débouté une étudiante de la Mount Kenya University, accusée d’avoir triché aux examens. Pour le juge chargé de l’affaire, le processus disciplinaire engagé par l’université était la suite logique d’une action administrative équitable. La plaignante avait quant à elle estimé que les éléments utilisés par la commission disciplinaire de l’université pour étayer son verdict étaient inéquitables, disproportionnés et violaient la Constitution et son droit à bénéficier d’un procès équitable. La triche aux examens est un phénomène planétaire qui ne touche pas uniquement les universités du Kenya

  • Newspaper

    L’agence nationale s’allie aux universitaires pour combattre la corruption

    Nigéria

    Press

    Jackie Opara - University World News

    L’agence nationale de lutte contre la corruption et la National Universities Commission (NUC) ont décidé de parrainer ensemble 20 thèses de doctorat abordant la question de la corruption au cours des dix prochaines années et de créer un cours sur ce thème pour tous les étudiants de premier cycle. Selon le chef de l’Economic and Financial Crimes Commission, les étudiants sont une cible stratégique pour les actions de formation et de sensibilisation sur la corruption, ce qui explique que la commission soutienne ce type de recherches à travers des bourses d’études ainsi qu’un cursus de lutte contre la corruption pour tous les étudiants de premier cycle.

  • Newspaper

    Porte close pour les politiciens en quête de diplômes rapides

    Kenya

    Press

    Dave Opiyo and Raphael Wanjala - Daily Nation

    Les politiciens qui se bousculaient pour obtenir rapidement des diplômes avant les élections générales de l'année prochaine ont trouvé porte close. Une directive du Président kényan a indiqué jeudi que les étudiants universitaires doivent satisfaire aux exigences minimales d'admission et de temps de présence. Le ministère de l'Education a reçu l'ordre de mettre ces directives pleinement en œuvre. « Les universités qui ne tiennent pas compte de ces exigences seront traitées conformément à la loi », a déclaré le Président.

  • Newspaper

    Le ministre de l’enseignement supérieur et son adjoint accusés de fraude

    Zimbabwe

    Press

    Kudzai Mashininga - University World News

    Mercredi, la police zimbabwéenne a arrêté le ministre de l’Enseignement supérieur, de la science et de la technologie et son adjoint, accusés d’avoir détourné près de 450 000 dollars d’un fonds de développement de la main-d’œuvre qui finance, entre autres choses, des étudiants. Les deux interpellés ont été entendus et relâchés. Plusieurs jours avant son arrestation, le ministre — ancien enseignant de sciences politiques à l’université du Zimbabwe et chercheur à l’université du Witwatersrand, en Afrique du Sud, qui l’accusait d’avoir détourné des fonds pour la recherche — avait publié un communiqué où il démentait toutes ces accusations.

  • Newspaper

    Le ministre doit mettre fin aux utilisations abusives supposées des fonds destinés aux étudiants

    Zimbabwe

    Press

    Kudzai Mashininga - University World News

    Le ministre de l’Enseignement supérieur, de la science et de la technologie du Zimbabwe doit affronter une enquête portant sur des allégations d’utilisation abusive de quelque 450 000 dollars destinés à l’origine aux étudiants, ces derniers l’ayant appelé à rembourser cet argent et à démissionner. Selon l’acte d’accusation préparé par la commission anti-corruption, le ministre aurait utilisé une partie de cet argent pour financer ses soutiens politiques dans l’espoir de récupérer son siège lors des prochaines élections générales de 2018. Son adjoint aurait ainsi créé une société à laquelle les universités étaient tenues d’acheter tous leurs équipements.

  • Newspaper

    La réponse des universités à l’ultimatum relatif aux étudiants « fantômes »

    Tanzanie RU

    Press

    Esther Nakkazi - University World News

    À la suite de la suspension des prêts étudiants et de l’imposition d’un ultimatum d’une semaine, 15 universités de Tanzanie ont réagi à une directive ministérielle leur enjoignant de rembourser les prêts consentis pour financer des milliers d’étudiants « fantômes ». Cette directive faisait suite à une enquête récente qui avait révélé que 2 192 étudiants censés être inscrits dans 31 universités n’existaient pas. Les établissements avaient sept jours pour récupérer et restituer l’argent, le montant total des pertes étant estimé à plus de 3,8 milliards de shillings tanzaniens (1,7 million de dollars).

  • Newspaper

    Les universités tanzaniennes confrontées au coûteux problème des étudiants « fantômes »

    Tanzanie RU

    Press

    Simon Ngalomba - The Conversation

    Les universités tanzaniennes sont aux prises avec des fantômes. Le gouvernement a suspendu des prêts étudiants pour un montant total de 3,2 millions de shillings tanzaniens (1,5 million de dollars), ce qui touche près de 2 000 étudiants. Cette décision intervient à la suite d’une vérification de routine qui a montré que certains dossiers concernaient des gens qui n’existent pas. Dans un pays qui compte plus de 100 000 étudiants du supérieur inscrits, tout arrêter pour 2 000 « fantômes » peut sembler disproportionné. Mais lorsque l’argent prêté est dépensé à mauvais escient, consciemment ou du fait de failles administratives, c’est tout le système de l’enseignement supérieur qui en pâtit et, au final, tout le pays.

  • Newspaper

    Le gouvernement se mobilise contre les « étudiants fantômes »

    Tanzanie RU

    Press

    Daniel Makaka - The Citizen

    Selon un audit spécial, les districts de Sengerema et Buchosa rassembleraient au total 4 827 étudiants « fantômes », répartis comme suit : 710 dans le premier cas et 4 117 dans le second. À la suite de cette enquête, 41 directeurs d’établissement ont été suspendus selon le commissaire du district de Sengerema. Le responsable de l’éducation du district de Sengerema a annoncé vouloir organiser des inspections régulières pour repérer les faux étudiants.

Restez informés

Inscrivez-vous au buletin ETICO pour recevoir les dernières actualités

Soumettez votre contribution

Apportez votre contribution à la bibliothèque dédiée à la corruption dans l'éducation