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1-10 of 18 results

  • Newspaper

    80 %, le niveau record de corruption dans le secteur de l’éducation dans l’État d’Oyo

    Nigéria

    Press

    Wale Akinselure - Nigerian Tribune

    Dans le secteur de l’éducation de l’État d’Oyo, la corruption prend différentes formes, depuis des gestionnaires d’école qui rackettent les élèves pour de pseudo-examens jusqu’aux enseignants qui payent pour être affectés dans la région de leur choix en passant par des responsables de la distribution des manuels scolaires payés par l’État pour les élèves exigeant des directeurs une soulte pour les distribuer. Le gouverneur a annoncé que toute personne sabotant les efforts du gouvernement en se livrant à des activités corrompues serait renvoyée et s’exposerait à des poursuites.

  • Newspaper

    Le projet SERAP poursuit M. Okawa en justice pour financement insuffisant des écoles primaires

    Nigéria

    Press

    Oladimeji Ramon - PUNCH

    Le groupe de lutte contre la corruption SERAP (Socio-Economic Rights and Accountability Project) a poursuivi le gouverneur de l’État du Delta en l’accusant de ne pas financer suffisamment l’éducation dans sa circonscription. Son administration a en effet reçu 7,8 milliards de nairas de la part de la Universal Basic Education Commission, en plus d’autres financements du gouvernement fédéral. Malgré tout, 1 124 écoles primaires sont en ruines, avec des installations en très mauvais état. SERAP a également mis en avant le cas d’une élève renvoyée chez elle car ses parents ne pouvaient pas payer 900 nairas de frais scolaires pourtant illégaux.

  • Newspaper

    Manipulation des jeunes filles dans le système éducatif d’Afrique occidentale

    Nigéria

    Press

    Ayodeji Adegboyega - Premium Times

    Selon le Commissaire pour l’éducation, la science et la culture, les jeunes filles sont soumises à trois grands types de corruption dans le système éducatif d’Afrique occidentale : manipulation, favoritisme en matière d’entrée dans les institutions de l’enseignement supérieur, et rapports sexuels en échange de notes. Les étudiantes sont souvent la proie de leurs enseignants, entre autres, ce qui fait de l’éducation le secteur le plus corrompu. Un programme de subventions a été mis en place afin de protéger ces jeunes filles et de renforcer tout le système.

  • Newspaper

    Plus de la moitié du budget éducatif du Nigéria siphonnée par la corruption

    Nigéria

    Press

    Ayodeji Adegboyega - Premium Times

    D’après l’ONG Transparency International, 66 % des fonds que le gouvernement nigérian alloue à l’éducation sont dérobés par des responsables corrompus. Mauvaise attribution des ressources, procédures d’achat détournées, rapports sexuels contre bonnes notes, malversations en matière d’examens, faux diplômes, absentéisme des enseignants et pratiques de recrutement corrompues sont autant d’exemples des défis que doit relever le secteur éducatif. Cette situation compromet la qualité de l’éduction, l’inclusion et les résultats d’apprentissage, avec des conséquences catastrophiques pour la croissance économique du pays.

  • Newspaper

    Contrôler le versement des fonds UBE pour éviter la corruption

    Nigéria

    Press

    Azeezat Adedigba - Premium Times

    Un avocat confirmé et défenseur des droits de l’homme appelle à un contrôle et une utilisation plus efficaces des ressources du Fonds pour l’éducation universelle de base (UBE). Cette subvention annuelle du gouvernement fédéral est censée aider les États à moderniser leurs écoles primaires et offrir ainsi à tous les écoliers du pays une éducation de qualité. Le militant entend alerter sur les risques très probables de détournement par des politiciens désespérément en quête de liquide pour acheter des votes en vue des prochaines élections générales du pays. Il a rappelé que la Banque mondiale avait accordé au Nigéria 611 millions de dollars (219 milliards de nairas) pour financer ce dispositif.

  • Newspaper

    Les universités du Nigéria, un cloaque propice à la corruption

    Nigéria

    Press

    Iyabo Lawal - The Guardian

    Un récent rapport du Socio-Economic Rights and Accountability Project (SERAP) révèle l’état de décomposition de bon nombre d’établissements d’enseignement supérieur au Nigéria, dénonçant des relations complexes de collusion entre le personnel, les étudiants et d’autres parties prenantes. Sous le titre ‘Stealing the future: How federal universities in Nigeria have been stripped apart by corruption’ (Un avenir dérobé : comment les universités fédérales du Nigéria ont été laminées par la corruption), le rapport affirme que la plupart des allégations de corruption dans les universités fédérales – qui vont de l’attribution injustifiée de notes à la délivrance d’un titre à des étudiants expulsés en passant par l’inflation de contrats, les prélèvements indus sur les salaires du personnel, l’embauche de personnel non qualifié, des pratiques abusives en matière d’examen ou encore le harcèlement sexuel – n’ont jamais donné lieu à des enquêtes sérieuses.

  • Newspaper

    La controverse entourant l’examen d’entrée à l’université ne s’apaise pas

    Nigéria

    Press

    Tunde Fatunde - University World News

    Au Nigéria, l’examen post-unifié d’entrée à l’université (ou post-UTME) permet aux universités d’accorder une seconde chance aux étudiants passés par l’examen national. Au début de l’année, le ministre de l’Éducation a annoncé que le gouvernement avait levé l’interdiction frappant le post-UTME depuis juin 2016 – tout en mettant en garde les établissements supérieurs réclamant des droits d’inscription exorbitants. Selon une source journalistique locale, il aurait demandé au Joint Admissions and Matriculation Board (JAMB) d’établir une liste des universités demandant plus de 2 000 nairas (5,50 dollars).

  • Newspaper

    Les conseils d’examen, cibles d’une croisade anti-corruption

    Nigéria

    Press

    Tunde Fatunde - University World News

    Au Nigéria, le Joint Admissions and Matriculation Board (JAMB) est le dernier organisme à faire la une de l’actualité dans le cadre d’une campagne nationale visant à éradiquer la corruption dans l’enseignement supérieur. D’anciens secrétaires administratifs du JAMB, censé s’occuper de tous les examens d’entrée dans l’enseignement supérieur, doivent rendre des comptes sur leur gestion administrative et financière de l’organisme. Cette enquête intervient dans le sillage de révélations selon lesquelles le JAMB aurait versé à la Banque centrale du Nigéria la somme impressionnante de 14 millions de dollars – un record en 40 ans.

  • Newspaper

    Le gouvernement fédéral va enquêter sur les universités disposant de multiples comptes

    Nigéria

    Press

    - The Nation

    Le gouvernement fédéral annonce l’ouverture immédiate d’une enquête sur les universités qui, parce qu’elles possèdent plusieurs comptes, violent la politique relative au compte de trésorerie unique censée endiguer la corruption dans les universités du pays. Il précise par ailleurs que des mesures concrètes seront prises pour protéger les lanceurs d’alerte au titre de la croisade menée actuellement dans le pays contre la corruption. Enfin, le gouvernement indique rechercher des sources de financement alternatives pour améliorer les infrastructures des universités du pays.

  • Newspaper

    Les étudiants : cibles majeures pour les fraudes Ponzi

    Nigéria

    Press

    Tunde Fatunde - University World News

    Le gouvernement a été appelé à réagir plus vigoureusement depuis la révélation que les étudiants sont la cible majeure du frauduleux programme Ponzi. Au moins 4 000 étudiants d'une seule université ont été menacés d'expulsion le détournement de leurs frais de scolarité d'un montant total de 6,5 millions de dollars EU sur un programme Ponzi en ligne, qui a depuis suspendu ses opérations sans explication. À l'Université d'État de Osun, plus de 4 000 étudiants ont été avisés qu'ils pourraient être expulsés de l'université s'ils n'avaient pas payé, avant la fin du mois de février, tous leurs frais de scolarité. Dans une période de récession économique sévère, la perte d'investissement accroît la pression sur les parents, dont beaucoup sont victimes du taux de chômage élevé du Nigéria.

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