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1-5 of 5 results

  • Newspaper

    Le service du recrutement met la main sur des faux diplômes

    Tanzanie RU

    Press

    Anne Robi - Tanzania Daily News Via Allafrica

    Le secrétariat en charge des recrutements dans la fonction publique a récupéré 1 008 faux diplômes universitaires présentés par des personnes en recherche d’emploi. Pour le secrétaire adjoint du département de la qualité et des contrôles, il s’agit d’une crise nationale puisque la majorité des demandeurs d’emploi recourent aux diplômes bidon : « 1 008 faux diplômes ont été récupérés en six ans par le secrétariat », souligne-t-il, enjoignant le gouvernement de sévir contre cette épidémie de certificats bidon au sein de la fonction publique. Les personnes ayant présenté ces faux diplômes ont été suspendues et leurs titres ajoutés dans la liste noire de la fonction publique.

  • Newspaper

    La réponse des universités à l’ultimatum relatif aux étudiants « fantômes »

    Tanzanie RU

    Press

    Esther Nakkazi - University World News

    À la suite de la suspension des prêts étudiants et de l’imposition d’un ultimatum d’une semaine, 15 universités de Tanzanie ont réagi à une directive ministérielle leur enjoignant de rembourser les prêts consentis pour financer des milliers d’étudiants « fantômes ». Cette directive faisait suite à une enquête récente qui avait révélé que 2 192 étudiants censés être inscrits dans 31 universités n’existaient pas. Les établissements avaient sept jours pour récupérer et restituer l’argent, le montant total des pertes étant estimé à plus de 3,8 milliards de shillings tanzaniens (1,7 million de dollars).

  • Newspaper

    Les universités tanzaniennes confrontées au coûteux problème des étudiants « fantômes »

    Tanzanie RU

    Press

    Simon Ngalomba - The Conversation

    Les universités tanzaniennes sont aux prises avec des fantômes. Le gouvernement a suspendu des prêts étudiants pour un montant total de 3,2 millions de shillings tanzaniens (1,5 million de dollars), ce qui touche près de 2 000 étudiants. Cette décision intervient à la suite d’une vérification de routine qui a montré que certains dossiers concernaient des gens qui n’existent pas. Dans un pays qui compte plus de 100 000 étudiants du supérieur inscrits, tout arrêter pour 2 000 « fantômes » peut sembler disproportionné. Mais lorsque l’argent prêté est dépensé à mauvais escient, consciemment ou du fait de failles administratives, c’est tout le système de l’enseignement supérieur qui en pâtit et, au final, tout le pays.

  • Newspaper

    En quête de nouvelles stratégies pour lutter contre les pots-de-vin dans les prêts aux étudiants du supérieur

    Tanzanie RU

    Press

    Anthony Tambwe - Tanzania daily news via Allafrica

    Selon le secrétaire permanent adjoint au ministère de l’Éducation, de la science et de la technologie, la lutte contre la corruption dans les systèmes de financement de l’enseignement supérieur est une entreprise de longue haleine qui, parce qu’elle constitue une priorité stratégique, doit se voir allouer des moyens adaptés. Telle était la teneur de sa déclaration lors de la conférence annuelle et de l’assemblée générale de l’Association des organismes africains d’enseignement supérieur organisée à Dar-es-Salaam. Plusieurs hauts responsables de l’enseignement supérieur de pays africains étaient présents, aux côtés d’acteurs du secteur de l’éducation.

  • Newspaper

    Suspension des prêts étudiants après la découverte de plus de 2 000 inscrits « fantômes »

    Tanzanie RU

    Press

    Esther Nakkazi - University World News

    La Tanzanie vient de suspendre des prêts à plus de 2 000 étudiants, pour une enveloppe globale de 3,2 milliards de shillings tanzaniens (1,5 million de dollars), certaines inscriptions se révélant douteuses. En effet, les étudiants concernés ne se sont pas présentés à un exercice de vérification de deux mois et réalisé deux fois de suite et qui, selon les médias, est censé s’assurer que les bénéficiaires du dispositif du HESLB, le conseil de prêts aux étudiants du supérieur, sont effectivement inscrits dans les différents établissements d’enseignement supérieur et peuvent donc légitimement prétendre à ces dotations.

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