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Des représentants afghans du secteur de l'éducation se sont retrouvés mêlés à une polémique après l'échec d'un nombre record d'étudiants aux examens d'entrée à l'université nationale, la semaine dernière. Les étudiants afghans accusent de fraude et de discrimination le ministère de l'Enseignement supérieur, qui détermine les attributions des candidats. Selon eux, 60 000 étudiants ont échoué sur la seule base de leur origine ethnique et de leur langue maternelle.

La Turquie ne reconnaît plus les diplômes délivrés par les universités bulgares. Le conseil de l'éducation universitaire turc a pris cette décision en alléguant les niveaux élevés de falsification, de fraude et de tricherie aux examens universitaires en Bulgarie. Le ministre de l'Education de Bulgarie a reproché aux media d'avoir provoqué un scandale international, en prétendant que les diplômes problématiques avaient été falsifiés par des citoyens turcs.

Une doyenne adjointe des services académiques passe beaucoup de temps à étudier avec inquiétude et à déplorer la tricherie dans les universités, mais un service en ligne basé à Montréal qui a propulsé cette activité à un niveau supérieur la met particulièrement en colère. Le site web « unemployedprofessors.com" propose des professeurs qui rédigent les devoirs des étudiants. Son slogan : "Vous pouvez vous amuser pendant que nous nous chargeons de vos devoirs

le gouvernement fédéral veut durcir les règles concernant les visas d'étudiants dans l'espoir de supprimer la fraude et l'entrée de clandestins – bien que l'on ne connaisse pas exactement l'ampleur du problème. Une proposition vise à expulser les étudiants étrangers qui arrivent avec un visa d'étudiant afin d'avoir accès au marché du travail du Canada et ne s'inscrivent pas réellement à l'université. On craint également que certains se retrouvent dans des institutions de niveau inférieur, ce qui finalement porterait préjudice à la crédibilité du canada au plan international.

L'ancien président de la commission nationale d'accréditation du Chili (NCA) et deux anciens recteurs d'université ont été emprisonnés pour corruption et blanchiment d'argent. Ils passeront au moins six mois en prison, ce qui correspond à la durée nécessaire pour enquêter sur les accusations, a dit le procureur de la république.

La Chambre basse du gouvernement chilien a rejeté les résultats d'un rapport d'enquête sur des allégations de profits illégaux dans sept universités privées. Des leaders étudiants et des politiciens de l'opposition ont critiqué cette décision, en déclarant que le gouvernement ne doit pas fermer les yeux sur ce problème.

une enquête de sept mois a révélé que plusieurs universités du Chili se livrent illégalement à des activités à but lucratif. Selon un rapport effectué par un comité d'enquête spécial, huit universités ont violé les lois anti- profit en attribuant des augmentations de salaire aux cadres, en accordant des financements à des sociétés appartenant aux mêmes propriétaires privés et en délocalisant des services afin de générer des rentrées d'argent.

De nouvelles lois visant à lutter contre la tricherie dans les universités chinoises pourraient prendre effet dans le courant de l'année vu que les problèmes récurrents de plagiat, falsification, tromperie sur le CV et autres procédés malhonnêtes persistent toujours autant dans l'enseignement supérieur. Selon le projet préliminaire de règlement visant à "empêcher et freiner efficacement les mauvaises pratiques dans les universités", les étudiants et les doctorants seront disqualifiés si l'on découvre qu'ils ont commis des actes de plagiat ou de fraude.

Un professeur chinois a été renvoyé de son université et disqualifié du Programme de recrutement d'experts globaux de la Chine pour avoir copié son CV et des articles universitaires écrits par trois autres universitaires ayant le même nom. Ce professeur de 39 ans à l'université de Pékin a reconnu avoir falsifié son cursus scolaire, son expérience professionnelle et avoir publié des articles en copiant les détails provenant de professeurs étrangers.

La gestion financière du prestigieux Institut des sciences politiques de Paris a fait l'objet de violentes critiques dans un rapport officiel qui a trouvé la preuve de bonus exorbitants, d'une absence de contrôles et d'un gâchis de fonds publics lorsque son ancien directeur, décédé en avril 2012, était en fonction. Le rapport révèle une gestion chaotique qui consistait plus en "petits arrangements entre amis qu'en une gestion sérieuse des fonds publics".