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1-10 of 30 results

  • Newspaper

    Des étudiants zimbabwéens accusent les professeurs de monnayer les notes

    Zimbabwe

    Press

    TellZim News - University World News

    Les étudiants de l'école normale de Masvingo affirment que les professeurs des programmes d'études professionnelles et d'art exigent 10 dollars américains des étudiants si ces derniers veulent réussir leurs travaux. S’ils refusent, les enseignants les font délibérément échouer à leurs devoirs ou leur donnent des notes inférieures. Selon le directeur du collège, l'affaire fait actuellement l'objet d'une enquête.

  • Newspaper

    La corruption ébranle une plate-forme d’inscription scolaire en ligne

    Zimbabwe

    Press

    Tendai Makaripe - Zimbabwe Independent

    La plateforme d’inscription scolaire du gouvernement eMap a été minée par la corruption. Une enquête a révélé que certains responsables d’école facturaient entre 100 et 250 dollars US pour une place en internat en première année. Après avoir reçu le paiement, la personne chargée de sélectionner les candidats sur la plateforme avait accès aux données eMap de l’élève, ce qui lui permettait de l’identifier facilement après l’annonce des résultats.

  • Newspaper

    Le gouvernement suspend des enseignants malhonnêtes de la Kwekwe High School

    Zimbabwe

    Press

    Michael Magoronga - Chronicle

    Deux enseignants de la Kwekwe High School ont été suspendus pour avoir réclamé aux parents un pot-de-vin en échange de places en première année primaire pour leurs enfants. L’affaire n’est devenue publique qu’après la rentrée scolaire, quand les autorités ont découvert une classe supplémentaire de 30 élèves, ce qui a poussé le directeur à lancer une enquête.

  • Newspaper

    Les difficultés de la dénonciation du chantage sexuel au Zimbabwe

    Zimbabwe

    Press

    Muchaneta Mundopa - Voices for Transparency

    Transparency International Zimbabwe révèle que de nombreux étudiants sont poussés à accorder des faveurs sexuelles pour obtenir de bonnes notes, mais qu’ils sont rarement entendus quand ils ont le courage de dénoncer ces pratiques. Le chantage sexuel, qui suppose l’échange de faveurs intimes plutôt que d’argent, n’étant pas encore officiellement reconnu comme une forme de corruption, la plupart des universités du Zimbabwe n’ont pas de politique claire pour traiter de ces cas. Il n’existe pas de cadre légal assimilant le chantage sexuel à une forme de corruption et la police a souvent bien du mal à comprendre tous les enjeux.

  • Newspaper

    Appel à l’application de mesures concrètes pour mettre fin au harcèlement sexuel sur les campus

    Zimbabwe

    Press

    Tonderayi Mukeredzi - University World News

    Selon une étude réalisée en 2017 au Zimbabwe par un groupement d’étudiantes appelé Female Students Network Trust, les employés masculins des campus ont harcelé 74 % des étudiantes des institutions d’enseignement supérieur sur tout le territoire. Une conseillère de l’UNESCO en matière d’éducation à la santé indique de nombreux établissements n’ont pas mis en place de politiques ou de programmes à ce sujet, et même lorsque c’est le cas, la crainte empêche parfois les étudiantes de dénoncer les cas de harcèlement commis par leurs professeurs.

  • Newspaper

    Face au non-paiement de leurs pensions, des étudiants expriment leur ras-le-bol

    Zimbabwe

    Press

    Tonderayi Mukeredzi - University World News

    Les étudiants du Zimbabwe ne supportent plus « l’attitude frauduleuse » du gouvernement et ses vaines promesses de leur verser leurs allocations de subsistance de 100 dollars. Selon le secrétaire général du syndicat national des étudiants du Zimbabwe, l’ancien ministre de l’Enseignement supérieur et tertiaire et son adjoint sont sous le coup d’une enquête sur un éventuel détournement de fonds destinés aux étudiants du supérieur.

  • Newspaper

    Le gouvernement lance une vaste campagne de répression de la fraude académique

    Zimbabwe

    Press

    Nokuthaba Nkomo - Nehanda Radio

    Les formes les plus criantes de fraude académique au Zimbabwe sont la contrefaçon ou l’achat de certificats, diplômes et titres totalement bidons. Selon les experts, l’embauche d’individus présentant de faux documents en appui à leur candidature pourrait s’apparenter à un véritable fiasco des relations publiques dans les entreprises privées comme au sein du gouvernement. Pour le porte-parole du conseil des examens du Zimbabwe (ZIMSEC), l’organisme chargé des examens s’est employé, avec des contacts répartis sur tout le territoire, à vérifier les titres académiques, révélant ainsi un nombre impressionnant de fraudes aux diplômes secondaires et universitaires.

  • Newspaper

    L’affaire du PhD : un responsable de l’université bientôt jugé

    Zimbabwe

    Press

    Kudzai Mashininga - University World News

    Un tribunal de Harare a estimé que le vice-recteur de l’université du Zimbabwe allait devoir s’expliquer pour avoir attribué en 2014, « moyennant finances », un diplôme de philosophie à l’ancienne première dame du pays. Cette décision intervient alors que le département pour la science et la technologie du ministère de l’Enseignement supérieur et tertiaire a porté plainte auprès du procureur général, estimant que la justice n’avait rien à avoir dans cette affaire qui relève du sénat ou du conseil universitaires.

  • Newspaper

    Le vice-recteur accusé d’avoir abusivement accordé un diplôme à l’ancienne première dame du pays

    Zimbabwe

    Press

    Kudzai Mashininga - University World News

    Le vice-recteur de l’université du Zimbabwe vient d’être arrêté pour avoir attribué « de manière corrompue » en 2014 un diplôme de docteur en philosophie à l’ancienne première dame du pays. Un autre professeur de la même université, censé avoir supervisé les travaux de cette « étudiante », est également sous le coup d’une enquête. Depuis 2014, des rumeurs circulaient sur la validité de ce doctorat mais aucune action n’avait été engagée à l’encontre de l’épouse du président du pays. Il a fallu atteindre novembre dernier et la démission forcée de l’ancien homme fort du Zimbabwe pour que les choses changent.

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