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1-10 of 28 results

  • Newspaper

    Une nouvelle loi prévoit des peines d’emprisonnement pour les fournisseurs de services facilitant la triche

    Australie

    Press

    Geoff Maslen - University World News

    Le ministre de l’Éducation a annoncé que la vente de services facilitant la triche aux étudiants des universités australiennes était désormais passible de deux ans de prison ou d’une amende pouvant atteindre 100 000 AUS. Quant aux étudiants tricheurs, ils seront soumis aux politiques d’intégrité et aux sanctions prévues par leur université. La Tertiary Education Quality and Standards Agency aura toute autorité pour demander l’application de mesures légales afin d’obliger les fournisseurs d’accès à Internet et les moteurs de recherche à bloquer les sites proposant des services facilitant la triche.

  • Newspaper

    Un nouveau projet de loi prévoit de sanctionner la triche universitaire par une peine de prison et une lourde amende

    Australie

    Press

    Ally Foster - news.com.au

    La « triche contractuelle » se banalise dans de nombreuses universités d’Australie, avec toute une palette de services faciles d’accès permettant à un tiers, moyennant finances, de terminer un devoir ou de passer un examen à la place de l’étudiant. Certains prestataires proposent même à l’étudiant de choisir la note souhaitée, le prix étant ajusté en fonction. Le gouvernement vient de présenter un projet de loi qui prévoit que la personne à l’origine de cette triche contractuelle pourrait être passible de deux ans d’emprisonnement et d’une amende de 210 000 dollars.

  • Newspaper

    Des universités inscrivent des étudiants étrangers voués à l’échec

    Australie

    Press

    Geoff Maslen - University World News

    D’après les révélations du diffuseur national Australian Broadcasting Corporation (ABC), des universités australiennes ont inscrit des centaines de milliers d’étudiants étrangers nullement préparés à suivre des formations universitaires comme simples « vaches à lait ». Les professeurs ont affirmé à ABC qu’ils avaient constaté un nombre record de cas de manquements professionnels et de plus en plus d’étudiants étrangers en échec, certains d’entre eux ayant même recours à des applications numériques pour traduire les cours. Après la diffusion du sujet d’ABC, le syndicat national des universités (National Tertiary Education Union) a appelé à une plus grande responsabilité publique des universités comptant parmi leurs étudiants des étrangers.

  • Newspaper

    L’examen des étudiants en commerce de l’université de Sidney annulé par crainte d’infractions à la sécurité

    Australie

    Press

    Josh Dye - The Sydney Morning Herald

    Plus de 1 000 étudiants de l’université de Sydney sont dans l’incertitude totale après que leur examen final a été brusquement annulé vendredi matin, les organisateurs craignant que des fuites ne compromettent l’intégrité des épreuves. Les étudiants venaient juste de découvrir leur sujet d’examen pour une matière obligatoire sur le monde des affaires quand une annonce des examinateurs a mis fin à l’épreuve. Selon l’université, l’examen organisé en remplacement aura la même structure et comptera pour autant que l’examen prévu. Les autorités ont mis en garde les étudiants, indiquant que des « mesures disciplinaires, y compris d’expulsion, seraient prises contre les éventuels contrevenants ».

  • Newspaper

    Les modifications apportées aux examens d’anglais du HSC « alimenteront l’industrie des cours particuliers »

    Australie

    Press

    Alexandra Smith - Sydney Morning Herald

    Selon des chercheurs en anglais et d’anciens responsables des examens du HSC (le certificat de fin d’études secondaires), les plans visant à raccourcir la durée de l’examen d’anglais du HSC et à imposer un nombre maximum de mots dans les réponses permettront plus facilement aux élèves de déjouer le système et « alimenteront l’industrie des cours particuliers ». Le rapport met en garde contre cette exigence de brièveté, qui bénéficiera à l’industrie des cours particuliers étant donné que les élèves paieront pour apprendre à « mémoriser puis reproduire » des réponses de 600 mots.

  • Newspaper

    Une nouvelle méthode de lutte contre les fraudes universitaires

    Australie

    Press

    Henrietta Cook - Sydney Morning Herald

    Une start-up de Melbourne a conçu Cadmus, un logiciel anti-plagiat en cours de test dans quatre grandes universités d’Australie qui permet de suivre le travail des étudiants à toutes les étapes. Le logiciel de révision et d’authentification, qui fonctionne comme un document Google et est accessible à tout moment, analyse les séquences de frappe au clavier et constitue ainsi un profil de saisie pour chaque étudiant pour aider à déceler si quelqu’un d’autre participe de manière indue à son travail.

  • Newspaper

    La qualité des « usines à mémoires » rend la supercherie indécelable

    Australie

    Press

    Chris Havergal - Times Higher Education

    Les étudiants qui trichent en recourant à des usines à mémoires sont « pratiquement indétectables », selon une recherche qui a constaté que bon nombre de mémoires rédigés par des scribes rémunérés obtiendraient de bonnes notes s’ils étaient présentés. Une chargée de cours associée en histoire à l’université de New South Wales a testé des sites payants de rédaction de mémoires, en commandant 13 travaux qu’elle a ensuite soumis à des universitaires de renom convaincus qu’ils avaient entre les mains des textes de véritables étudiants. Les résultats sont « inquiétants », puisque la qualité des mémoires achetés est « meilleure que prévu » de sorte que le recours à ces services payants est sans doute « beaucoup plus fréquent » qu’on ne le pensait jusqu’ici.

  • Newspaper

    La faculté de médecine de l’université de Sydney impliquée dans une nouvelle polémique autour de la triche

    Australie

    Press

    Eryk Bagshaw - Sydney Morning Herald

    Des médecins, des chefs de clinique et des psychiatres de certains des plus grands hôpitaux de Sydney auraient triché pendant leurs épreuves grâce à des complicités et le partage illicite de photos des sujets d’examen. Selon les documents que s’est procuré Fairfax Media, d’anciens étudiants du cursus de médecine de l’université de Sydney sont de connivence depuis l’année 2009 au moins avec les étudiants inscrits actuellement en psychiatrie, en pédiatrie et dans les départements communautaires de la plus grande faculté de médecine de Sydney, en partageant avec eux des matériaux interdits (comme des photographies des sujets d’examen).

  • Newspaper

    Des centaines d’élèves du secondaire surpris en train de tricher : une information du Board of Studies

    Australie

    Press

    Eryk Bagshaw - Sydney Morning Herald

    Les prétendants au diplôme d’études secondaires (HSC) redoublent d’ingéniosité pour obtenir de meilleures notes, révèle le Board of Studies, avec plus de 300 cas de plagiat enregistrés l’an dernier. Cette année, c’est une fois encore en anglais que les fraudes ont été les plus massives, avec 188 cas de mauvaises pratiques dans les quatre niveaux confondus, contre seulement 15 en mathématiques. La section des services aux entreprises détient un record absolu, avec 9,8 élèves sur 1 000 convaincus de triche.

  • Newspaper

    Trois universités australiennes, Sydney University, University of NSW et UTS, sévissent contre les tricheurs

    Australie

    Press

    Eryk Bagshaw - Sydney Morning Herald

    Fortes des révélations de Fairfax Media évoquant des habitudes suspectes en la matière, plusieurs universités de Sydney ont décidé de sévir contre les étudiants tricheurs. L’University of Sydney, l’University of Technology et l’University of NSW ont toutes adopté de strictes politiques, qui prévoient notamment le retour aux examens sans documentations autorisées, des séances de questions-réponses après les évaluations, le recours moins systématique aux devoirs faits à la maison et l’interdiction de porter des montres pendant les examens.

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