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La vidéo explique comment les enquêtes de suivi des dépenses publiques (ESDP) sont menées, et met en lumière quelques défis liés à leur mise en œuvre. Une ESDP vise à tracer l'utilisation de l'argent public, du décaissement à la dépense. La vidéo prend l'exemple du budget de l'éducation publique pour illustrer ce type d’enquête.

Une étude récente sur les universités privées, effectuée par le chapitre Bangladais de l'agence de surveillance contre la corruption Transparence Internationale, dénonce des irrégularités financières. Elle a déclenché des débats publics enflammés, tandis que les autorités responsables réfutent ces allégations.

Le ministre de l'Education, des arts et de la culture a été accusé d'avoir détourné les Fonds de transition pour l'éducation (ETF). Il aurait monté des structures parallèles lors d'un appel d'offre afin de détourner de l'argent pour financer les activités de son parti MDC à cours d'argent.

Dans un cas qui a ébranlé la communauté universitaire à Taiwan et mis en péril de nombreux projets de recherche scientifiques, 22 professeurs appartenant aux meilleures universités du pays – y compris la prestigieuse université nationale de Taiwan – ont été accusés d'avoir utilisé de fausses factures pour réclamer des remboursements pris sur les fonds alloués à la recherche.

Le Ministre nigérian de l'éducation publique a réfuté l'allégation d'une corruption de 40% (N6.8) de reversements du quatrième trimestre des allocations de 104 collèges provenant des proviseurs. Le ministre a soutenu que le rapport était faux et sans fondement.

La gestion financière du prestigieux Institut des sciences politiques de Paris a fait l'objet de violentes critiques dans un rapport officiel qui a trouvé la preuve de bonus exorbitants, d'une absence de contrôles et d'un gâchis de fonds publics lorsque son ancien directeur, décédé en avril 2012, était en fonction. Le rapport révèle une gestion chaotique qui consistait plus en "petits arrangements entre amis qu'en une gestion sérieuse des fonds publics".