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Les diplômes d’anglais étant de plus en plus demandés par les employeurs et les universités, des étudiants ont recours à des imposteurs engagés pour passer leurs examens d’anglais à leur place. La police du district de Thu Duc à Ho Chi Minh Ville enquête sur une affaire dans laquelle 34 étudiants de l’université d’agriculture et de sylviculture de HCM ont engagés des imposteurs pour leurs examens d’anglais. L’an dernier, 10 imposteurs ont été démasqués. Entre temps, les universités qui demandent aux étudiants de passer les tests de TOEFL, TOEI ou IELTS pour leurs diplômes d’anglais de fin d’études, ont reçu de nombreux faux certificats.

Lors d’une investigation, toujours en cours, 1080 étudiants inscrits dans un cours préparatoire aux études de médecine dans l’état de Madhya Pradesh en Inde centrale entre 2009 et 2013 ont vu leurs inscriptions annulées. Cette fraude, initialement révélée en 2013, et récemment deux décès très médiatisés liée à ce scandale ont choqué le pays tout entier. Des millions de roupies ont été échangés dans ce que certains ont décrit comme étant le scandale le plus important que l’Inde ait jamais connu.

Les autorités de l'éducation et de la police enquêtent sur des allégations de tricherie massive de la part d'étudiants internationaux dans des instituts du tertiaire à travers le pays. L'homme qui a rapporté ces faits prétend qu'on lui a proposé de rédiger des travaux écrits pour des étudiants de diverses universités qui n'étaient pas au niveau linguistique.

Des étudiants et des universitaires de Chine, de Taiwan et Hong Kong enquêtant sur les conditions de travail d'étudiants stagiaires dans les usines en Chine ont dit qu'une enquête acceptée officiellement sur les conditions de travail dans les usines Foxconn, qui fabriquent des iPads Apple, ne donnait pas une "image complète" de l'ampleur des abus du système des stages en entreprise.

Des procureurs enquêtent sur des allégations de triche et de favoritisme lors de l'examen annuel d'entrée à l'université, passé par 1,7 million d'étudiants le 27 mars dernier. Les soupçons ont éclaté cette semaine lorsqu'un juriste a découvert une formule donnant les réponses correctes à des questions à choix multiples dans un examen de mathématiques.

13h30 : une sonnerie retentit à l'université Zhonglian Judicial College, deux semaines après l'arrestation du directeur de cette école privée. Inquiets, les élèves et leurs parents insistent pour rester dans l'école, située dans le quartier de Fangshan, après que la commission de l'éducation de Fangshan l'a déclarée illégale le 10 mai.

En Chine, il est possible d'obtenir, en une heure, et pour la somme de 38 dollars environ, un faux diplôme universitaire. Toutefois, l'application des peines complique le recours à ce moyen frauduleux pour obtenir un poste ou intégrer une université étrangère. Les mesures prises par la Chine ont permis de limiter cette pratique. De nombreux faux diplômes sont maintenant détectés grâce à des procédures d'authentification. Néanmoins, certains diplômes authentiques ont été décernés à de faux étudiants.

Des responsables de l'éducation ont découvert que des étudiants de 8e et 9e années passaient un examen de premier cycle dans le district d'Azamgarh, avec la complicité des surveillants. Les enquêteurs ont appris que ces étudiants avaient touché de l'argent des candidats officiels en échange des réponses à l'examen.

L'inspection de plus de 100 000 écoles révèle que les élèves ont payé l'an dernier 853 millions de yuan de droits de scolarité illégaux, déclare le ministre de l'Éducation. Bilan : 2 448 personnes, dont 395 chefs d'établissement, licenciées ou sanctionnées ; environ 639 millions de yuan restitués aux parents. Le gouvernement lance une campagne d'assainissement