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  • Newspaper

    Le cœur battant des usines à thèses d’Afrique

    Kenya

    Press

    Jake Wallis - Mail Online

    Selon un informaticien expert des questions de triche contractuelle, le Kenya est devenu le centre du monde de la fraude universitaire. L’immense majorité des étudiants travaillent dans des usines à thèses qui sont ensuite fournies à des étudiants britanniques avec la garantie qu’elles sont exemptes de plagiat et parfaitement anonymes. Soucieuse de sévir contre ces pratiques et sous pression du gouvernement britannique, la société PayPal a annoncé le blocage des règlements en faveur de ces usines.

  • Promouvoir l’intégrité académique à l’université : L’action de l’IRAFPA au Monténégro

    News

    L’Institut International pour la Recherche et l’Action sur la Fraude et le Plagiat Académique (IRAFPA)* est aujourd’hui une institution de référence en matière d’intégrité scientifique – que ce soit par la pertinence de ses méthodologies d’intervention, de ses interventions comme médiateur et en accompagnement individuel, et par ses actions de certification institutionnelle.

  • Newspaper

    Les rédacteurs de travaux universitaires en passe de perdre un lucratif marché mondia

    Kenya

    Press

    Gilbert Nakweya - University World News

    Les dernières mesures prises par le gouvernement britannique pour mettre fin aux usines à diplôme sont un coup dur pour des milliers d’étudiants et diplômés d’université kenyans, qui avaient fait de la rédaction de travaux universitaires leur principale source de revenus. Comme l’observe un expert des questions d’intégrité dans son blog, ces étudiants estiment rendre un précieux service et ne voient pas en quoi cette pratique est frauduleuse. Ils se considèrent comme des rédacteurs de travaux universitaires, une pratique jugée contraire à l’éthique et qui pourrait nuire à la qualité de l’enseignement supérieur.

  • Newspaper

    Hausse de 40 % de la triche dans les grandes universités britanniques

    Royaume Uni

    Press

    Sarah Marsh - The Guardian

    Le nombre d’étudiants pris en train de tricher dans les plus grandes universités du Royaume-Uni a grimpé d’un tiers en trois ans alors même que, selon les experts, les établissements continuent d’ignorer le problème. Pour cet enseignant à l’Imperial College London qui est aussi l’un des plus grands spécialistes du pays en matière de fraude aux dissertations, « un nombre grandissant de jeunes gens, qui ont le sentiment d’être soumis à des pressions encore plus fortes que d’habitude, vont recourir à la triche pour pouvoir décrocher un diplôme. Sachant que l’accès aux sites Internet qui rédigent vos mémoires moyennant finances est de plus en plus aisé. »

  • Newspaper

    Les « points chauds » de la fraude : réprimer le recours frauduleux à des tiers dans les universités

    Press

    Henrietta Cook - Sydney Morning Herald

    Les universités sont instamment priées de bloquer les sites Internet qui commercialisent des thèses, mais aussi de repérer les « points chauds » de la fraude et de publier des informations sur les cas de violation de l’intégrité académique. Face au phénomène grandissant du recours à des tiers (ou contract cheating), qui conduit des étudiants à sous-traiter les contrôles de connaissances, l’autorité australienne chargée de surveiller l’enseignement supérieur a dévoilé de nouvelles directives pour le combattre. Selon une enquête récente menée par un professeur associé de l’University of South Australia, qui a participé à l’élaboration de ces directives, 6 % des étudiants australiens pratiquent une forme de triche.

  • Newspaper

    L’homme qui aidait les étudiants à tricher

    Royaume Uni

    Press

    Andrew Bomford - BBC

    La plupart des étudiants sont prêts à travailler dur, faire de leur mieux et en accepter les conséquences. Mais pour tous ceux qui ne voient pas pourquoi ils se fatigueraient, il existe une foule de rédacteurs prêts, moyennant finances, à les aider. Les universités ont réagi à cette menace en tâchant de modifier les modalités d’évaluation des étudiants. De plus en plus souvent, ces derniers doivent défendre oralement leurs travaux, devant un groupe, ou répondre aux questions posées par leurs enseignants.

  • Newspaper

    Les universités doivent limiter le nombre doctorants par directeurs de thèse et contrôler le plagiat

    Inde

    Press

    Basant Kumar Mohanty - The Telegraph, India

    Dans le cadre d’une tentative pour réduire les lacunes dans la recherche, les universités pourraient s’attirer des pénalités, y compris le gel des subventions, si l’on découvre que leurs enseignants encadrent plus de 8 doctorants en même temps. La commission des subventions universitaires demandera à toutes les universités de mettre en place des logiciels anti-plagiat pour s’assurer que tout mémoire de thèse soit basé sur de véritables recherches, vu que certaines agences proposent aux étudiants d’écrire leur thèse pour eux contre rémunération.

  • Newspaper

    Les plus grandes universités sévissent contre les fraudeurs qui utilisent le service de rédaction « MyMaster »

    Australie

    Press

    Jean Kennedy - ABC

    Plusieurs universités de Sydney éclaboussées par un scandale de tricherie lié à l’utilisation d’un service de rédaction en ligne par certains de leurs étudiants ont décidé de réagir et de sévir contre cette nouvelle façon de frauder. Le vice-président de l’Université de Sydney a déclaré qu’il dirigerait lui-même un groupe de travail pour mener l’enquête sur ces nouvelles méthodes de fraude au sein de l’université.

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