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1-10 of 76 results

  • Newspaper

    Une nouvelle loi prévoit des peines d’emprisonnement pour les fournisseurs de services facilitant la triche

    Australie

    Press

    Geoff Maslen - University World News

    Le ministre de l’Éducation a annoncé que la vente de services facilitant la triche aux étudiants des universités australiennes était désormais passible de deux ans de prison ou d’une amende pouvant atteindre 100 000 AUS. Quant aux étudiants tricheurs, ils seront soumis aux politiques d’intégrité et aux sanctions prévues par leur université. La Tertiary Education Quality and Standards Agency aura toute autorité pour demander l’application de mesures légales afin d’obliger les fournisseurs d’accès à Internet et les moteurs de recherche à bloquer les sites proposant des services facilitant la triche.

  • Newspaper

    Plagiat : l’arbre qui cache la forêt

    Bangladesh

    Press

    Namia Akhtar - The Daily Star

    La fraude académique atteint des proportions dramatiques au Bangladesh, depuis le copiage de musique ou des devoirs à la maison jusqu’à l’achat de thèses toutes faites. La triche contractuelle et le plagiat sont des phénomènes récurrents chez les étudiants mais qui touchent aussi certains membres du corps enseignants à Dhaka University. Sans oublier les nombreux incidents provoqués par des étudiants militants dans des partis politiques, qui obligent les enseignants à leur accorder leur examen même s’ils ont fait des erreurs ou ne se sont pas présentés aux épreuves.

  • Newspaper

    Les universitaires combattent les mauvais comportements endémiques

    Ukraine

    Press

    - University World News

    Selon dix scientifiques ukrainiens, le plagiat, la pseudoscience, les pots-de-vin et la triche font partie des menaces pesant sévèrement sur l’intégrité académique dans leur pays. Environ 90 % de tous les enseignants en science ne sont pas des chercheurs légitimes. Selon une étude réalisée auprès des étudiants de premier cycle dans la ville de Lviv, 93 % d’entre eux admettent avoir recouru au plagiat et 48 % reconnaissent avoir versé des pots-de-vin dans leur université.

  • Newspaper

    Une parlementaire du Bangladesh avait payé huit personnes pour passer des examens à sa place

    Bangladesh

    Press

    - BBC News

    Une député, qui occupe l’un des 50 sièges réservés aux femmes au sein du parlement du Bangladesh, vient d’être exclue de l’université pour avoir embauché huit personnes censées passer des examens à sa place. Selon le vice-recteur de l’Open University, l’inscription de la député a été annulée et celle-ci ne pourra plus jamais se représenter à un examen dans cette université.

  • Newspaper

    Des étudiants d’East Greenwich réagissent à des allégations de triche

    Etats-Unis

    Press

    Danielle Kennedy - NBC 10 News

    Un élève de l’East Greenwich High School est accusé d’avoir acheté les réponses à un test de niveau approfondi pour les revendre à une vingtaine ou trentaine d’autres élèves. Selon les déclarations du directeur de l’établissement à NBC 10 News, des enquêtes sont en cours et le conduiront, le cas échéant, à appliquer le code de déontologie des élèves.

  • Newspaper

    Le cœur battant des usines à thèses d’Afrique

    Kenya

    Press

    Jake Wallis - Mail Online

    Selon un informaticien expert des questions de triche contractuelle, le Kenya est devenu le centre du monde de la fraude universitaire. L’immense majorité des étudiants travaillent dans des usines à thèses qui sont ensuite fournies à des étudiants britanniques avec la garantie qu’elles sont exemptes de plagiat et parfaitement anonymes. Soucieuse de sévir contre ces pratiques et sous pression du gouvernement britannique, la société PayPal a annoncé le blocage des règlements en faveur de ces usines.

  • Newspaper

    Les montres « intelligentes » à l’origine d’une recrudescence de la triche aux examens d’entrée à la faculté

    Irlande

    Press

    - The Irish Times

    Les universitaires peinent à contrôler l’utilisation d’appareils électroniques dans des salles d’examen bondées. Les cas de non-respect des règles d’examen ne cessent d’augmenter, de 56 l’an dernier à 83 cette année. Rien qu’en 2019, Trinity College a déclaré 42 violations de ces règles et dix cas de triche. Plusieurs facultés du Royaume-Uni ont depuis interdit le port d’une montre, quelle qu’elle soit.

  • Newspaper

    L’intelligence artificielle au secours de la lutte contre la fraude scolaire

    Etats-Unis

    Press

    Matthew Lynch - The Tech Edvocate

    Selon l’International Center for Academic Integrity, 68 % des étudiants de premier cycle et 43 % des étudiants de deuxième cycle reconnaissent avoir triché lors d’un examen ou pour un devoir écrit. Plusieurs études font état d’un comportement identique au lycée. La technologie facilite certes la triche mais, de plus en plus, elle simplifie la détection des fraudeurs.

  • Promouvoir l’intégrité académique à l’université : L’action de l’IRAFPA au Monténégro

    News

    L’Institut International pour la Recherche et l’Action sur la Fraude et le Plagiat Académique (IRAFPA)* est aujourd’hui une institution de référence en matière d’intégrité scientifique – que ce soit par la pertinence de ses méthodologies d’intervention, de ses interventions comme médiateur et en accompagnement individuel, et par ses actions de certification institutionnelle.

  • Newspaper

    Un nouveau projet de loi prévoit de sanctionner la triche universitaire par une peine de prison et une lourde amende

    Australie

    Press

    Ally Foster - news.com.au

    La « triche contractuelle » se banalise dans de nombreuses universités d’Australie, avec toute une palette de services faciles d’accès permettant à un tiers, moyennant finances, de terminer un devoir ou de passer un examen à la place de l’étudiant. Certains prestataires proposent même à l’étudiant de choisir la note souhaitée, le prix étant ajusté en fonction. Le gouvernement vient de présenter un projet de loi qui prévoit que la personne à l’origine de cette triche contractuelle pourrait être passible de deux ans d’emprisonnement et d’une amende de 210 000 dollars.

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