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  • Newspaper

    La qualité des « usines à mémoires » rend la supercherie indécelable

    Australie

    Press

    Chris Havergal - Times Higher Education

    Les étudiants qui trichent en recourant à des usines à mémoires sont « pratiquement indétectables », selon une recherche qui a constaté que bon nombre de mémoires rédigés par des scribes rémunérés obtiendraient de bonnes notes s’ils étaient présentés. Une chargée de cours associée en histoire à l’université de New South Wales a testé des sites payants de rédaction de mémoires, en commandant 13 travaux qu’elle a ensuite soumis à des universitaires de renom convaincus qu’ils avaient entre les mains des textes de véritables étudiants. Les résultats sont « inquiétants », puisque la qualité des mémoires achetés est « meilleure que prévu » de sorte que le recours à ces services payants est sans doute « beaucoup plus fréquent » qu’on ne le pensait jusqu’ici.

  • Newspaper

    L’université de Macquarie annule les diplômes d’étudiants surpris en train d’acheter des mémoires sur le site frauduleux MyMaster

    Australie

    Press

    Lisa Visentin - The Sydney Morning herald

    L’université de Macquarie a annulé le diplôme de deux étudiants et empêché une dizaine d’autres d’obtenir le leur, suite à une enquête indépendante qui a révélé que ces étudiants s’étaient servis d’un service de rédaction en ligne pour faire leurs travaux. La Northern Sydney University a conclu récemment une enquête interne sur l’entreprise frauduleuse MyMaster à laquelle près de 1 000 étudiants de 16 universités ont acheté en ligne leurs mémoires ou épreuves d’examens en ligne.

  • Newspaper

    Qui se cachait derrière la machine à rédiger des mémoires d’université ?

    Australie

    Press

    Amy McNeilage and Lisa Visentin - Sydney Morning Herald

    À la tête de l’entreprise impliquée dans un scandale de fraude académique à grande échelle, une femme d’affaires née en Chine. Ce personnage entreprenant âgé de 30 ans s’est servi de son diplôme comptable pour créer un lucratif service de rédaction pour des tiers, baptisé MyMaster. Ce faisant, MyMaster a engrangé au moins 160 000 dollars en 2014 en échange de plus de 900 devoirs frauduleux remis à des élèves prêts à débourser jusqu’à 1 000 dollars pour ce travail.

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