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  • Newspaper

    Jusqu’à vingt ans d’incarcération pour les recteurs en cas de cours donnés sans habilitation

    Ghana

    Press

    Graphic Online - University World News

    À la suite de l’entrée en vigueur en 2020 de la loi sur les entités réglementaires de l’éducation (loi 1023), tous les nouveaux établissements ghanéens d’enseignement supérieur qui promeuvent ou gèrent un programme pour lequel ils n’ont pas d’accréditation risquent, entre autres, une amende de 240 000 cédis (41 400 dollars US). En outre, les recteurs et vice-recteurs de ces établissements encourent une peine maximale de vingt ans d’emprisonnement.

  • Newspaper

    Des universitaires dénoncent les failles du processus annuel d’accréditation

    Nigéria

    Press

    Alex Abutu - University World News

    Des universités nigérianes ont été accusées de sous-déclarer le nombre d’étudiants inscrits et de recruter des enseignants déjà en poste ailleurs. Le but est de convaincre la National Universities Commission (NUC) qu’elles ont suffisamment de personnel par rapport aux taux d’encadrement imposés et de conserver ainsi leur accréditation. L’examen conduit par la NUC met en lumière une autre pratique contestable, qui consiste à confier à des enseignants le suivi d’activités dans leur propre domaine de compétences. Ce qui peut pousser certains enseignants à favoriser des collègues, au mépris des normes, lesquels collègues leur renvoient parfois l’ascenseur au moment des accréditations.

  • Newspaper

    Vous pouvez désormais aller en prison pour avoir falsifié un diplôme sur votre CV

    Afrique du Sud

    Press

    Philip de Wet - Business Insider

    Selon la loi sud-africaine sur le cadre national des qualifications (National Qualifications Framework Act), s’inventer un diplôme de l’enseignement supérieur est une infraction pénale passible d’une peine de prison ou d’une amende. Se prévaloir d’un doctorat ou d’un autre diplôme sur LinkedIn ou sur sa bio Twitter peut suffire à vous attirer de sérieux ennuis. En vertu de la nouvelle loi, les gestionnaires de faux établissements risquent également une peine de prison pouvant aller jusqu’à cinq ans s’ils prétendent être immatriculés comme établissements d’enseignement en Afrique du Sud ou à l’étranger.

  • Newspaper

    La qualité de l’enseignement supérieur compromise entre autres par la corruption

    Press

    Francis Kokutse - University World News

    L’Association des universités africaines (AUA) révèle que la corruption et les menaces à l’encontre des fonctionnaires des organismes d’accréditation compromettent la qualité de certains établissements d’enseignement supérieur en Afrique. « Du fait de la corruption, certaines universités détenues par ‘les riches et les célèbres’ mais aussi par des hommes politiques obtiennent leur accréditation sans avoir à remplir toutes les conditions. Les fonctionnaires qui refusent d’accorder le précieux sésame font l’objet de menaces. » L’AUA est en train de travailler à un dispositif régional de reconnaissance des qualifications de l’enseignement supérieur en Afrique.

  • Newspaper

    Les pays en développement montrent la voie dans la lutte contre la fraude

    Nigéria

    Press

    Brendan O’Malley - University World News

    Alors que l’Occident se plaît à dénoncer la corruption ou les pratiques abusives dans les pays d’Afrique, aucun pays n’est épargné, y compris les États-Unis ou le Royaume-Uni. Le Nigéria fait partie des pays qui se dotent de systèmes d’assurance qualité et promulguent des lois contre certaines formes de corruption, qui leur permettent de fermer des établissements qui se seraient livrés à ces activités coupables. Sur l’ensemble du continent, GUNi-Africa contribue au renforcement des capacités, en s’adressant aux responsables, en sensibilisant les populations et en veillant à ce que les contrevenants soient punis et les sanctions portées à la connaissance de tous.

  • Newspaper

    Le ministre de l’Éducation veut fermer les universités qui « vendent » des diplômes aux hommes politiques

    Kenya

    Press

    LEWIS NYAUNDI - The Star

    Le ministre de l’Éducation du Kenya entend bien radier les universités qui vendent leurs diplômes aux responsables politiques. Il a indiqué que le gouvernement prévoyait dès l’année prochaine de faire le ménage dans l’enseignement supérieur, y compris dans les établissements privés. « Je me réjouis de voir que les conseils commencent à repérer les fraudeurs et annulent leurs diplômes. Nous aimerions que toutes les universités rejoignent ce mouvement lancé par la CUE et le ministère », a-t-il indiqué lundi lors de la cérémonie de remise des diplômes de l’AMFRED. Les sanctions frapperont les universités qui ne respectent pas les règles de fonctionnement de l’enseignement supérieur. Parmi les établissements visés, ceux qui continuent de fonctionner sur la base d’autorisations provisoires au-delà du délai légal.

  • Newspaper

    Le fléau des établissements privés d’enseignement supérieur dénués de scrupules

    Éthiopie

    Press

    Wondwosen Tamrat - University World News

    Les 30 dernières années ont vu l’explosion des établissements privés d’enseignement supérieur (PHEI) le monde à un rythme effréné. En Éthiopie, les PHEI doivent obtenir une accréditation avant de pouvoir commencer à fonctionner. Mais les autorités manquent de moyens pour faire respecter les règles et les établissements illégaux (et les étudiants) en profitent. Faisant valoir l’importance de leurs effectifs comme ligne de défense, ces établissements voyous profitent des « dégâts excessifs » que toute action gouvernementale pourrait entraîner si leurs pratiques illégales étaient mises au jour.

  • Newspaper

    De nouveaux détails choquants sur la corruption dans les universités

    Kenya

    Press

    Augustine Oduor - The Standard

    Selon un rapport confidentiel, les universités du Kenya font face à de sérieux problèmes de gestion, ayant pour conséquence des failles dans les processus d’admission, un personnel insuffisant et des normes d'administration, de supervision et de recherche peu rigoureuses. Le rapport montre également que certaines institutions contournent les règles pour augmenter les admissions afin de combler des trous dans leur budget, permettent aux étudiants d'obtenir leur diplôme en quelques mois, ou les inscrivent à des cours non accrédités grâce auxquels ils obtiennent ensuite un diplôme. Après avoir remis leur rapport avec les corrections à faire, ces institutions auront 30 jours pour publier une feuille de route rectificative.

  • Newspaper

    Les universités corrompues doivent perdre leur statut, selon le Secrétaire de cabinet à l’éducation

    Kenya

    Press

    Agewa Magut - Daily Nation

    Les universités impliquées dans de la corruption se verront retirer leur statut, a dit le secrétaire de Cabinet à l'éducation. Le ministre a averti que les universités qui admettent des étudiants non qualifiés et les autorisent à obtenir un diplôme perdront également leur statut. Il a également déclaré que les universités qui accordent aux politiciens des certificats pour lesquels ils ne sont pas qualifiés avant les élections de l'année prochaine ne seront pas épargnées. Il l’a annoncé vendredi lors de la première cérémonie de remise des diplômes de l'Université coopérative du Kenya.

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