Page de recherche

Page de recherche

Avis de non-responsabilité : L’IIPE ne peut garantir l’exactitude des informations contenues dans ces articles.
Les liens hypertexte vers d’autres sites web n’impliquent ni la responsabilité, ni l’approbation des informations figurant dans ces sites web.

1-10 of 35 results

  • Newspaper

    Les universités corrompues doivent perdre leur statut, selon le Secrétaire de cabinet à l’éducation

    Kenya

    Press

    Agewa Magut - Daily Nation

    Les universités impliquées dans de la corruption se verront retirer leur statut, a dit le secrétaire de Cabinet à l'éducation. Le ministre a averti que les universités qui admettent des étudiants non qualifiés et les autorisent à obtenir un diplôme perdront également leur statut. Il a également déclaré que les universités qui accordent aux politiciens des certificats pour lesquels ils ne sont pas qualifiés avant les élections de l'année prochaine ne seront pas épargnées. Il l’a annoncé vendredi lors de la première cérémonie de remise des diplômes de l'Université coopérative du Kenya.

  • Newspaper

    Mise en garde des étudiants contre des établissements non agréés

    Madagascar

    Press

    - University World News

    La ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche a mis en garde les nouveaux étudiants afin qu’ils aillent bien s’inscrire dans des établissements agréés et accrédités par l’État. Ces dernières années en effet, avec la hausse du nombre d’étudiants pouvant accéder à l’enseignement supérieur, un certain nombre d’établissements privés ont vu le jour pour compenser le manque de places dans le système public. Elle a rappelé que « le ministère se refusait à ratifier ou reconnaître des diplômes délivrés par des établissements non agréés ».

  • Newspaper

    Le cancre Bihar : une escroquerie aux certificats scolaires braque les projecteurs sur la crise de l’éducation en Inde

    Inde

    Press

    - Times of India

    Lors de la dernière escroquerie en date, révélée dans l’État du Bihar, il semble que des étudiants aient pu acheter des certificats attestant d’excellentes notes pour 500 000 roupies environ, sans même passer l’examen intermédiaire. Par ailleurs, de nombreux établissements auraient obtenu leurs affiliations de manière douteuse. Tous ces cadavres ressortent du placard à la suite d’enquêtes lancées par une émission de TV, qui avait permis de constater que les meilleurs élèves de l’année avaient du mal à répondre aux questions les plus élémentaires concernant leurs cours. Parmi les perles entendues, celle-ci, savoureuse, d’un élève déclarant que les sciences politiques traitent de cuisine… Ce qui est certain, c’est que la pourriture mijote depuis longtemps dans le système éducatif.

  • Newspaper

    L’article 44 peut être invoqué pour « ramener dans le droit chemin les universités dévoyées »

    Thaïlande

    Press

    Keskarn Boonpen - The Nation

    Le ministre de l’Éducation a menacé de recourir à l’article 44 de la constitution provisoire pour lutter contre les énormes problèmes rencontrés dans l’enseignement supérieur du pays. Plusieurs universités publiques et privées ont récemment proposé des cursus sans autorisation. Le dernier scandale en date concerne la Bangkok Thonburi University (BTU) : autorisée à proposer un mastère en gestion de l’éducation pour 500 étudiants par an, l’université avait en fait recruté 2 500 étudiants.

  • Newspaper

    Agir contre les facs bidon : Centre

    Afghanistan

    Press

    - Times of India

    Face au phénomène des universités bidon, qui trompent les étudiants du pays, une commission parlementaire indienne a réfléchi à une action « exemplaire » à l’encontre de ces structures et de ceux qui violent les directives de l’University Grants Commission. Dans une autre observation pertinente, la commission s’est intéressée à la question de la corruption au sein de l’All India Council for Technical Education (AICTE), recommandant au ministère du Développement des ressources humaines de renforcer la responsabilité de ses agents et le mécanisme de vigilance de l’AICTE.

  • Newspaper

    Le ministère s’en prend aux universités factices

    Indonésie

    Press

    Fedina S. Sundaryani - The Jakarta Post

    Le Ministère de la recherche, de la technologie et de l’enseignement supérieur a déclaré que les élèves diplômés d’universités dont l’activité est suspendue suite à des violations diverses ne recevraient pas de diplômes reconnus par l’état. Le ministère a annoncé que 239 universités jugées problématiques ne sont plus en activité, ce qui implique qu’elles ne recevront plus de services du ministère tels que des subventions, des certifications pour leurs enseignants et des bourses d’études. Le ministère refusera également les propositions d’accréditation ou les nouveaux programmes d’études.

  • Newspaper

    Avertissement du NCHE : Attention aux universités factices

    Angola

    Press

    Esther Mark - Edufrica

    La commission nationale de l’enseignement supérieur (NCHE) conseille aux étudiants qui cherchent à être admis dans l’une des universités du pays, de vérifier si elles sont agréées par le ministère de l’éducation. Selon le directeur général de cette commission, ces universités factices, ou inférieures aux normes, proposent aux étudiants des diplômes sans valeur dans divers domaines.

  • Newspaper

    Institutions étrangères prévenus concernant les inscriptions en doctorat

    Ghana

    Press

    Francis Kokutse - University World News

    Le bureau national d’accréditation a ordonné aux institutions d’enseignement supérieur étrangères du Ghana de vérifier que seuls les étudiants ayant un diplôme décerné par une institution accréditée par le conseil soient acceptés pour préparer un doctorat. Le bureau s’intéresse également aux nombreux diplômes honorifiques qui ont étés accordés à des personnalités par des institutions non-accréditées ou non qualifiées.

  • Newspaper

    Les chiens de garde de l’enseignement supérieur mordent rarement

    Etats-Unis

    Press

    Andrea Fuller ; Douglas Belkin - The Wall Street Journal

    Les organismes d’accréditation maintiennent ouverts des centaines d’établissements malgré leur faible taux de réussite, ou le non remboursement de leurs emprunts. La plupart des établissements d’enseignement supérieur ne peuvent rester ouverts sans l'approbation officielle d’un organisme d’accréditation, indispensable pour que leurs étudiants obtiennent des prêts ou des bourses du Gouvernement fédéral. Or les organismes d’accréditation ne suppriment presque jamais l’accréditation des établissements les moins performants, et ne disposent pas de normes uniformes pour évaluer le taux de réussite aux examens, ou les défauts de remboursement.

Restez informés

Inscrivez-vous au buletin ETICO pour recevoir les dernières actualités

Soumettez votre contribution

Apportez votre contribution à la bibliothèque dédiée à la corruption dans l'éducation