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  • Newspaper

    Enjeux de l’élimination de la corruption dans les universités

    Press

    Karen MacGregor - University World News

    D’après un chercheur de l’International Higher Education de Boston College, la corruption est une « tendance pernicieuse » dans tous les pays. En Arménie, en Lituanie, en Russie et en Ukraine, les enseignants se retrouvent confrontés à un dilemme : ignorer les tricheries ou prendre le risque de renvoyer des étudiants dont les frais de scolarité font vivre l’université. Une étude menée en Russie a révélé que 72 % des étudiants des universités publiques avaient déjà plagié des ressources trouvées sur Internet. En Inde, « la survie de nombreuses petites universités privées est tributaire des sommes versées aux représentants du gouvernement, aux recruteurs et aux comités d’inspections, ainsi que des frais réglés par des étudiants qui ne se présentent pas en cours ».

  • Newspaper

    Plagiat : l’arbre qui cache la forêt

    Bangladesh

    Press

    Namia Akhtar - The Daily Star

    La fraude académique atteint des proportions dramatiques au Bangladesh, depuis le copiage de musique ou des devoirs à la maison jusqu’à l’achat de thèses toutes faites. La triche contractuelle et le plagiat sont des phénomènes récurrents chez les étudiants mais qui touchent aussi certains membres du corps enseignants à Dhaka University. Sans oublier les nombreux incidents provoqués par des étudiants militants dans des partis politiques, qui obligent les enseignants à leur accorder leur examen même s’ils ont fait des erreurs ou ne se sont pas présentés aux épreuves.

  • Newspaper

    Examens : les malversations se poursuivent

    Nigéria

    Press

    Eugene Enahoro - Daily Trust

    Les malversations en matière d’examens sont une « industrie » très organisée, à laquelle participent des directeurs d’école, des fonctionnaires du ministère de l’Éducation, des responsables du Conseil des examens de l’Afrique occidentale, des surveillants, des personnes recrutées pour donner les bonnes réponses et des élèves. Selon une étude, cette situation est le résultat de plusieurs facteurs : piètre mise en œuvre des règles des épreuves, absence de craintes de sanction, mauvaise préparation aux examens, déloyauté des employés responsables des examens et des élèves, et menaces de la part des parents. Beaucoup d’entre eux préfèrent payer l’examinateur plutôt que des cours particuliers pour leur enfant, qui ne garantissent pas sa réussite aux examens.

  • Newspaper

    Comment les universités continuent de pâtir de l’ingérence du politique

    Angola

    Press

    Ibrahim Oanda - University World News

    L’ingérence du politique dans les universités d’Afrique n’est pas un phénomène nouveau. Dans les années 1980 et 1990, la gouvernance des universités semble avoir été accaparée à des fins plus politiques qu’académiques. Avec la priorité accordée à la solidité des structures de gouvernance, une évolution s’amorce au milieu des années 1990. Les gouvernements s’engagent à aider les établissements stables pour qu’ils puissent se concentrer sur leurs missions académiques. Mais selon des études financées par la Carnegie Corporation de New York et réalisées par le CODESRIA, rien n’aurait vraiment changé, avec la persistance des tensions et des crises associées à l’ancien ordre politique — manifestations d’étudiants, harcèlement du personnel académique et corruption généralisée.

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