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Comment les acteurs de l’éducation peuvent-ils promouvoir l’intégrité et la transparence dans le secteur éducatif ? Les données ouvertes sur l’école constituent un levier puissant pour impliquer l’ensemble de la communauté éducative : elles permettent aux citoyens d’accéder à des informations sur le financement des écoles, le nombre d’élèves et d’enseignants, les équipements et manuels scolaires, et aussi les résultats aux examens. Regardez cette vidéo pour découvrir comment ces données ouvertes permettent d’établir des relations de confiance entre toutes les parties prenantes de la communauté scolaire.

Réalisée par l’IIPE-UNESCO, la vidéo vise à sensibiliser au pouvoir des données ouvertes sur les écoles dans l’éducation. Ces données sont un moyen puissant d’impliquer l’ensemble de la communauté éducative : elles partagent avec le public des informations sur le financement des écoles, le nombre d’élèves et d’enseignants, les installations, les manuels et les résultats des examens.

Cette vidéo, réalisée par l'IIPE-UNESCO, vise à démontrer le pouvoir des données ouvertes dans l'éducation. Elle explore comment les agents éducatifs peuvent promouvoir l'intégrité et la transparence dans le secteur de l'éducation.  Les données ouvertes sur l’école constituent un puissant moyen d'intégrer l'ensemble de la communauté éducative, en fournissant au public des informations sur le financement des écoles, le nombre d'élèves et d'enseignants, l'équipement et les ressources scolaires, les manuels scolaires et les résultats des examens.

Cette courte vidéo réalisée par l'IIPE-UNESCO vise à explorer trois questions : en quoi consiste le gouvernement ouvert ; quels sont les bénéfices d'un gouvernement ouvert pour l'éducation ; quelles bonnes pratiques sont identifiées en matière de gouvernement ouvert. 

La technologie, la cupidité, l'absence de règles et de normes claires, l'hyper compétitivité et une certaine part de corruption ont entraîné la confusion et l'anarchie dans le monde de la communication scientifique. Il n'y a pas si longtemps, la publication scientifique était en grande partie entre les mains d'éditeurs universitaires et de sociétés scientifiques à but non lucratif, contrôlés pour la plupart par la communauté universitaire. Les problèmes impliqués sont complexes – comment gérer la technologie, gérer l'expansion de la production scientifique, rationaliser l'examen par les pairs, briser le monopole des multinationales et, surtout, inculquer un sens moral et des attentes réalistes à la communauté universitaire elle-même.

Les universitaires doivent publier afin d'avancer professionnellement, d'obtenir de meilleurs postes ou de conserver leur emploi. Même dans des institutions universitaires respectables, la différence entre les publications et conférences légitimes et les fausses est beaucoup plus floue que ce que les spécialistes voudraient admettre. Certains opérateurs malins ont maintenant réalisé que lorsque les normes sont peu strictes au départ, il y a de gros profits à faire dans les zones grises du milieu universitaire.

« Publier ou périr » : la faille éthique de cet impératif
La revue par les pairs est la référence absolue des publications savantes tandis que le nombre d’articles publiés constitue souvent un indicateur majeur de performance pour un scientifique. La pression exercée est telle qu’un chercheur voudra à tout prix publier dans une revue qui propose un examen collégial de l’article avec, pour conséquence, l’apparition d’éditeurs ou de revues qui publieront, moyennant finance, des travaux non soumis à l’examen des pairs. Le blog Scholarly Open Access a établi une liste des éditeurs et des revues potentiellement « prédateurs » qui publient en accès ouvert.