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  • Newspaper

    Des étudiants zimbabwéens accusent les professeurs de monnayer les notes

    Zimbabwe

    Press

    TellZim News - University World News

    Les étudiants de l'école normale de Masvingo affirment que les professeurs des programmes d'études professionnelles et d'art exigent 10 dollars américains des étudiants si ces derniers veulent réussir leurs travaux. S’ils refusent, les enseignants les font délibérément échouer à leurs devoirs ou leur donnent des notes inférieures. Selon le directeur du collège, l'affaire fait actuellement l'objet d'une enquête.

  • Newspaper

    Les difficultés de la dénonciation du chantage sexuel au Zimbabwe

    Zimbabwe

    Press

    Muchaneta Mundopa - Voices for Transparency

    Transparency International Zimbabwe révèle que de nombreux étudiants sont poussés à accorder des faveurs sexuelles pour obtenir de bonnes notes, mais qu’ils sont rarement entendus quand ils ont le courage de dénoncer ces pratiques. Le chantage sexuel, qui suppose l’échange de faveurs intimes plutôt que d’argent, n’étant pas encore officiellement reconnu comme une forme de corruption, la plupart des universités du Zimbabwe n’ont pas de politique claire pour traiter de ces cas. Il n’existe pas de cadre légal assimilant le chantage sexuel à une forme de corruption et la police a souvent bien du mal à comprendre tous les enjeux.

  • Newspaper

    Le vice-recteur accusé d’avoir abusivement accordé un diplôme à l’ancienne première dame du pays

    Zimbabwe

    Press

    Kudzai Mashininga - University World News

    Le vice-recteur de l’université du Zimbabwe vient d’être arrêté pour avoir attribué « de manière corrompue » en 2014 un diplôme de docteur en philosophie à l’ancienne première dame du pays. Un autre professeur de la même université, censé avoir supervisé les travaux de cette « étudiante », est également sous le coup d’une enquête. Depuis 2014, des rumeurs circulaient sur la validité de ce doctorat mais aucune action n’avait été engagée à l’encontre de l’épouse du président du pays. Il a fallu atteindre novembre dernier et la démission forcée de l’ancien homme fort du Zimbabwe pour que les choses changent.

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