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1-10 of 33 results

  • Newspaper

    Le NUS ouvre une enquête sur le harcèlement sexuel à l’université

    Royaume Uni

    Press

    - The Guardian

    Le National Union of Students (NUS) va lancer une enquête sur le harcèlement sexuel à l’université, la première du genre à s’intéresser aux comportements abusifs du personnel de l’enseignement supérieur au Royaume-Uni. Les étudiants devront indiquer s’ils ont été victimes ou témoins d’une inconduite sexuelle de la part du personnel et dans quelles conditions ils ont pu ou non dénoncer un tel comportement aux autorités universitaires. Ce projet de recherche s’inscrit dans le cadre de la campagne du NUS en faveur des femmes. Les chercheurs s’intéresseront aux limites professionnelles et analyseront les formes de comportement jugées acceptables par les étudiants dans leurs rapports avec le personnel universitaire.

  • Newspaper

    Des universités de prestige investissent leurs fonds de dotation dans des paradis fiscaux

    Etats-Unis, Royaume Uni

    Press

    Brendan O’Malley - University World News

    Selon les informations révélées par les fameux « Paradise Papers », des universités d’élite américaines et britanniques ont investi leurs dotations dans des fonds offshore pour échapper à l’impôt ou acquitter un montant minime. Pour la Fossil Free Pitt Coalition, gérée par des étudiants, « le manque de transparence est inquiétant puisque nous ignorons tout du devenir de deux tiers des dotations – et nous avons des doutes quant à la destination d’une grande partie de ces fonds. » Un professeur émérite de l’université d’Essex a déclaré dans un journal britannique que les universités du pays devaient faire preuve d’une plus grande transparence quant à leurs décisions d’investissement, puisque ce sont des établissements publics destinataires de dotations publiques, y compris en provenance de l’Union européenne.

  • Newspaper

    Des chercheurs néerlandais recyclent leurs textes

    Pays-Bas

    Press

    Debora Weber-Wulff - Copy, Shake, Paste

    Le 24 septembre 2017, le journal néerlandais de Volkskrant indiquait qu’un groupe de chercheurs de Nimègue enquêtait sur des cas d’auto-plagiat (zelfplagiaat). Le groupe, composé de doctorants placés sous la houlette de leur enseignant en sociologie des sciences, a analysé 922 publications récentes de chercheurs du pays. En économie, 14 % des articles reprenaient des textes tirés de publications précédentes de l’(des) auteur(s), contre 5 % en psychologie. Le groupe a découvert dans le même numéro d’une revue un article republié tel quel, à un changement minime près, et deux autres articles quasiment identiques du même auteur. Il a également constaté que plus les chercheurs publient, plus ils ont tendance à recycler leurs textes.

  • Newspaper

    Un chirurgien pour célébrités a affirmé à tort avoir implanté avec succès des trachées artificielles, révèle une étude

    Suède

    Press

    Lee Roden - The Local

    L’organisme suédois chargé d’évaluer les travaux de recherche a accusé un chirurgien touché par un scandale de fraude académique pour avoir décrit de manière trompeuse dans une série d’articles scientifiques des implantations soi-disant réussies de la trachée. En 2014, quatre médecins du Stockholm’s Karolinska University Hospital l’avaient dénoncé au président alors en poste du Karolinska Institute (KI) pour avoir présenté ces implantations de manière fallacieuse dans différentes revues scientifiques. En 2015, les articles ont été étudiés par le professeur en chirurgie de l’Uppsala University, qui a conclu que le chirurgien était coupable de fraude académique, alors que l’évaluation du KI visait à le blanchir, lui et ses co-auteurs.

  • Newspaper

    Les universités peuvent-elles mettre fin à la triche, face à l’ingéniosité incroyable des étudiants ?

    Royaume Uni

    Press

    - The Guardian

    Bêtement évidente ou ingénieuse, la triche estudiantine revêt des formes multiples. Pourquoi les étudiants trichent-ils, quand les risques encourus vont de l’obligation de repasser le module concerné à l’éviction pure et simple de l’université, en passant par l’abaissement de leur niveau de classement ? Les raisons sont multiples (pression financière, faibles capacités d’organisation, panique), surtout dans le cas d’étudiants qui n’auraient sinon pas pu accéder à l’université ou, à tout le moins, auraient eu besoin de structures de soutien plus solides au début de leurs études.

  • Newspaper

    Au cœur des « usines à thèses » qui font le travail à la place des étudiants

    Royaume Uni

    Press

    Guy Kelly - the Telegraph

    Selon des estimations, l’« industrie de la rédaction de thèses professionnelles », qui propose de réaliser, moyennant finances, n’importe quel devoir, quel que soit le niveau, représenterait désormais un marché de plus de 100 millions de livres. Chaque année, des dizaines de milliers d’étudiants inscrits dans les universités britanniques font appel à ces services. Si, au début, il s’agissait surtout d’étudiants étrangers soucieux de produire un travail rédigé dans un bon anglais, la tendance gagne également les jeunes Britanniques. En deux ans, l’un des poids lourds du secteur a vu le nombre de clients britanniques augmenter d’un cinquième.

  • Newspaper

    Comment enrayer la triche à l’université

    Royaume Uni

    Press

    Thomas Lancaster - The Conversation

    Une enquête récente pour plagiat dans l’enseignement supérieur conduite par la Quality Assurance Agency du Royaume-Uni a montré que des centaines d’entreprises produisaient régulièrement des thèses que des étudiants s’appropriaient ensuite. Rien que l’an dernier, des affiches faisant la promotion d’une « usine » de ce genre ont inondé le métro londonien, surtout dans les stations proches des campus. Cette pratique, qualifiée de « plagiat contractuel » depuis des travaux publiés en 2006, implique des étudiants qui déboursent des centaines de livres pour ces documents rédigés sur commande. C’est aujourd’hui l’un des plus gros obstacles au maintien de l’intégrité académique dans l’enseignement supérieur.

  • Newspaper

    pour mettre fin au plagiat dans les travaux universitaires

    Royaume Uni

    Press

    - The Guardian

    Sollicités par l’organisme de surveillance des universités pour trouver des moyens de poursuivre les sites qui pratiquent le plagiat de publications savantes, les experts ont proposé un certain nombre de solutions face à ce problème grandissant, et notamment : rendre illégale l’offre de ce type de services ; réduire le nombre de contrôles des connaissances imposés aux étudiants ; préférer le contrôle continu à la rédaction de dissertations ; et permettre aux enseignants de mieux cerner les capacités de leurs élèves afin de détecter ce qui, dans les devoirs rendus, sort de l’ordinaire.

  • Newspaper

    La QAA aide les universités à lutter contre le recours frauduleux à des tiers

    Royaume Uni

    Press

    Brendan O'Malley - University World News

    L’organisme indépendant chargé du contrôle de la qualité dans l’enseignement supérieur au Royaume-Uni, la QAA, vient de publier de nouvelles directives sur la manière de combattre le recours frauduleux à des tiers (ou contract cheating) par des étudiants qui, moyennant finance, font exécuter par une entreprise ou un particulier un travail qu’ils s’attribueront ensuite. On qualifie souvent d’« usines à thèses » ces structures, qui utilisent en général Internet pour vanter leurs services et récupérer des commandes, mais elles peuvent aussi effectuer des recherches pour leur client, faire ses exercices ou passer des examens à sa place. L’agence souligne « qu’aucune donnée britannique ne permet de corroborer » l’idée assez répandue selon laquelle cette forme de triche serait plus fréquente chez les étudiants étrangers que chez les étudiants britanniques.

  • Newspaper

    L'étudiant falsifiait ses diplômes pour obtenir une bourse

    France

    Press

    - Le Figaro

    Un jeune homme de 23 ans, résidant à quelques encablures de Lyon, a été interpellé mardi 3 octobre au matin pour avoir tenté de berner le système de bourses de l'enseignement supérieur. Le jeune homme profitait durant l'année scolaire 2016-2017 d'une rémunération liée à l'établissement qu'il prétendait fréquenter et aux conditions qu'il avait déclarées. Problème, l'étudiant avait falsifié son document d'inscription à l'université, et le Crous, qui gère les bourses étudiantes, a fini par s'en rendre compte.

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