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1-10 of 17 results

  • Newspaper

    Le NUS ouvre une enquête sur le harcèlement sexuel à l’université

    Royaume Uni

    Press

    - The Guardian

    Le National Union of Students (NUS) va lancer une enquête sur le harcèlement sexuel à l’université, la première du genre à s’intéresser aux comportements abusifs du personnel de l’enseignement supérieur au Royaume-Uni. Les étudiants devront indiquer s’ils ont été victimes ou témoins d’une inconduite sexuelle de la part du personnel et dans quelles conditions ils ont pu ou non dénoncer un tel comportement aux autorités universitaires. Ce projet de recherche s’inscrit dans le cadre de la campagne du NUS en faveur des femmes. Les chercheurs s’intéresseront aux limites professionnelles et analyseront les formes de comportement jugées acceptables par les étudiants dans leurs rapports avec le personnel universitaire.

  • Newspaper

    Des universités de prestige investissent leurs fonds de dotation dans des paradis fiscaux

    Etats-Unis, Royaume Uni

    Press

    Brendan O’Malley - University World News

    Selon les informations révélées par les fameux « Paradise Papers », des universités d’élite américaines et britanniques ont investi leurs dotations dans des fonds offshore pour échapper à l’impôt ou acquitter un montant minime. Pour la Fossil Free Pitt Coalition, gérée par des étudiants, « le manque de transparence est inquiétant puisque nous ignorons tout du devenir de deux tiers des dotations – et nous avons des doutes quant à la destination d’une grande partie de ces fonds. » Un professeur émérite de l’université d’Essex a déclaré dans un journal britannique que les universités du pays devaient faire preuve d’une plus grande transparence quant à leurs décisions d’investissement, puisque ce sont des établissements publics destinataires de dotations publiques, y compris en provenance de l’Union européenne.

  • Newspaper

    Les universités peuvent-elles mettre fin à la triche, face à l’ingéniosité incroyable des étudiants ?

    Royaume Uni

    Press

    - The Guardian

    Bêtement évidente ou ingénieuse, la triche estudiantine revêt des formes multiples. Pourquoi les étudiants trichent-ils, quand les risques encourus vont de l’obligation de repasser le module concerné à l’éviction pure et simple de l’université, en passant par l’abaissement de leur niveau de classement ? Les raisons sont multiples (pression financière, faibles capacités d’organisation, panique), surtout dans le cas d’étudiants qui n’auraient sinon pas pu accéder à l’université ou, à tout le moins, auraient eu besoin de structures de soutien plus solides au début de leurs études.

  • Newspaper

    Au cœur des « usines à thèses » qui font le travail à la place des étudiants

    Royaume Uni

    Press

    Guy Kelly - the Telegraph

    Selon des estimations, l’« industrie de la rédaction de thèses professionnelles », qui propose de réaliser, moyennant finances, n’importe quel devoir, quel que soit le niveau, représenterait désormais un marché de plus de 100 millions de livres. Chaque année, des dizaines de milliers d’étudiants inscrits dans les universités britanniques font appel à ces services. Si, au début, il s’agissait surtout d’étudiants étrangers soucieux de produire un travail rédigé dans un bon anglais, la tendance gagne également les jeunes Britanniques. En deux ans, l’un des poids lourds du secteur a vu le nombre de clients britanniques augmenter d’un cinquième.

  • Newspaper

    Comment enrayer la triche à l’université

    Royaume Uni

    Press

    Thomas Lancaster - The Conversation

    Une enquête récente pour plagiat dans l’enseignement supérieur conduite par la Quality Assurance Agency du Royaume-Uni a montré que des centaines d’entreprises produisaient régulièrement des thèses que des étudiants s’appropriaient ensuite. Rien que l’an dernier, des affiches faisant la promotion d’une « usine » de ce genre ont inondé le métro londonien, surtout dans les stations proches des campus. Cette pratique, qualifiée de « plagiat contractuel » depuis des travaux publiés en 2006, implique des étudiants qui déboursent des centaines de livres pour ces documents rédigés sur commande. C’est aujourd’hui l’un des plus gros obstacles au maintien de l’intégrité académique dans l’enseignement supérieur.

  • Newspaper

    pour mettre fin au plagiat dans les travaux universitaires

    Royaume Uni

    Press

    - The Guardian

    Sollicités par l’organisme de surveillance des universités pour trouver des moyens de poursuivre les sites qui pratiquent le plagiat de publications savantes, les experts ont proposé un certain nombre de solutions face à ce problème grandissant, et notamment : rendre illégale l’offre de ce type de services ; réduire le nombre de contrôles des connaissances imposés aux étudiants ; préférer le contrôle continu à la rédaction de dissertations ; et permettre aux enseignants de mieux cerner les capacités de leurs élèves afin de détecter ce qui, dans les devoirs rendus, sort de l’ordinaire.

  • Newspaper

    La QAA aide les universités à lutter contre le recours frauduleux à des tiers

    Royaume Uni

    Press

    Brendan O'Malley - University World News

    L’organisme indépendant chargé du contrôle de la qualité dans l’enseignement supérieur au Royaume-Uni, la QAA, vient de publier de nouvelles directives sur la manière de combattre le recours frauduleux à des tiers (ou contract cheating) par des étudiants qui, moyennant finance, font exécuter par une entreprise ou un particulier un travail qu’ils s’attribueront ensuite. On qualifie souvent d’« usines à thèses » ces structures, qui utilisent en général Internet pour vanter leurs services et récupérer des commandes, mais elles peuvent aussi effectuer des recherches pour leur client, faire ses exercices ou passer des examens à sa place. L’agence souligne « qu’aucune donnée britannique ne permet de corroborer » l’idée assez répandue selon laquelle cette forme de triche serait plus fréquente chez les étudiants étrangers que chez les étudiants britanniques.

  • Newspaper

    Augmentation colossale d’étudiants surpris à tricher dans les universités galloises mise au jour

    Royaume Uni

    Press

    Shane Brennan - Daily Post

    Dans les universités galloises, le nombre d’étudiants surpris en train de tricher a augmenté de près de 50 % en deux ans. Selon le président du syndicat étudiant à l’université de Bangor, cette hausse est due à un meilleur contrôle des travaux des élèves plutôt qu’à une nouvelle tendance. La présidente adjointe de l’organisation étudiante NUS Wales, elle, estime que les étudiants trichent souvent parce qu’ils « subissent une pression énorme et ne se sentent pas capables de chercher le soutien dont ils ont besoin ». Elle encourage les étudiants qui envisagent de recourir à la fraude académique de se manifester, car ils peuvent être aidés.

  • Newspaper

    Le ministère de l'éducation réprimande des parents pour avoir tweeté les questions d'une épreuve

    Royaume Uni

    Press

    - BBC News

    Les responsables gouvernementaux mènent une bataille au sujet de twitter avec des parents qui tweetent les sujets des examens nationaux que passent les élèves du primaire en Angleterre. Le ministère de l'Éducation veut que toute information sur le contenu des épreuves du Sats soit supprimée, vu que les élèves passent les épreuves à divers moments durant deux semaines. Depuis lundi, les fonctionnaires envoient des messages aux parents pour leur demander de supprimer les tweets qui révèlent des détails sur les sujets. Le ministère a déclaré qu'il voulait empêcher la tricherie.

  • Newspaper

    Comment poursuivre les entreprises qui proposent aux étudiants d'acheter des dissertations

    Royaume Uni

    Press

    Carl O'Brien - The Irish Times

    Le ministre de l'Éducation a l'intention d'introduire des lois pour poursuivre les entreprises dites «usines à mémoires » qui proposent aux étudiants d'écrire leurs devoirs en échange d'argent. Cette décision est une réponse à l'inquiétude croissante concernant la pratique qui permet aux élèves de contourner les systèmes de détection de plagiat de leur université. L'utilisation de ces services n'est pas facile à détecter, car les logiciels utilisés par les universités ne détectent que ce que les étudiants ont copié dans des textes universitaires déjà publiés. Il a déclaré que les nouvelles règles seraient élaborées en consultation avec les établissements, les étudiants et les autres parties concernées, et tiendraient compte des recherches et expériences récentes du Royaume-Uni.

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