Page de recherche

Page de recherche

Avis de non-responsabilité : L’IIPE ne peut garantir l’exactitude des informations contenues dans ces articles.
Les liens hypertexte vers d’autres sites web n’impliquent ni la responsabilité, ni l’approbation des informations figurant dans ces sites web.

1-10 of 36 results

  • Newspaper

    Les règles anti-plagiat vont-elles améliorer la crédibilité des chercheurs ?

    Inde

    Press

    Shuriah Niazi - University World News

    L’University Grants Commission (UGC) a introduit de nouvelles règlementations pour prévenir le plagiat et l’inconduite universitaire chez les étudiants. Chaque établissement doit à cet effet introduire un mécanisme visant à mieux sensibiliser à la conduite responsable des recherches et des activités académiques, promouvoir l’intégrité universitaire et lutter contre le plagiat. Le ministère de Développement des ressources humaines a indiqué lors d’une réunion entre vice-recteurs qu’un logiciel anti-plagiat serait mis gratuitement à la disposition de tous les établissements d’enseignement supérieur. Mais la détection des ressemblances n’est possible que lorsqu’il existe une version en ligne des matériaux originels, sachant que le plagiat n’est pas seulement un problème de textes similaires mais aussi de chiffres, de tableaux et de photographies copiés puis recyclés.

  • Newspaper

    L’UGC met à la disposition des universités des outils en ligne anti-plagiat gratuits

    Inde

    Press

    Umamaheswara Rao - The Times of India

    L’University Grants Commission (UGC) oblige désormais les universités à examiner tous les travaux de recherche grâce à un outil de détection du plagiat, ce qui a obligé les établissements à acquérir ou envisager d’acquérir le logiciel sous licence. Le ministère du Développement des ressources humaines a fait savoir qu’il allait bientôt mettre à la disposition de toutes les universités un outil gratuit. Une simple connexion sur la plateforme grâce aux identifiants des établissements permettra de repérer des contenus plagiés et de préserver ainsi la réputation de l’institution.

  • Newspaper

    Plagiat : le ministère des Ressources humaines agite des menaces de licenciement et de renvoi pour les enseignants et les étudiants

    Inde

    Press

    - The Times of India

    Avec les nouvelles règles en matière de plagiat élaborées par l’University Grants Commission (UGC) de New Delhi et approuvées par le ministère du Développement des ressources humaines, les étudiants chercheurs et les enseignants convaincus de plagiat pourraient être renvoyés de l’université et licenciés En mars dernier, l’UGC a approuvé des sanctions progressives pour les affaires de plagiat. Les étudiants remettant des travaux présentant entre 40 et 60 % de similitudes se verront privés de nouvelle soumission pendant un an. En cas de concordances supérieures à 60 %, leur inscription sera annulée.

  • Newspaper

    Accusé de corruption, un responsable du département de tamoul à la BU nie ces allégations

    Inde

    Press

    TNN - The Times of India

    Alors que l’arrestation de l’ancien vice-recteur de la Bharathiar University (BU) pour corruption est encore dans tous les esprits, une nouvelle controverse a vu le jour lundi, cette fois-ci sous forme d’une vidéo. On y voit le responsable du département de tamoul recevoir de l’argent d’un individu apparemment désireux d’obtenir un emploi à l’université. Le département d’État de l’enseignement supérieur a décidé de transmettre cette vidéo à la police afin de vérifier son authenticité ainsi que les allégations formulées.

  • Newspaper

    Pour certains universitaires, les nouvelles lois anti-plagiat ne sont pas suffisamment dures

    Inde

    Press

    Ranjit Devraj - University World News

    La nouvelle loi anti-plagiat élaborée par l’organisme réglementaire en charge de l’enseignement supérieur en Inde, l’UGC (University Grants Commission), et qui prévoit des sanctions proportionnées à la gravité des délits, a fait l’unanimité dans les cercles académiques, même si beaucoup estiment qu’elle devrait être encore plus stricte afin d’endiguer le phénomène de copie observé chez les étudiants et les maîtres de conférence. À la fin du mois dernier, l’UGC a dévoilé les Règles 2018 relatives à la promotion de l’intégrité académique et à la prévention du plagiat dans les établissements d’enseignement supérieur.

  • Newspaper

    En Inde, un racket aux faux diplômes d’envergure nationale a été mis au jour avec, à la clé, la vente de 50 000 certificats bidons

    Inde

    Press

    - Outlook

    La police a annoncé aujourd’hui avoir arrêté trois hommes, dont un diplômé d’une université de Delhi, soupçonnés d’avoir mis en place à l’échelle du pays un vaste racket aux faux diplômes d’universités et de commissions scolaires puisqu’ils auraient vendu quelque 50 000 certificats contrefaits. Lors de leur interrogatoire, les prévenus ont confirmé avoir écoulé au bas mot 50 000 faux diplômes et relevés de notes de différentes universités et commissions scolaires. Pour convaincre leurs clients et leur permettre de vérifier l’authenticité prétendue de ces documents, ils avaient créé de faux sites web censés renvoyer à ces institutions. Les sites étaient tellement bien faits qu’il n’y avait aucun moyen de faire la différence entre le vrai site et le site écran, a indiqué un haut responsable policier.

  • Newspaper

    Des universités d’Ottawa et du Canada sous la coupe de revues prédatrices

    Canada, Inde

    Press

    Tom Spears - Ottawa Citizen

    Des scientifiques de l’université d’Ottawa, de l’Ottawa Hospital et d’autres institutions supérieures de renom dans tout le Canada continuent de publier leurs résultats dans des revues scientifiques bidon, entachant les travaux menés malgré des années de mise en garde. Un éditeur scientifique historique rappelle que tous les travaux ayant donné lieu à ces études sont « tout simplement passés par pertes et profits ». Encore naguère, le poids des revues « prédatrices » était difficile à mesurer. L’un des géants de l’édition scientifique falsifiée, OMICS International (une société indienne), vient de peaufiner son outil de recherche qui analyse 700 revues scientifiques. Des centaines de chercheurs canadiens ont publié récemment des articles par le biais de cette société – celle-là même qui a accepté un article de notre journal analysant la capacité des cochons à s’envoler…

  • Newspaper

    Le système Aadhaar a permis d’identifier quelque 130 000 enseignants fantômes

    Inde

    Press

    - Livemint

    En Inde, le taux d’encadrement (qui mesure la qualité de l’éducation), déjà catastrophique avec un enseignant pour 21 étudiants, risque fort de s’aggraver après la découverte que près d’un enseignant du supérieur sur dix est en fait un enseignant fantôme. Près de 130 000 enseignants n’existent tout bonnement pas, dans un pays qui compte 1,4 million de professeurs d’université. Si cette révélation a un bon côté, en permettant d’améliorer la qualité de l’enseignement, elle implique aussi que les établissements supérieurs du pays ont nettement moins de personnel que ne le laissaient entendre les estimations.

  • Newspaper

    Une décision de justice porte un sérieux coup aux établissements sans scrupules qui pratiquent des cours libres ou à distance

    Inde

    Press

    Shuriah Niazi - University World News

    La Cour suprême de l’Inde a porté un sérieux coup aux universités réputées délivrant des diplômes pour leurs cursus à distance ou par correspondance sans avoir préalablement obtenu les autorisations obligatoires des autorités compétences. La Cour a suspendu les diplômes d’ingénierie délivrés pour un cursus à distance entre 2001 et 2005 par trois grandes universités du pays et a annulé les diplômes délivrés depuis 2005. Elle a également émis une contrainte globale frappant les trois établissements, leur interdisant de poursuivre leurs activités à compter de l’année scolaire 2018-19, « tant que les autorisations spécifiques n’auront pas été accordées par les autorités statutaires compétentes ».

  • Newspaper

    Quatre arrestations dans l’affaire du racket des relevés de notes

    Inde

    Press

    - Hindustani Times

    Dimanche, le département de la criminalité de la police de Lucknow a mis au jour un racket entourant des relevés de notes et arrêté quatre personnes opérant dans un complexe à plusieurs étages. Mais la police a attendu lundi pour dévoiler l’information. Les autorités ont mis la main sur près de 400 relevés de notes falsifiés, 800 supports pour les imprimer, des tampons encreurs correspondant à de faux conseils d’examen, trois ordinateurs portables, cinq imprimantes-scanneurs, une CPU et 12 massicots. Le gang, actif depuis 2012, était spécialisé en faux relevés pour les élèves de 10e et 12e années en fin d’études et facturait chaque document 5 000 à 10 000 roupies.

Restez informés

Inscrivez-vous au buletin ETICO pour recevoir les dernières actualités

Soumettez votre contribution

Apportez votre contribution à la bibliothèque dédiée à la corruption dans l'éducation