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  • Newspaper

    L’université Rutgers discute des cas de triche pendant les cours à distance

    Etats-Unis

    Press

    Victoria Yeasky - The Daily Tragum

    Alors que la politique d’intégrité académique n’a pas évolué depuis l’adoption de l’enseignement à distance à Rutgers, plusieurs départements ont introduit de nouvelles mesures pour tenter de contrecarrer la triche. Le bureau chargé du code de conduite des étudiants a créé des tutoriels vidéos sur l’honnêteté des devoirs et sur les examens et les échéances importantes, imposant aux étudiants de signer une déclaration sur l’honneur. Sept types d’infraction sont couverts : plagiat, triche et mensonge, complicité de tricherie, sabotage académique, violation des règles éthiques professionnelles ou en matière de recherche et infractions impliquant potentiellement une activité criminelle.

  • Newspaper

    Les entreprises de triche contractuelle séduisent les étudiants pris par le temps

    Etats-Unis

    Press

    Fern Siegel and Cathy Jones - South FloridaTimes

    Une enquête de Frontiers in Education réalisée entre 2014 et 2018 a révélé que 15,7 % des étudiants à l’université pratiquaient la triche contractuelle – soit, potentiellement, 31 millions de personnes… Dans le même temps, le nombre d’affaires de chantage ne cesse d’augmenter. Une étude conduite au Royaume-Uni montre que 31 % des usines à diplômes recourent à des publicités mensongères et que la majorité ne garantit pas le contenu par rapport aux normes du diplôme visé. Seul un effort conjoint des organes législatifs, des étudiants et des enseignants permettra de lutter contre cette fraude contractuelle.

  • Newspaper

    En 2019, les étudiants de premier cycle ont plus souvent violé les règles antiplagiat que les étudiants de troisième cycle

    Etats-Unis

    Press

    Shannon Mallard - The GW Hatchet

    À l’issue de ses audiences, la commission de l’Office of Student Rights and Responsibilities a constaté que 34 diplômés de premier cycle et sept diplômés de troisième cycle avaient violé les directives en matière d’intégrité académique. Selon des experts de la question, les étudiants de troisième cycle ont plus de probabilité de faire des erreurs de citation accidentelle, tandis que les étudiants de premier cycle sont plus enclins à copier directement des informations provenant d’autres sources ou à acheter des travaux de recherche qu’ils s’approprient ensuite. Pour les étudiants de premier cycle pris la main dans le sac, la sanction prend la forme d’une moyenne générale inférieure à 2.0, seuil à partir duquel il y a probation académique, sachant qu’il faut une moyenne générale supérieure ou égale à 3.0 pour décrocher son diplôme.

  • Newspaper

    Le combat des universités contre l’industrie de la « triche contractuelle »

    Etats-Unis

    Press

    Jeffery R.Young - EdSurge

    Aux États-Unis, plusieurs universités s’efforcent de combattre la triche, en recourant à un logiciel sophistiqué de détection du plagiat, en engageant des poursuites contre les entreprises proposant, moyennant finance, des services de rédaction de thèses ou en interrogeant les étudiants soupçonnés de pratiquer une triche contractuelle. Au Canada, l’Academic Integrity Council of Ontario réunit deux fois par an les responsables d’université pour partager les meilleures pratiques. L’Australie et la Nouvelle-Zélande ont une approche juridique similaire : toute fraude peut entraîner jusqu’à deux ans d’emprisonnement et de lourdes amendes.

  • Newspaper

    Georgia Tech possède désormais un robot infiltré pour traquer les fraudes

    Etats-Unis

    Press

    Derek Newton - Forbes

    Depuis 2014, 15,7 % des étudiants américains ont reconnu avoir payé quelqu’un pour faire leurs devoirs. Des établissements comme Georgia Tech ont mis au point leur propre arme de lutte contre la fraude au contrat, sous la forme d’un robot. Sur les sites spécialisés, Jack Watson (c’est son nom) se fait passer pour un rédacteur ou quelqu’un susceptible de faire vos devoirs à votre place, contre rétribution. Lorsqu’un étudiant sélectionne ses services, le robot renvoie à l’élève un devoir rédigé par l’enseignant et comportant une « marque » secrète. Neuf étudiants ont d’ores et déjà été pris la main dans le sac.

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