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  • Newspaper

    Les universités se mobilisent pour endiguer la tricherie académique

    Algérie

    Press

    Laeed Zaghlami - University World News

    L’ambiance particulière qui règne en ce début d’année universitaire en Algérie cache une crise de la crédibilité qui fait suite aux révélations récentes de plusieurs cas de triche. En octobre dernier, les enseignants de la faculté d’économie de l’université d’Alger ont révélé le nom des étudiants accusés d’avoir triché lors d’un examen d’entrée en doctorat mais, à ce jour, les médias n’ont rendu compte d’aucune sanction à leur encontre. Dans une ville de l’Est du pays, deux examens de master ont été annulés en octobre après la fuite des corrigés tandis que, dans l’Ouest, quatre projets de doctorat dans la faculté de lettres ont été annulés à la suite du dépôt de plaintes pour tricherie académique.

  • Newspaper

    La HEC lance une enquête pour plagiat à l’encontre de son directeur

    Pakistan

    Press

    Waseem Abbasi - The News

    La Higher Education Commission (HEC) se réunira la semaine prochaine pour décider du sort de son directeur, numéro 2 de la commission, dont le mémoire de recherche serait un plagiat à 88 pour cent. Le président a constitué un comité pour enquêter sur ces allégations. Selon certaines sources, c’est un article paru dans ces pages qui a jeté la lumière sur ces accusations et poussé le comité constitué par le président de la HEC à se réunir cette semaine pour analyser les travaux incriminés du directeur.

  • Newspaper

    Des universités d’Ottawa et du Canada sous la coupe de revues prédatrices

    Canada, Inde

    Press

    Tom Spears - Ottawa Citizen

    Des scientifiques de l’université d’Ottawa, de l’Ottawa Hospital et d’autres institutions supérieures de renom dans tout le Canada continuent de publier leurs résultats dans des revues scientifiques bidon, entachant les travaux menés malgré des années de mise en garde. Un éditeur scientifique historique rappelle que tous les travaux ayant donné lieu à ces études sont « tout simplement passés par pertes et profits ». Encore naguère, le poids des revues « prédatrices » était difficile à mesurer. L’un des géants de l’édition scientifique falsifiée, OMICS International (une société indienne), vient de peaufiner son outil de recherche qui analyse 700 revues scientifiques. Des centaines de chercheurs canadiens ont publié récemment des articles par le biais de cette société – celle-là même qui a accepté un article de notre journal analysant la capacité des cochons à s’envoler…

  • Newspaper

    Les robots provoquent un débat autour de l’éthique dans la recherche sur l’IA en Asie

    Chine

    Press

    Yojana Sharma - University World News

    En Chine comme dans d’autres pays d’Asie, les universités rejoignent tardivement les alliances internationales visant à promouvoir des pratiques éthiques en matière d’intelligence artificielle (IA), qui jusque-là été étudiée dans les centres de recherche universitaires sans vision d’ensemble. De fait, il n’existe toujours pas de directives et de normes internationales relatives à l’éthique dans la recherche, la conception et l’utilisation de systèmes automatisés et de l’AI. Les universités chinoises en particulier produisent un grand nombre de chercheurs spécialisés dans l’IA qui choisissent aujourd’hui de rester dans leur pays pour travailler dans des géants locaux de la technologie, comme Alibaba, Tencent ou Baidu – des entreprises qui collectent et exploitent une masse de données personnelles de leurs clients sans véritables garde-fous juridiques.

  • Newspaper

    Un risque accru de fraude académique sur fond de concurrence renforcée : experts

    Singapour

    Press

    Yuen Sin - The Straits Times

    Avec le durcissement de la concurrence entre les universités du pays, Singapour pourrait plus que jamais être victime de fraude académique. Le risque a toujours été là, mais la pression exercée sur les chercheurs, qui doivent « publier ou périr », s’accentue depuis quelques années avec la reconnaissance internationale grandissante de la National University of Singapore (NUS) et de la Nanyang Technological University (NTU), notamment dans le très influent palmarès du Times Higher Education. La qualité de la recherche et des résultats publiés joue un rôle clé dans cette évaluation, ce qui oblige les universitaires à imprimer leur marque.

  • Newspaper

    Des chercheurs néerlandais recyclent leurs textes

    Pays-Bas

    Press

    Debora Weber-Wulff - Copy, Shake, Paste

    Le 24 septembre 2017, le journal néerlandais de Volkskrant indiquait qu’un groupe de chercheurs de Nimègue enquêtait sur des cas d’auto-plagiat (zelfplagiaat). Le groupe, composé de doctorants placés sous la houlette de leur enseignant en sociologie des sciences, a analysé 922 publications récentes de chercheurs du pays. En économie, 14 % des articles reprenaient des textes tirés de publications précédentes de l’(des) auteur(s), contre 5 % en psychologie. Le groupe a découvert dans le même numéro d’une revue un article republié tel quel, à un changement minime près, et deux autres articles quasiment identiques du même auteur. Il a également constaté que plus les chercheurs publient, plus ils ont tendance à recycler leurs textes.

  • Newspaper

    Un chirurgien pour célébrités a affirmé à tort avoir implanté avec succès des trachées artificielles, révèle une étude

    Suède

    Press

    Lee Roden - The Local

    L’organisme suédois chargé d’évaluer les travaux de recherche a accusé un chirurgien touché par un scandale de fraude académique pour avoir décrit de manière trompeuse dans une série d’articles scientifiques des implantations soi-disant réussies de la trachée. En 2014, quatre médecins du Stockholm’s Karolinska University Hospital l’avaient dénoncé au président alors en poste du Karolinska Institute (KI) pour avoir présenté ces implantations de manière fallacieuse dans différentes revues scientifiques. En 2015, les articles ont été étudiés par le professeur en chirurgie de l’Uppsala University, qui a conclu que le chirurgien était coupable de fraude académique, alors que l’évaluation du KI visait à le blanchir, lui et ses co-auteurs.

  • Newspaper

    La QAA aide les universités à lutter contre le recours frauduleux à des tiers

    Royaume Uni

    Press

    Brendan O'Malley - University World News

    L’organisme indépendant chargé du contrôle de la qualité dans l’enseignement supérieur au Royaume-Uni, la QAA, vient de publier de nouvelles directives sur la manière de combattre le recours frauduleux à des tiers (ou contract cheating) par des étudiants qui, moyennant finance, font exécuter par une entreprise ou un particulier un travail qu’ils s’attribueront ensuite. On qualifie souvent d’« usines à thèses » ces structures, qui utilisent en général Internet pour vanter leurs services et récupérer des commandes, mais elles peuvent aussi effectuer des recherches pour leur client, faire ses exercices ou passer des examens à sa place. L’agence souligne « qu’aucune donnée britannique ne permet de corroborer » l’idée assez répandue selon laquelle cette forme de triche serait plus fréquente chez les étudiants étrangers que chez les étudiants britanniques.

  • Newspaper

    Les « points chauds » de la fraude : réprimer le recours frauduleux à des tiers dans les universités

    Press

    Henrietta Cook - Sydney Morning Herald

    Les universités sont instamment priées de bloquer les sites Internet qui commercialisent des thèses, mais aussi de repérer les « points chauds » de la fraude et de publier des informations sur les cas de violation de l’intégrité académique. Face au phénomène grandissant du recours à des tiers (ou contract cheating), qui conduit des étudiants à sous-traiter les contrôles de connaissances, l’autorité australienne chargée de surveiller l’enseignement supérieur a dévoilé de nouvelles directives pour le combattre. Selon une enquête récente menée par un professeur associé de l’University of South Australia, qui a participé à l’élaboration de ces directives, 6 % des étudiants australiens pratiquent une forme de triche.

  • Newspaper

    Une enquête contre la « publication prédatrice » pourrait déboucher sur le retrait des subventions accordées pour la rédaction d’articles scientifiques

    Afrique du Sud

    Press

    Bekezela Phakathi - Business Day

    Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la formation va ouvrir une enquête à la suite de plaintes contre la surenchère de publications, qui pourrait déboucher sur le retrait des allocations versées pour les articles concernés. Selon une analyse de Stellenbosch University, les universitaires sud-africains ont publié plus de 4 200 articles dans 47 revues entre 2005 et 2014, une telle productivité pouvant s’apparenter au phénomène de « publication prédatrice ». Ce concept désigne la publication, par des éditeurs diffusant les travaux en accès libre, d’articles n’ayant pas fait l’objet d’une évaluation collégiale ou alors minime. Le gouvernement verse près de 100 000 rands à une université pour un article, à condition qu’il soit publié dans une revue accréditée par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la formation.

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