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Un forum national sur la lutte contre la corruption a été organisé aujourd'hui à Tirana, avec des membres de cabinets ministériels, d'organisations internationales, des fonctionnaires, des représentants de la société civile et des medias. Le Gouvernement de l'Albanie considère que la transparence et la redevabilité sont les pierres angulaires de la lutte contre la corruption, et il s'est engagé à intégrer ce combat dans la modernisation des services publics.

La redevabilité sociale est décrite comme l'engagement constructif entre les citoyens et l'utilisation des ressources publiques par le gouvernement pour améliorer la prestation de services, promouvoir les droits et améliorer le bien-être de la communauté. En ce sens, l'engagement constructif peut apparaître comme une forme de contrôle citoyen, qui vise à assurer un suivi des actions du gouvernement.

Dénonçant la réticence des universités à lutter contre le plagiat, des enseignants et chercheurs français ont lancé une pétition. Selon eux, il est urgent d'agir pour protéger «la légitimité des diplômes».

La directrice générale de Transparency International Afrique parle de la lutte anti-corruption dans le milieu scolaire. Elle aborde plus spécifiquement la Côte d'Ivoire, et la "corruption endémique". Selon elle, la responsabilité de la lutte anti-corruption incombe à tous les citoyens, et les gouvernements ont la responsabilité de donner un espace aux jeunes.

Réalisée par la Banque mondiale, la vidéo est un reportage documentant des initiatives de lutte anti-corruption au Cameroun. Ces initiatives visent à résoudre les problématiques de mauvaise gouvernance dans le domaine de la santé, de l'éducation. La compétition "foire aux idées" consiste par exemple à attribuer de petits dons aux organisations de la société civile pour lutter contre la corruption, et permettre aux citoyens d'exiger de meilleurs services en matière de santé et d'éducation. 

L’intervenante à l'école de Transparency International sur l'intégrité 2018 parle du « projet des pactes d'intégrité ». Il vise à accroître l'implication de la société civile dans les procédures de marchés publics. Elle mentionne également le principal.