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Le secteur de l'enseignement de la médecine s'est révélé être une plateforme de la corruption. Des critiques ont poussé le gouvernement à veiller à ce que les places au MBBS soient attribuées à ceux qui ont été reçus au test national d'entrée (NEET). Ils ont également recommandé vivement que le gouvernement élabore une politique commune sur les études médicales.

Le gouvernement du Pendjab a amendé les Actes des universités du Penjab pour pouvoir surveiller de près les vice-présidents après avoir identifié des utilisations frauduleuses persistantes de leur part grâce à leurs pouvoirs spéciaux. Il a affirmé que presque tous les vice-présidents des universités du Penjab avaient nommé de hauts responsables dans les universités, y compris des chefs du service des inscriptions, des trésoriers et des contrôleurs d' examens, en donnant des responsabilités à leurs membres de la faculté "favoris".

Le conseil de l'enseignement supérieur de l'état a entrepris de durcir la politique d'admission pour les étudiants internationaux après qu'un audit ait révélé que certains dossiers d'étudiants chinois présentés à l'université d'état de Dickinson étaient des faux.

Malgré les efforts déployés par les autorités locales pour y mettre fin, le niveau de corruption dans les universités russes connait une croissance permanente. D'après des estimations brutes, les sommes engendrées par les pots de vins versés en 2009 pour admission dans les universités russes s'élèvent à 1 milliards de dollars. C'est 40% de plus qu'en 2007, avec des pots de vin en moyenne cinq fois plus élevés qu'au cours des deux dernières années.

Des parents mécontents se sont plaints aux autorités éducatives de la province du Zhejiang, après avoir constaté que 19 enfants de fonctionnaires et d'enseignats bénéficiaient d'un traitement spécial lors des examens d'entrée. Ces pratiques, souvent liées à un abus de pouvoir et à la corruption, mettent en évidence la fragilité du système éducatif.

D'après un dirigeant de l'opposition, la promesse d'engagement d'un milliard de dollars faite par l'homme d'affaires Agarwal pour créer l'Université Vedenta dans l'Etat d'Orissa (sud de l'Inde) est un stratagème visant à détourner l'attention de l'opération frauduleuse d'exploitation minière conclue avec le gouvernement de cet Etat. La promesse d'engagement d'un milliard de dollars qui, si elle se concrétisait serait le don le plus généreux jamais fait à un établissement d'enseignement supérieur, a pour but de créer une université élitiste et multidisciplinaire pour 100 000 étudiants qui ouvrirait ses portes en 2008.