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    RTI, tricherie, falsification - Une enquête de la HC révèle 609 recrutements « illégaux » dans des écoles du Bengale

    Inde

    Press

    Sreyashi Dey - The Print

    Un rapport de la Haute Cour de Calcutta montre comment la West Bengal Central School Service Commission (WBSSC) aurait détourné la loi sur le droit à l'information (RTI) pour faciliter des recrutements illégaux. Le président du WBSSC avait demandé aux présidents des cinq commissions régionales de scanner et de stocker leurs signatures sur le serveur d'application du WBSSC. Celles-ci ont ensuite été utilisées illégalement comme signatures numériques pour plus de 500 fausses lettres de recommandation, prétendument remises en main propre à des candidats non méritants.

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    Arrestation de quatre étudiants par la DCI pour fraude présumée au KCSE

    Kenya

    Press

    Winfrey Owino - The Standard

    Quatre étudiants soupçonnés d’avoir commis des malversations lors des examens du Kenya Certificate of Secondary Education (KCSE) via les plateformes WhatsApp et Telegram ont été arrêtés. Les enquêteurs ont utilisé la cybernétique et la criminalistique numérique pour intercepter des dizaines de messages contenant des captures d’écran des épreuves durant l’examen. Selon la Direction des enquêtes criminelles (DCI), les efforts du ministère de l’Éducation pour préserver l'intégrité de l'administration de l’examen ont été mis en cause par des fonctionnaires corrompus.

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    Tricherie à l’université : certains étudiants s’en donnent à cœur joie

    Australie

    Press

    Jon Mason and Guzyal Hill - University World News

    À la suite de la transition rapide vers le numérique que de nombreux établissements ont dû opérer, on a constaté une augmentation des services en ligne qui aident les étudiants à tricher. Une simple recherche Google sur le terme "aide aux devoirs" a donné 302 millions au début de 2021, contre 279 millions de résultats à la mi-juin 2020. En Australie, le gouvernement a adopté une loi qui érige en infraction le fait de fournir ou de faire de la publicité pour des services de tricherie dans l’enseignement supérieur et a publié une boîte à outils sur l’intégrité académique.

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    Malhonnêteté académique : il faut former au plus tôt les étudiants et le personnel

    Rwanda

    Press

    Jean d'Amour Mbonyinshuti and Alice Tembasi - University World News

    Plus de 100 étudiants de l’université privée KIM à Kigali (Rwanda) se sont vu refuser l’obtention de leur diplôme en juillet 2021 après que les autorités ont découvert qu’ils avaient modifié leurs notes dans le système informatique de l’université. Selon la commission d’enquête du Rwanda, les suspects sont accusés d’avoir falsifié des documents et encourent 5 à 7 ans de prison ainsi que des amendes de 3 à 5 millions de francs rwandais (environ 5 000 dollars US).

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    TuringCerts combat la fraude en validant les certificats grâce à la blockchain

    Taiwan Chine

    Press

    - E27

    La startup taïwanaise TuringChain propose aux établissements d’éducation, aux étudiants et aux entreprises une nouvelle méthode de certification et d’authentification qui repose sur sa solution blockchain TuringCerts. Selon son PDG, un quart des données disponibles sur LinkedIn sont fausses ou exagérées, avec 27 % des diplômes cités achetables en ligne. TuringCerts crée un portefeuille électronique anti-contrefaçon pour les étudiants tandis que les établissements d’éducation reçoivent un cache numérique pour la délivrance des certificats. TuringCerts utilise un système d’identification intelligente et protège les certificats numériques de toute manipulation.

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    Les universités sud-coréennes cherchent à préserver l’intégrité de leur enseignement tout en appliquant des mesures de lutte contre le virus

    Corée R

    Press

    - Korea Bizware

    Plus de 90 étudiants en médecine de Inha University à Incheon (près de Séoul) ont triché lors des examens à distance. Ils se sont réunis en groupes de deux à neuf pour passer les examens ensemble ou ont comparé leurs réponses entre eux via leur téléphone ou leurs réseaux sociaux. Pour éviter que la situation se reproduise, l’université exige désormais des étudiants qu’ils s’engagent à respecter un principe d’honnêteté académique, qu’ils utilisent un système de surveillance en ligne et qu’ils se filment pendant l’examen. Ceux qu’on soupçonne de tricherie pourraient devoir passer un examen oral.

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    La sentinelle anticorruption enquête sur une fraude à la formation continue

    Chine

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    - Macau News Agency

    Plusieurs responsables d’un centre local d’éducation et 200 résidents de Macao sont poursuivis pour fraude, falsification de documents et faux informatiques. Selon la commission anticorruption, des résident inscrits dans une formation subventionnée par le bureau de l’éducation et de la jeunesse ne se sont jamais présentés au cours, fournissant simplement leurs données personnelles d’identification et recevant en échange entre 2 000 et 2 500 pataca de Macao en liquide.

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    Des étudiants australiens inquiets face au projet d’universités, qui envisagent d’utiliser un logiciel de suivi des examens

    Australie

    Press

    Naaman Zhou - The Guardian

    Alors que les examens se tiennent à distance à cause de la pandémie de coronavirus, plusieurs universités australiennes envisagent de contrôler leurs étudiants grâce à des logiciels de prévention de la triche, comme Protorio ou ProctorU. Ces deux plateformes nécessitent une autorisation d’accès à la webcam, au microphone et aux touches des ordinateurs. Étudiants et universitaires s’inquiètent du manque de transparence entourant le stockage de ces données, les autorisations d’accès et la conformité de cette pratique vis-à-vis des règles en vigueur dans le pays.

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    Une nouvelle loi prévoit des peines d’emprisonnement pour les fournisseurs de services facilitant la triche

    Australie

    Press

    Geoff Maslen - University World News

    Le ministre de l’Éducation a annoncé que la vente de services facilitant la triche aux étudiants des universités australiennes était désormais passible de deux ans de prison ou d’une amende pouvant atteindre 100 000 AUS. Quant aux étudiants tricheurs, ils seront soumis aux politiques d’intégrité et aux sanctions prévues par leur université. La Tertiary Education Quality and Standards Agency aura toute autorité pour demander l’application de mesures légales afin d’obliger les fournisseurs d’accès à Internet et les moteurs de recherche à bloquer les sites proposant des services facilitant la triche.

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