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Une université en ligne qui aurait donné un diplôme de commerce à un chat a été poursuivi en justice pour fraude des consommateur par "Pennsylvania Attorney General's Office".

La corruption est répandue ; la tricherie aux examens augmente, avec à des technologies comme le téléphone portable.

Un ancien chercheur de l'Université de "Texas Tech,' qui a été reconnu coupable de mauvaise gestion des plaints d'harcèlement et fraude des ressources d'une clinique de recherché de l'université, a été condamné la semaine dernière à deux ans de prison et une amende de $15,000.

L'inspection de plus de 100 000 écoles révèle que les élèves ont payé l'an dernier 853 millions de yuan de droits de scolarité illégaux, déclare le ministre de l'Éducation. Bilan : 2 448 personnes, dont 395 chefs d'établissement, licenciées ou sanctionnées ; environ 639 millions de yuan restitués aux parents. Le gouvernement lance une campagne d'assainissement

Les propriétaires d'usines à diplômes restent insaisissables. Ils inondent les boîtes aux lettres électroniques en proposant des diplômes d'université à bas prix, encaissent le règlement en passant par des sites Web, puis transfèrent cet argent vers des comptes bancaires à l'étranger. Quand la police essaye de « coincer » l'une de ces entreprises, les propriétaires en ouvrent tout simplement une autre ailleurs, souvent dans un pays pauvre où la législation sur les fraudes est facilement contournable. Impuissants à stopper ces activités illégales, de nombreux États ont changé de stratégie : « Si vous ne pouvez pas attraper les revendeurs, poursuivez les consommateurs ». Plusieurs États, comme l'Illinois, l'Indiana et le New Jersey, viennent de criminaliser l'utilisation de faux diplômes.

Des étudiants ayant obtenu leur diplôme au Kentucky, ont porté plainte contre l'université. Selon eux, l'université aurait menti sur l'accréditation de ses programmes. Le cours de radio technologie, d'une durée de trois ans, coûte environ 33 000 dollars. Neuf étudiants ont obtenu leur diplôme et 75 autres sont inscrits actuellement. Sans l'accréditation, les étudiants ne pourront pas passer l'examen de licence national.

Bienvenue à Patna, une ville qui allie étrangement marché libre et salle de cours. L'arrestation de plusieurs personnes impliquées dans la fuite des sujets du CAT (Common Admission Test), l'examen d'entrée aux Instituts indiens de gestion, ne représente que la partie visible de l'iceberg.

L'État du Kentucky du Nord a accusé cinq professeurs d'avoir fabriqué des données pour des articles scientifiques, reproduit de grandes parties de leurs propres travaux dans plusieurs articles, recouru au plagiat et inscrit dans la liste des auteurs le nom de professeurs de l'université qui n'avaient pas contribué aux travaux.

Dans l'intention de limiter la généralisation de la vente de places dans les établissements supérieurs professionnels, la Cour suprême indienne a décidé d'interdire aux établissements privés de réclamer aux nouveaux étudiants le paiement de droits d'entrée supplémentaires à titre de « don ». Les facultés de médecine et d'ingénierie demandent aujourd'hui à des étudiants de régler d'avance des dizaines de milliers de dollars alors que leurs résultats d'examen ne leur garantissent pas une place.