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  • Newspaper

    Saucissonnage scientifique : 33 articles pour une seule étude

    Iran, République islamique

    Press

    Neuroskeptic - Discover

    Les scientifiques étant pour une bonne part jugés sur le nombre d’articles examinés par leurs pairs qu’ils produisent, la tentation est grande de se livrer à du saucissonnage éditorial. Cette pratique, officiellement déconseillée, reste largement pratiquée et il n’est pas rare de voir des chercheurs rédiger trois ou quatre articles pour un seul projet qui, objectivement, auraient pu faire l’objet d’une publication plus étoffée. Exemple extrême, la revue Archives of Iranian Medicine a publié une série de 33 articles portant sur une seule et même étude.

  • Newspaper

    Des universités d’Ottawa et du Canada sous la coupe de revues prédatrices

    Canada, Inde

    Press

    Tom Spears - Ottawa Citizen

    Des scientifiques de l’université d’Ottawa, de l’Ottawa Hospital et d’autres institutions supérieures de renom dans tout le Canada continuent de publier leurs résultats dans des revues scientifiques bidon, entachant les travaux menés malgré des années de mise en garde. Un éditeur scientifique historique rappelle que tous les travaux ayant donné lieu à ces études sont « tout simplement passés par pertes et profits ». Encore naguère, le poids des revues « prédatrices » était difficile à mesurer. L’un des géants de l’édition scientifique falsifiée, OMICS International (une société indienne), vient de peaufiner son outil de recherche qui analyse 700 revues scientifiques. Des centaines de chercheurs canadiens ont publié récemment des articles par le biais de cette société – celle-là même qui a accepté un article de notre journal analysant la capacité des cochons à s’envoler…

  • Newspaper

    Un risque accru de fraude académique sur fond de concurrence renforcée : experts

    Singapour

    Press

    Yuen Sin - The Straits Times

    Avec le durcissement de la concurrence entre les universités du pays, Singapour pourrait plus que jamais être victime de fraude académique. Le risque a toujours été là, mais la pression exercée sur les chercheurs, qui doivent « publier ou périr », s’accentue depuis quelques années avec la reconnaissance internationale grandissante de la National University of Singapore (NUS) et de la Nanyang Technological University (NTU), notamment dans le très influent palmarès du Times Higher Education. La qualité de la recherche et des résultats publiés joue un rôle clé dans cette évaluation, ce qui oblige les universitaires à imprimer leur marque.

  • Newspaper

    Des chercheurs néerlandais recyclent leurs textes

    Pays-Bas

    Press

    Debora Weber-Wulff - Copy, Shake, Paste

    Le 24 septembre 2017, le journal néerlandais de Volkskrant indiquait qu’un groupe de chercheurs de Nimègue enquêtait sur des cas d’auto-plagiat (zelfplagiaat). Le groupe, composé de doctorants placés sous la houlette de leur enseignant en sociologie des sciences, a analysé 922 publications récentes de chercheurs du pays. En économie, 14 % des articles reprenaient des textes tirés de publications précédentes de l’(des) auteur(s), contre 5 % en psychologie. Le groupe a découvert dans le même numéro d’une revue un article republié tel quel, à un changement minime près, et deux autres articles quasiment identiques du même auteur. Il a également constaté que plus les chercheurs publient, plus ils ont tendance à recycler leurs textes.

  • Newspaper

    Un chirurgien pour célébrités a affirmé à tort avoir implanté avec succès des trachées artificielles, révèle une étude

    Suède

    Press

    Lee Roden - The Local

    L’organisme suédois chargé d’évaluer les travaux de recherche a accusé un chirurgien touché par un scandale de fraude académique pour avoir décrit de manière trompeuse dans une série d’articles scientifiques des implantations soi-disant réussies de la trachée. En 2014, quatre médecins du Stockholm’s Karolinska University Hospital l’avaient dénoncé au président alors en poste du Karolinska Institute (KI) pour avoir présenté ces implantations de manière fallacieuse dans différentes revues scientifiques. En 2015, les articles ont été étudiés par le professeur en chirurgie de l’Uppsala University, qui a conclu que le chirurgien était coupable de fraude académique, alors que l’évaluation du KI visait à le blanchir, lui et ses co-auteurs.

  • Newspaper

    Une enquête contre la « publication prédatrice » pourrait déboucher sur le retrait des subventions accordées pour la rédaction d’articles scientifiques

    Afrique du Sud

    Press

    Bekezela Phakathi - Business Day

    Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la formation va ouvrir une enquête à la suite de plaintes contre la surenchère de publications, qui pourrait déboucher sur le retrait des allocations versées pour les articles concernés. Selon une analyse de Stellenbosch University, les universitaires sud-africains ont publié plus de 4 200 articles dans 47 revues entre 2005 et 2014, une telle productivité pouvant s’apparenter au phénomène de « publication prédatrice ». Ce concept désigne la publication, par des éditeurs diffusant les travaux en accès libre, d’articles n’ayant pas fait l’objet d’une évaluation collégiale ou alors minime. Le gouvernement verse près de 100 000 rands à une université pour un article, à condition qu’il soit publié dans une revue accréditée par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la formation.

  • Newspaper

    « Terroriste universitaire »

    Etats-Unis

    Press

    Inside Higher Ed - Carl Straumsheim

    Plusieurs mois après la suppression par un bibliothécaire universitaire des listes de journaux et d’éditeurs « prédateurs » qu’il avait publiées sur son blog, un site web contenant des commentaires insultants sur sa formation académique et sa santé mentale est toujours en ligne. Ce bibliothécaire de l’université du Colorado, à Denver, tenait à jour depuis plusieurs années des listes de revues et d’éditeurs universitaires qu’il estimait abusifs. Bien que controversées, ces listes étaient une mine d’informations pour nombre de chercheurs qui s’interrogeaient sur la légitimité d’une invitation à publier ou à intervenir à une conférence, arrivée dans leur boîte mail.

  • Newspaper

    La Commission décide de bloquer l'utilisation d'éditeurs « prédateurs »

    Inde

    Press

    Ranjit Devraj - University World News

    Afin d'améliorer la qualité des publications scientifiques et de lutter contre les éditeurs académiques dits «prédateurs» - qui facturent les auteurs, mais ne fournissent pas un contrôle qualité adéquat ou donnent des indications inexactes quant à leur propre qualité – la Commission des subventions universitaires de l’inde (UGC) a publié des listes de revues agrées pour les publications de recherche. L'UGC, un organe statutaire qui supervise l'enseignement universitaire en Inde, lie désormais les promotions et le recrutement universitaires à son système d’Indicateurs de Performance Académique qui ne reconnaîtra que les articles publiés dans des revues figurant sur les listes homologuées.

  • Newspaper

    « Publier ou périr » : la faille éthique de cet impératif

    Press

    Julius Kravjar and Marek Hladík - University World News

    Savez-vous ce qu’on entend par des éditeurs ou des revues « prédateurs » ? Il s’agit d’individus ou d’entreprises qui publient, moyennant finance, des travaux non soumis à l’examen des pairs. Ils sont de plus en plus nombreux. Le blog Scholarly Open Access a établi une liste des éditeurs et des revues potentiellement « prédateurs » qui publient en accès ouvert.

  • Newspaper

    Le marché noir des travaux universitaires : l’inquiétude des éditeurs

    Royaume Uni

    Press

    - The Conversation

    Le mouvement en faveur du libre accès est né de l’idée que des travaux de recherche financés sur fonds publics devaient être accessibles à tous. Des milliers de revues sont accessibles librement mais rares ont le prestige voulu pour les universités. S’ils veulent faire carrière, les chercheurs ne peuvent pas faire l’économie de publier leurs articles dans des revues prestigieuses, même s’ils n’ont pas toujours les moyens de lire leurs propres travaux. La plupart déploient des trésors d’ingéniosité pour consulter les articles sans avoir à débourser les quelque 30 dollars de droits de consultation imposés par la plupart des éditeurs.

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