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1-9 of 9 results

  • Newspaper

    « Terroriste universitaire »

    Etats-Unis

    Press

    Inside Higher Ed - Carl Straumsheim

    Plusieurs mois après la suppression par un bibliothécaire universitaire des listes de journaux et d’éditeurs « prédateurs » qu’il avait publiées sur son blog, un site web contenant des commentaires insultants sur sa formation académique et sa santé mentale est toujours en ligne. Ce bibliothécaire de l’université du Colorado, à Denver, tenait à jour depuis plusieurs années des listes de revues et d’éditeurs universitaires qu’il estimait abusifs. Bien que controversées, ces listes étaient une mine d’informations pour nombre de chercheurs qui s’interrogeaient sur la légitimité d’une invitation à publier ou à intervenir à une conférence, arrivée dans leur boîte mail.

  • Newspaper

    Des chercheurs néerlandais recyclent leurs textes

    Pays-Bas

    Press

    Debora Weber-Wulff - Copy, Shake, Paste

    Le 24 septembre 2017, le journal néerlandais de Volkskrant indiquait qu’un groupe de chercheurs de Nimègue enquêtait sur des cas d’auto-plagiat (zelfplagiaat). Le groupe, composé de doctorants placés sous la houlette de leur enseignant en sociologie des sciences, a analysé 922 publications récentes de chercheurs du pays. En économie, 14 % des articles reprenaient des textes tirés de publications précédentes de l’(des) auteur(s), contre 5 % en psychologie. Le groupe a découvert dans le même numéro d’une revue un article republié tel quel, à un changement minime près, et deux autres articles quasiment identiques du même auteur. Il a également constaté que plus les chercheurs publient, plus ils ont tendance à recycler leurs textes.

  • Newspaper

    Saucissonnage scientifique : 33 articles pour une seule étude

    Iran, République islamique

    Press

    Neuroskeptic - Discover

    Les scientifiques étant pour une bonne part jugés sur le nombre d’articles examinés par leurs pairs qu’ils produisent, la tentation est grande de se livrer à du saucissonnage éditorial. Cette pratique, officiellement déconseillée, reste largement pratiquée et il n’est pas rare de voir des chercheurs rédiger trois ou quatre articles pour un seul projet qui, objectivement, auraient pu faire l’objet d’une publication plus étoffée. Exemple extrême, la revue Archives of Iranian Medicine a publié une série de 33 articles portant sur une seule et même étude.

  • Newspaper

    Un risque accru de fraude académique sur fond de concurrence renforcée : experts

    Singapour

    Press

    Yuen Sin - The Straits Times

    Avec le durcissement de la concurrence entre les universités du pays, Singapour pourrait plus que jamais être victime de fraude académique. Le risque a toujours été là, mais la pression exercée sur les chercheurs, qui doivent « publier ou périr », s’accentue depuis quelques années avec la reconnaissance internationale grandissante de la National University of Singapore (NUS) et de la Nanyang Technological University (NTU), notamment dans le très influent palmarès du Times Higher Education. La qualité de la recherche et des résultats publiés joue un rôle clé dans cette évaluation, ce qui oblige les universitaires à imprimer leur marque.

  • Newspaper

    Un chirurgien pour célébrités a affirmé à tort avoir implanté avec succès des trachées artificielles, révèle une étude

    Suède

    Press

    Lee Roden - The Local

    L’organisme suédois chargé d’évaluer les travaux de recherche a accusé un chirurgien touché par un scandale de fraude académique pour avoir décrit de manière trompeuse dans une série d’articles scientifiques des implantations soi-disant réussies de la trachée. En 2014, quatre médecins du Stockholm’s Karolinska University Hospital l’avaient dénoncé au président alors en poste du Karolinska Institute (KI) pour avoir présenté ces implantations de manière fallacieuse dans différentes revues scientifiques. En 2015, les articles ont été étudiés par le professeur en chirurgie de l’Uppsala University, qui a conclu que le chirurgien était coupable de fraude académique, alors que l’évaluation du KI visait à le blanchir, lui et ses co-auteurs.

  • Newspaper

    Une revue internationale retire un document de recherche rédigé par des professeurs de l’université du Penjab

    Inde

    Press

    Amarjot Kaur - The Tribune

    Les pratiques contraires à l’éthique débouchant sur une culture consistant à publier n’importe quoi moyennant finances suscitent des inquiétudes grandissantes en Inde. Un document de recherche publié par deux professeurs de l’université et un chercheur vient d’être retiré, la validité des résultats étant contestée. Selon la University Grants Commission (UGC), le pourcentage d’articles publiés dans des revues prédatrices est important. D’où la constitution d’un consortium pour l’éthique universitaire et de la recherche, le CARE, afin d« identifier, surveiller constamment et tenir à jour une liste de référence UGC-Care des revues professionnelles dans toutes les disciplines ».

  • Newspaper

    L’Inde se prépare à former ses chercheurs à repérer les revues prédatrices

    Inde

    Press

    Jack Grove - The World University Rankings

    Face au phénomène banal d’inconduite académique en Inde, où 1 000 thèses ont été refusées – dont 33 % pour plagiat – les universités sont tenues de proposer aux étudiants voulant s’inscrire en PhD une formation de 30 heures sur l’intégrité de la recherche et l’éthique de publication et ce, avant le début des cours.

  • Newspaper

    L’Afrique du Nord, terrain de prédilection des revues prédatrices

    Press

    Wagdy Sawahel - University World News

    Une étude récente met en garde les décideurs des pays en développement quant à la piètre qualité de l’évaluation des travaux de recherche. Ce rapport révèle la pénétration de revues soupçonnées de pratiques prédatrices dans la base de données bibliographiques Scopus : les chercheurs ont recensé 324 titres et 164 000 articles publiés entre 2015 et 2017. À la suite de ce travail, le Scopus Content Selection and Advisory Board a éliminé les revues douteuses.

  • Newspaper

    Il faut renforcer les mesures de lutte contre les revues prédatrices

    Éthiopie

    Press

    Wondwosen Tamrat - University World News

    Un large nombre d’universitaires sont accusés de favoriser leur avancement en ayant recours à des revues prédatrices et à d’autres outils de second ordre. Afin de lutter contre cette pratique malhonnête, le ministère des Sciences et de l’Enseignement supérieur de l’Éthiopie a publié en octobre 2020 une nouvelle norme relative à la promotion des enseignants des universités publiques. Selon le ministre, le meilleur moyen dont ils disposent pour éviter les publications prédatrices est d’envoyer leurs articles à des revues à comité de lecture répertoriées dans les bases de données comme Scopus, Web of Science ou PubMed.

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