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21-30 of 38 results

  • Newspaper

    Le combat des universités contre l’industrie de la « triche contractuelle »

    Etats-Unis

    Press

    Jeffery R.Young - EdSurge

    Aux États-Unis, plusieurs universités s’efforcent de combattre la triche, en recourant à un logiciel sophistiqué de détection du plagiat, en engageant des poursuites contre les entreprises proposant, moyennant finance, des services de rédaction de thèses ou en interrogeant les étudiants soupçonnés de pratiquer une triche contractuelle. Au Canada, l’Academic Integrity Council of Ontario réunit deux fois par an les responsables d’université pour partager les meilleures pratiques. L’Australie et la Nouvelle-Zélande ont une approche juridique similaire : toute fraude peut entraîner jusqu’à deux ans d’emprisonnement et de lourdes amendes.

  • Newspaper

    De hauts responsables de la ville enquêtent sur des allégations de fraude aux notes à l’encontre du NYC Department of Education

    Etats-Unis

    Press

    Jennnifer Bisram - PIX 11

    Selon le New York City Councilman, des enseignants auraient été obligés d’autoriser des élèves à accéder au niveau supérieur, malgré de mauvais résultats aux examens ou un absentéisme systématique. Des éléments prouvant qu’il y a eu triche et intimidation de la part des directeurs des établissements ont été remis au bureau du procureur fédéral par le Department of Education.

  • Newspaper

    La sentinelle des universités va renforcer la lutte contre la triche contractuelle

    Australie

    Press

    Fergus Hunter - The Sydney Herlad Morning

    L’Australian Tertiary Education Quality and Standards Agency resserre sa coopération avec les organismes internationaux de réglementation pour lutter contre la triche aux contrats, qui a pris des proportions industrielles. Selon une étude récente, 10 % des étudiants font effectuer leurs devoirs par d’autres, moyennant finances. Le gouvernement fédéral prévoit des sanctions allant jusqu’à deux ans d’emprisonnement et 210 000 dollars d’amende.

  • Newspaper

    Des enseignants du secondaire embauché frauduleusement

    Pakistan

    Press

    Kashif Fareed - The Express Tribune

    L’Anti-Corruption Establishment (ACE) a arrêté trois enseignants du secondaire pour avoir monnayé leur nomination au Punjab Education Department tout en présentant de faux titres universitaires. Certaines figures politiques influentes ont tenté, mais sans succès à cause de l’enquête de l’ACE, de faire libérer ces enseignants.

  • Newspaper

    Les enseignants fantômes ne toucheront plus de salaire

    Afghanistan

    Press

    - Pajhwok Afghan News

    Des responsables de l’éducation de la province septentrionale du Balkh ont annoncé que les enseignants fantômes et les autres employés nommés à la faveur de fraude ou de tricherie ne bénéficieront plus de leur salaire et d’autres privilèges. Depuis l’introduction du système biométrique, 14 925 enseignants et employés ont pu être répertoriés. Dorénavant, les salaires seront versés une fois les procédures légales accomplies.

  • Newspaper

    Le cœur battant des usines à thèses d’Afrique

    Kenya

    Press

    Jake Wallis - Mail Online

    Selon un informaticien expert des questions de triche contractuelle, le Kenya est devenu le centre du monde de la fraude universitaire. L’immense majorité des étudiants travaillent dans des usines à thèses qui sont ensuite fournies à des étudiants britanniques avec la garantie qu’elles sont exemptes de plagiat et parfaitement anonymes. Soucieuse de sévir contre ces pratiques et sous pression du gouvernement britannique, la société PayPal a annoncé le blocage des règlements en faveur de ces usines.

  • Newspaper

    Un nouveau projet de loi prévoit de sanctionner la triche universitaire par une peine de prison et une lourde amende

    Australie

    Press

    Ally Foster - news.com.au

    La « triche contractuelle » se banalise dans de nombreuses universités d’Australie, avec toute une palette de services faciles d’accès permettant à un tiers, moyennant finances, de terminer un devoir ou de passer un examen à la place de l’étudiant. Certains prestataires proposent même à l’étudiant de choisir la note souhaitée, le prix étant ajusté en fonction. Le gouvernement vient de présenter un projet de loi qui prévoit que la personne à l’origine de cette triche contractuelle pourrait être passible de deux ans d’emprisonnement et d’une amende de 210 000 dollars.

  • Newspaper

    Libérer le secteur de l’éducation de l’emprise de la corruption

    Pakistan

    Press

    - Daily Times

    Le Premier ministre du Sind a déclaré aux parlementaires de la province que des mesures étaient prises pour améliorer le secteur de l’éducation et s’assurer notamment que les résultats aux examens soient exempts de toute corruption. Il répondait ainsi à une question d’un député pakistanais qui voulait savoir pourquoi les autorités n’agissaient pas à la suite de l’opération menée par le département de lutte contre la corruption dans les conseils scolaires de Karachi, accusés de trafiquer les résultats et de détourner des fonds publics.

  • Newspaper

    Une école renvoie son directeur soupçonné d’être mêlé à des fraudes aux examens

    Nigéria

    Press

    - The Guardian Nigeria

    Dans le contexte de la récente fermeture, par le gouvernement de l’état de Lagos, de l’Ecole Internationale Nodos à Ojo qui serait impliquée dans des fraudes lors des examens du certificat secondaire du Conseil national des examens (NECO), le directeur de l’école a été démis de ses fonctions. Okafor a aussi déclaré qu’il a été demandé à tous les enseignants également complices de ces mauvaises pratiques ayant conduit à la fermeture de l’école, de démissionner de leurs postes.

  • Newspaper

    3000 enseignants de Bihar ont démissionné, craignant une mise en examen pour avoir fourni de faux diplômes

    Inde

    Press

    Indo-Asian News Service - Times of India

    Environ 3000 enseignants à Bihar, qui sont soupçonnés d’avoir utilisé des faux diplômes pour obtenir un poste, ont démissionné pour éviter des poursuites judiciaires. Le gouvernement a récemment reconnu avoir recruté plus de 300 000 enseignants sous contrat, sans avoir vérifié leurs diplômes universitaires ou professionnels. Le requérant de l’enquête dit avoir recueilli des documents, grâce au Droit à l‘information, prouvant que des milliers d’enseignants ont utilisé des diplômes falsifies pour se faire embaucher.

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