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  • Newspaper

    Les difficultés de la dénonciation du chantage sexuel au Zimbabwe

    Zimbabwe

    Press

    Muchaneta Mundopa - Voices for Transparency

    Transparency International Zimbabwe révèle que de nombreux étudiants sont poussés à accorder des faveurs sexuelles pour obtenir de bonnes notes, mais qu’ils sont rarement entendus quand ils ont le courage de dénoncer ces pratiques. Le chantage sexuel, qui suppose l’échange de faveurs intimes plutôt que d’argent, n’étant pas encore officiellement reconnu comme une forme de corruption, la plupart des universités du Zimbabwe n’ont pas de politique claire pour traiter de ces cas. Il n’existe pas de cadre légal assimilant le chantage sexuel à une forme de corruption et la police a souvent bien du mal à comprendre tous les enjeux.

  • Newspaper

    Appel à l’application de mesures concrètes pour mettre fin au harcèlement sexuel sur les campus

    Zimbabwe

    Press

    Tonderayi Mukeredzi - University World News

    Selon une étude réalisée en 2017 au Zimbabwe par un groupement d’étudiantes appelé Female Students Network Trust, les employés masculins des campus ont harcelé 74 % des étudiantes des institutions d’enseignement supérieur sur tout le territoire. Une conseillère de l’UNESCO en matière d’éducation à la santé indique de nombreux établissements n’ont pas mis en place de politiques ou de programmes à ce sujet, et même lorsque c’est le cas, la crainte empêche parfois les étudiantes de dénoncer les cas de harcèlement commis par leurs professeurs.

  • Newspaper

    Le ministre de l’enseignement supérieur et son adjoint accusés de fraude

    Zimbabwe

    Press

    Kudzai Mashininga - University World News

    Mercredi, la police zimbabwéenne a arrêté le ministre de l’Enseignement supérieur, de la science et de la technologie et son adjoint, accusés d’avoir détourné près de 450 000 dollars d’un fonds de développement de la main-d’œuvre qui finance, entre autres choses, des étudiants. Les deux interpellés ont été entendus et relâchés. Plusieurs jours avant son arrestation, le ministre — ancien enseignant de sciences politiques à l’université du Zimbabwe et chercheur à l’université du Witwatersrand, en Afrique du Sud, qui l’accusait d’avoir détourné des fonds pour la recherche — avait publié un communiqué où il démentait toutes ces accusations.

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