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Le Conseil de l'Europe et l'Union européenne aident les autorités serbes à améliorer la qualité de l'éducation en mettant en œuvre des mécanismes de prévention fondés sur les normes et pratiques du Conseil de l'Europe. Les actions sont menées en collaboration avec le ministère de l'éducation, tout en impliquant un groupe plus large de parties prenantes.

Alors que l’Occident se plaît à dénoncer la corruption ou les pratiques abusives dans les pays d’Afrique, aucun pays n’est épargné, y compris les États-Unis ou le Royaume-Uni. Le Nigéria fait partie des pays qui se dotent de systèmes d’assurance qualité et promulguent des lois contre certaines formes de corruption, qui leur permettent de fermer des établissements qui se seraient livrés à ces activités coupables. Sur l’ensemble du continent, GUNi-Africa contribue au renforcement des capacités, en s’adressant aux responsables, en sensibilisant les populations et en veillant à ce que les contrevenants soient punis et les sanctions portées à la connaissance de tous.

Malgré l’extraordinaire développement de l’enseignement supérieur en Inde au cours des 30 dernières années, de gros problèmes demeurent quant à la qualité. En 2013, le gouvernement indien a lancé un nouveau programme d’amélioration de l’enseignement supérieur. Les universités australiennes peuvent apporter leur aide en formant le personnel, éradiquant la corruption, partageant leur savoir sur l’accès et en établissant des partenariats de recherche.

Un projet conjoint du Conseil d’Europe et l’Union Européenne « Renforcement de l’intégrité et lutte contre la corruption dans l’enseignement supérieur en Arménie » a été lancé à Erevan le 27 mai 2015. L’objectif de ce Projet est de soutenir le développement des mécanismes de prévention et d’intégrité pour les professionnels, et de favoriser une bonne gestion dans le domaine de l’enseignement supérieur en Arménie

Le conseiller juridique de l'Université Eduardo Mondlane n'estime pas déplacé d'attribuer des bourses à des gens ne travaillant pas à l'université. En 2003, plus de 147 000 $EU, prévus pour la formation continue à l'étranger des enseignats, auraient été en fait dépensés pour 16 privilégiés ; parmi eux, la fille du vice-chancelier et deux des enfants du directeur des relations publiques de l'université.