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  • Newspaper

    Un site Web continue de vendre des dissertations malgré les plaintes

    Chine

    Press

    Deng Xiaoci - Global Times

    Les auteurs qui ont accusé un site Web de vendre leurs dissertations sans leur consentement ne peuvent exiger que leurs thèses soient enlevées de cette plate-forme car la vente ne constitue pas une atteinte aux droits d'auteur, ont déclaré des experts en propriété intellectuelle. Beaucoup de ces diplômés, qui ont dit que leurs dissertations étaient vendues sans leur consentement, ont ajouté que le site enfreignait leurs droits de propriété intellectuelle et causait des dommages psychologiques et économiques. Cependant, à moins que les auteurs ne puissent prouver que ces copies aient été piratées, ils ne peuvent exiger des propriétaires du site qu'ils cessent de vendre les copies.

  • Newspaper

    Un nombre record de retraits met en lumière la corruption dans la recherche

    Chine

    Press

    Yojana Sharma - University World News

    L'éthique dans la recherche des scientifiques chinois a été mise en évidence après qu'un célèbre éditeur international ait retiré 107 documents de recherche médicale d'auteurs chinois - le plus grand nombre de retraits jamais enregistré - après avoir découvert des irrégularités dans le processus d'examen par les pairs. La société d'édition Springer Nature a déclaré que ces articles ont été publiés dans la revue Tumor Biology entre 2012 et 2016. «Après une enquête approfondie, nous avons de bonnes raisons de croire que le processus d'examen par les pairs était biaisé», a déclaré l'éditeur. Cette récente décision de Springer constitue un retrait record de documents universitaires, selon le site Web Retraction Watch qui surveille la fraude universitaire.

  • Newspaper

    La NAS demande la fermeture des instituts Confucius sur les campus américains

    Etats-Unis, Chine

    Press

    Yojana Sharma - University World News

    Les universités des États-Unis devraient fermer leurs instituts Confucius - centres d'enseignement et de recherche financés directement par le gouvernement chinois – préconise un rapport de l'Association nationale des érudits, ou NAS. Ce rapport détaillé apporte des informations supplémentaires sur les opérations souvent confidentielles de ces instituts, à partir de contrats signés avec une douzaine d'universités des États-Unis, et obtenues grâce aux lois sur la liberté de l'information. Le rapport, « Délocalisation en Chine : les instituts Confucius et le soft power dans l'enseignement supérieur américain », affirme que, à moins que les contrats entre les universités américaines et les Hanban ne soient renégociés pour inclure plus de transparence, d'autonomie financière et d'embauche pour les universités américaines, ainsi que des garanties de liberté universitaire et d'autres mesures de protection, ces instituts devraient être fermés.

  • Newspaper

    Comment des responsables des admissions dans certaines des plus grandes universités américaines se sont fait graisser la patte par des Chinois

    Etats-Unis, Chine

    Press

    Steve Stecklow, Renee Dudley, James Pomfret and Alexandra Harney - Reuters

    Une importante entreprise chinoise spécialisée dans l’éducation a déversé des milliers de dollars, en nature ou en espèces, sur les responsables des admissions dans les plus grandes universités américaines pour aider ses étudiants à y postuler. Selon huit anciens employés, les services de l’entreprise ne s’arrêtaient pas là : certains ont été amenés à rédiger les mémoires d’admission pour les élèves, à modifier les courriers de recommandation ou à changer les notes figurant sur les certificats d’étude. La capacité de cette entreprise à accéder aux grands établissements américains montre à quel point, de part et d’autre du Pacifique, on est anxieux de capitaliser sur cette appétence des étudiants chinois pour suivre un cursus aux États-Unis.

  • Newspaper

    Le long combat contre la corruption universitaire

    Chine

    Press

    Rui Yang - University World News

    Le système d’incitation des universités chinoises vient d’être réformé pour assurer une évolution plus saine du milieu, en renonçant à la pratique actuelle qui consiste à évaluer les chercheurs en fonction du nombre d’articles placés dans des revues reconnues. Car cette méthode entretient une course au chiffre aux dépens de l’intégrité académique. En luttant contre l’inconduite des chercheurs, les autorités chinoises s’engagent dans une entreprise de longue haleine face à l’enracinement culturel de ces pratiques et une corruption endémique.

  • Newspaper

    Les universités mises en garde contre les « pressions » des bailleurs de fonds chinois

    Australie, Chine

    Press

    Yojana Sharma - University World News

    Les universités australiennes ont activement œuvré pour se rapprocher des universités chinoises et d’autres organismes, y compris publics, afin de mener à bien des collaborations et coopérer sur des projets de recherche. Mais dans le sillage d’un scandale politique majeur en Australie impliquant des donateurs chinois, lesquels avaient également financé des institutions locales, les universités ont été invitées à veiller à ne pas subir de pression indue sur leurs recherches, y compris à des fins de propagande prochinoise.

  • Newspaper

    La Chine désigne et dénonce 30 fausses universités

    Chine

    Press

    - RT

    La Chine met en garde ses étudiants, les invitant à ne pas succomber aux charmes des universités bidon. Dans la foulée de l’examen annuel d’entrée à l’université, en juin, un site d’information vient de publier une liste de 30 noms. C’est la sixième du genre. Se faire passer pour une université est apparemment simple comme bonjour et les autorités s’inquiètent d’avoir de plus en plus de mal à détecter les fraudeurs. Selon Xinhua, une bonne dizaine de provinces et de régions, parmi lesquelles Beijing et Shanghai, figurent dans la liste publiée sur sdaxue.com, un site web sur l’éducation. Les 30 nouvelles venues s’ajoutent à une longue liste qui comprend déjà 400 noms depuis 2013.

  • Newspaper

    En Chine, tricher au bac est puni de sept ans de prison

    Chine

    Press

    Fanny Lauzier - Le Figaro

    C’est ce que prévoit une loi votée à l’automne dernier pour lutter contre la tricherie endémique lors du gaokao, l’examen national chinois qui détermine la carrière des candidats. En effet, les candidats surpris en train de tricher ou accusés d’une telle tromperie peuvent désormais écoper de sept années d’emprisonnement dans les geôles de l’État. Une loi, votée à l’automne dernier fait ainsi de la tricherie, un crime. C’est pourquoi, mardi 7 juin dernier, le jour du gaokao, les autorités ont ordonné le déploiement de 768 policiers chargés de surveiller les 96 centres d’examens du pays.

  • Newspaper

    Comment toute une filière aide les étudiants chinois à tricher pour accéder aux facultés américaines

    Etats-Unis, Chine

    Press

    Koh Gui Qing, Alexandra Harney, Steve Stecklow and James Pomfret - Reuters

    L’université de l’Iowa soupçonne au moins 30 étudiants chinois d’avoir fait appel à des sosies pour passer leurs examens. Cette affaire a révélé une florissante activité souterraine de triche organisée pour aider les centaines de milliers de jeunes Chinois désireux de faire leurs études à l’étranger. Des coachs rédigent les dissertations pour leurs clients, gèrent leurs devoirs, passent même leurs examens à leur place. Le tout pour environ 1 000 dollars le cours.

  • Newspaper

    « Payer pour rester » : des fraudeurs à l’immigration piégés par une fausse université

    Etats-Unis, Chine, Inde

    Press

    - BBC News

    Vingt-et-une personnes ont été arrêtées, piégées par les autorités américaines qui avaient créé une fausse université pour démasquer une fraude à l’immigration. Selon les responsables, les fraudeurs savaient que l’University of Northern New Jersey n’existait pas mais n’imaginaient pas être tombés dans un piège tendu par les agents de l’immigration. Selon les procureurs, les prévenus avaient ainsi servi d’intermédiaires à plus de 1 000 étrangers désireux de conserver leurs visas d’étudiant et de travail, pour la plupart originaires de Chine et d’Inde

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