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  • Newspaper

    Le ministre de l’Éducation veut fermer les universités qui « vendent » des diplômes aux hommes politiques

    Kenya

    Press

    LEWIS NYAUNDI - The Star

    Le ministre de l’Éducation du Kenya entend bien radier les universités qui vendent leurs diplômes aux responsables politiques. Il a indiqué que le gouvernement prévoyait dès l’année prochaine de faire le ménage dans l’enseignement supérieur, y compris dans les établissements privés. « Je me réjouis de voir que les conseils commencent à repérer les fraudeurs et annulent leurs diplômes. Nous aimerions que toutes les universités rejoignent ce mouvement lancé par la CUE et le ministère », a-t-il indiqué lundi lors de la cérémonie de remise des diplômes de l’AMFRED. Les sanctions frapperont les universités qui ne respectent pas les règles de fonctionnement de l’enseignement supérieur. Parmi les établissements visés, ceux qui continuent de fonctionner sur la base d’autorisations provisoires au-delà du délai légal.

  • Newspaper

    Le fléau des établissements privés d’enseignement supérieur dénués de scrupules

    Éthiopie

    Press

    Wondwosen Tamrat - University World News

    Les 30 dernières années ont vu l’explosion des établissements privés d’enseignement supérieur (PHEI) le monde à un rythme effréné. En Éthiopie, les PHEI doivent obtenir une accréditation avant de pouvoir commencer à fonctionner. Mais les autorités manquent de moyens pour faire respecter les règles et les établissements illégaux (et les étudiants) en profitent. Faisant valoir l’importance de leurs effectifs comme ligne de défense, ces établissements voyous profitent des « dégâts excessifs » que toute action gouvernementale pourrait entraîner si leurs pratiques illégales étaient mises au jour.

  • Newspaper

    Une décision de justice porte un sérieux coup aux établissements sans scrupules qui pratiquent des cours libres ou à distance

    Inde

    Press

    Shuriah Niazi - University World News

    La Cour suprême de l’Inde a porté un sérieux coup aux universités réputées délivrant des diplômes pour leurs cursus à distance ou par correspondance sans avoir préalablement obtenu les autorisations obligatoires des autorités compétences. La Cour a suspendu les diplômes d’ingénierie délivrés pour un cursus à distance entre 2001 et 2005 par trois grandes universités du pays et a annulé les diplômes délivrés depuis 2005. Elle a également émis une contrainte globale frappant les trois établissements, leur interdisant de poursuivre leurs activités à compter de l’année scolaire 2018-19, « tant que les autorisations spécifiques n’auront pas été accordées par les autorités statutaires compétentes ».

  • Newspaper

    Comment enrayer la triche à l’université

    Royaume Uni

    Press

    Thomas Lancaster - The Conversation

    Une enquête récente pour plagiat dans l’enseignement supérieur conduite par la Quality Assurance Agency du Royaume-Uni a montré que des centaines d’entreprises produisaient régulièrement des thèses que des étudiants s’appropriaient ensuite. Rien que l’an dernier, des affiches faisant la promotion d’une « usine » de ce genre ont inondé le métro londonien, surtout dans les stations proches des campus. Cette pratique, qualifiée de « plagiat contractuel » depuis des travaux publiés en 2006, implique des étudiants qui déboursent des centaines de livres pour ces documents rédigés sur commande. C’est aujourd’hui l’un des plus gros obstacles au maintien de l’intégrité académique dans l’enseignement supérieur.

  • Newspaper

    La QAA aide les universités à lutter contre le recours frauduleux à des tiers

    Royaume Uni

    Press

    Brendan O'Malley - University World News

    L’organisme indépendant chargé du contrôle de la qualité dans l’enseignement supérieur au Royaume-Uni, la QAA, vient de publier de nouvelles directives sur la manière de combattre le recours frauduleux à des tiers (ou contract cheating) par des étudiants qui, moyennant finance, font exécuter par une entreprise ou un particulier un travail qu’ils s’attribueront ensuite. On qualifie souvent d’« usines à thèses » ces structures, qui utilisent en général Internet pour vanter leurs services et récupérer des commandes, mais elles peuvent aussi effectuer des recherches pour leur client, faire ses exercices ou passer des examens à sa place. L’agence souligne « qu’aucune donnée britannique ne permet de corroborer » l’idée assez répandue selon laquelle cette forme de triche serait plus fréquente chez les étudiants étrangers que chez les étudiants britanniques.

  • Tenir les promesses de l'enseignement supérieur transfrontalier en luttant contre les risques de corruption

    News

    L'enseignement transfrontalier a plus que triplé au cours des trente dernières années. Son développement s’est accompagné d’une diversification des possibilités d’étudier à l’étranger (programmes de formation en ligne, campus à l'étranger, cours franchisés, etc.) mais également d’une hausse des risques de corruption qui leur sont associés.

  • Newspaper

    De nouveaux détails choquants sur la corruption dans les universités

    Kenya

    Press

    Augustine Oduor - The Standard

    Selon un rapport confidentiel, les universités du Kenya font face à de sérieux problèmes de gestion, ayant pour conséquence des failles dans les processus d’admission, un personnel insuffisant et des normes d'administration, de supervision et de recherche peu rigoureuses. Le rapport montre également que certaines institutions contournent les règles pour augmenter les admissions afin de combler des trous dans leur budget, permettent aux étudiants d'obtenir leur diplôme en quelques mois, ou les inscrivent à des cours non accrédités grâce auxquels ils obtiennent ensuite un diplôme. Après avoir remis leur rapport avec les corrections à faire, ces institutions auront 30 jours pour publier une feuille de route rectificative.

  • Newspaper

    Le ministre demande des sanctions rigoureuses pour les étudiants tricheurs

    Royaume Uni

    Press

    Brendan O'Malley - University World News

    Le ministre des Universités et des Sciences a réclamé de nouvelles sanctions sévères pour les étudiants qui utilisent des usines à mémoires – des sites Web qui fournissent des dissertations personnalisées écrites à la demande - et a demandé aux universités et aux étudiants de se mobiliser contre le développement de ces services. L'Agence d'assurance qualité pour l'enseignement supérieur a également reçu l’ordre de prendre des mesures contre la publicité en ligne pour ces services et de travailler avec les agences internationales pour faire face à ce problème.

  • Newspaper

    Des étudiants tricheurs pourraient se retrouver avec un casier judiciaire pour plagiat

    Royaume Uni

    Press

    Rachael Pells - Independent

    Pour la première fois, être pris en flagrant délit de fraude pourrait être sanctionné comme un délit, car on soupçonne des dizaines de milliers d’étudiants d’acheter des dissertations sur le web - une tendance qui menace la qualité des diplômes universitaires britanniques selon des ministres. D’après l'observatoire des universités – l’Agence d'Assurance Qualité-des centaines d’ «usines à mémoires» facturent jusqu'à 6,750 £ pour rédiger une thèse de doctorat. L'année dernière, l'agence a publié un rapport sur l'ampleur de ce problème, qui a révélé que des services de rédaction étaient disponibles à un coût allant de 15 livres à des milliers de livres, selon la longueur de la dissertation et sa complexité.

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