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  • Newspaper

    Des universités d’Ottawa et du Canada sous la coupe de revues prédatrices

    Canada, Inde

    Press

    Tom Spears - Ottawa Citizen

    Des scientifiques de l’université d’Ottawa, de l’Ottawa Hospital et d’autres institutions supérieures de renom dans tout le Canada continuent de publier leurs résultats dans des revues scientifiques bidon, entachant les travaux menés malgré des années de mise en garde. Un éditeur scientifique historique rappelle que tous les travaux ayant donné lieu à ces études sont « tout simplement passés par pertes et profits ». Encore naguère, le poids des revues « prédatrices » était difficile à mesurer. L’un des géants de l’édition scientifique falsifiée, OMICS International (une société indienne), vient de peaufiner son outil de recherche qui analyse 700 revues scientifiques. Des centaines de chercheurs canadiens ont publié récemment des articles par le biais de cette société – celle-là même qui a accepté un article de notre journal analysant la capacité des cochons à s’envoler…

  • Newspaper

    « Terroriste universitaire »

    Etats-Unis

    Press

    Inside Higher Ed - Carl Straumsheim

    Plusieurs mois après la suppression par un bibliothécaire universitaire des listes de journaux et d’éditeurs « prédateurs » qu’il avait publiées sur son blog, un site web contenant des commentaires insultants sur sa formation académique et sa santé mentale est toujours en ligne. Ce bibliothécaire de l’université du Colorado, à Denver, tenait à jour depuis plusieurs années des listes de revues et d’éditeurs universitaires qu’il estimait abusifs. Bien que controversées, ces listes étaient une mine d’informations pour nombre de chercheurs qui s’interrogeaient sur la légitimité d’une invitation à publier ou à intervenir à une conférence, arrivée dans leur boîte mail.

  • Newspaper

    Le site web qui avait offert 47 millions de documents universitaires piratés est de retour

    Etats-Unis

    Press

    Nikhil Sonnad - Quartz

    En Octobre 2015, un tribunal du district de New York avait statué en faveur de l'éditeur universitaire Elsevier, qui avait accusé Sci-Hub, un site qui propose des versions piratées de documents universitaires, de violation des droits d'auteur. Cette décision a permis aux autorités de retirer le nom de domaine du site, sci-hub.org. Cependant, suspendre un nom de domaine ne supprime pas un site Web pour toujours, il empêche simplement les visiteurs de savoir exactement où le trouver. Il suffit de relancer le même site sous un autre identifiant, ce que Sci-Hub a fait.

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