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Selon Stossel, il existe une corruption financière dans les écoles américaines. Ce dernier soutient que l'idée selon laquelle le système éducatif a besoin de plus d'argent est un mythe. Les Etats-Unis dépensent plus pour l'éducation que la grande majorité des pays qui obtiennent pourtant de meilleurs résultats dans les tests internationaux. Les bureaucrates attribuent néanmoins l'échec de l'école au manque de moyens et exigent plus d'argent

L'université d'Oxford met en garde contre le plagiat qui pourrait menacer la valeur d'un diplôme, dans la mesure où les étudiants copient de plus en plus de larges extraits d'ouvrages en se les appropriant. Un grand nombre des cas de plagiat signalés au bureau des surveillants impliquait des étudiants étrangers dont la première langue n'était pas l'anglais.

Une enquête révèle qu'un tiers des étudiants reconnaît tricher à l'université en copiant des idées puisées dans des livres ou sur Internet. L'étude portant sur 1022 étudiants de 119 Universités et Instituts Supérieurs démontre qu'un étudiant sur six reconnaît avoir copié sur le travail de ses amis et que 10 % ont cherché à se procurer des dissertations sur Internet. Il apparaît également que les étudiants ont davantage tendance à copier sur leurs amis (21%) que les étudiantes (14%).

Selon un rapport, des directeurs de l'institut d'études de commerce ont trempé dans une affaire d'escroquerie de faux transcrits universitaires. Les responsables de l'institut fournissent de faux résultats et de faux transcrits aux étudiants qui ont l'intention d'aller à l'étranger sous le prétexte de poursuivre leurs études pour une somme qui, selon certains, peut atteindre2000$.

Le projet de déontologie dans le cadre des examens a déclaré que l'Etat de Benue était en 2005, en tête du classement de l'indice national de tricherie aux examens (EMI). Le territoire de la capitale fédérale était le plus soucieux de la bonne conduite des examens avec l'indice EMI le plus bas (0,43) alors que l'Etat de Benue enregistrait un EMI de 18,87. Le rapport pour les examens de l'année scolaire 2005 indique que l'EMI pour toutes les régions était de 6,9 contre 16,9 en 2004. Cela signifie que la fraude aux examens a baissé de 59% entre 2004 et 2005.

Le directeur général de la Commission nationale des examens (National Examination Council, NECO) a autorisé les agents de la Commission à accepter les pots-de-vin offerts par des étudiants désespérés ou leurs parents. L'objectif est de sauver la vie des membres du personnel de la Commission, victimes d'agressions fréquentes et meurtrières commises par des personnes prêtes à tout pour décrocher leur diplôme Senior Secondary Certificate Examination. Ces deux dernières années, des représentants de la Commission NECO ont été victimes d'attaques à l'acide.

Le Conseil interuniversitaire de l'Afrique de l'Est (IUCEA) est sur le point de développer un système destiné à normaliser les diplômes proposés par les universités locales. Selon le secrétaire de direction du Conseil, la plupart des Kényans souhaitent intégrer une université en Ouganda du fait de coûts d'inscription inférieurs à ceux de leurs universités locales. Cependant, ils ne s'assurent pas de la conformité de la qualité de l'enseignement dispensé par les universités ougandaises aux normes en vigueur.

Le district de MPIGI a licencié plus de 73 directeurs d'écoles primaires pour incompétence et absence de titres universitaires requis. Une cinquantaine d'écoles ont été dotées d'un nouveau directeur. Plus de 100 directeurs ont été contrôlés. L'opération a été menée dans le cadre d'un programme de réorganisation des écoles primaires du district destiné à améliorer la qualité de l'éducation.

L'institut polytechnique fédéral a renvoyé 162 étudiants pour tricherie aux examens, appartenance à une secte et mauvais résultats, au cours de la session 2004-2005. Les étudiants furent renvoyés parce qu'ils s'étaient mal comportés pendant les examens

De nombreux parents sont indignés de la façon dont les enseignats exigent de l'argent pour communiquer les résultats de fin d'année de leurs enfants. Les parents font maintenant appel au ministre de l'éducation afin qu'il mette fin à la pratique des prélèvements supplémentaires dans les écoles primaires et secondaires pour défendre le principe de l'enseignement gratuit pour tous.