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  • Newspaper

    179 professeurs inculpés d’arnaque concernant des publications de recherche

    Corée R

    Press

    Unsoo Jung - University World News

    Dans une répression sans précédent de la fraude académique, jusqu’à 179 professeurs d’université exerçant dans 110 universités de Corée du Sud ont été inculpés lundi suite à une enquête criminelle poussée, sur une arnaque aux droits d'auteur. Ces professeurs ont été accusés d’avoir republié des manuels existants, écrits par d’autres, sous leur propre nom en modifiant la couverture, avec la connivence présumée des maisons d’édition.

  • Newspaper

    Le site web qui avait offert 47 millions de documents universitaires piratés est de retour

    Etats-Unis

    Press

    Nikhil Sonnad - Quartz

    En Octobre 2015, un tribunal du district de New York avait statué en faveur de l'éditeur universitaire Elsevier, qui avait accusé Sci-Hub, un site qui propose des versions piratées de documents universitaires, de violation des droits d'auteur. Cette décision a permis aux autorités de retirer le nom de domaine du site, sci-hub.org. Cependant, suspendre un nom de domaine ne supprime pas un site Web pour toujours, il empêche simplement les visiteurs de savoir exactement où le trouver. Il suffit de relancer le même site sous un autre identifiant, ce que Sci-Hub a fait.

  • Newspaper

    Une étudiante met en ligne 50 millions d’articles de recherche… consultables gratuitement

    Press

    - Washington Post

    Une étudiante de troisième cycle de 27 ans, originaire du Kazakhstan, gère une base de donnes en ligne réunissant près de 50 millions d’articles universitaires dérobés aux revues scientifiques, qu’elle prive ainsi de leurs 10 milliards de dollars de droits de péage annuels. Elle s’est débrouillée pour échapper aux poursuites d’un juge fédéral lequel avait, à la fin de l’an dernier, prononcé une injonction contre son site, soulignant que les dommages pourraient s’élever à 150 000 dollars par article.

  • Newspaper

    Le marché noir des travaux universitaires : l’inquiétude des éditeurs

    Royaume Uni

    Press

    - The Conversation

    Le mouvement en faveur du libre accès est né de l’idée que des travaux de recherche financés sur fonds publics devaient être accessibles à tous. Des milliers de revues sont accessibles librement mais rares ont le prestige voulu pour les universités. S’ils veulent faire carrière, les chercheurs ne peuvent pas faire l’économie de publier leurs articles dans des revues prestigieuses, même s’ils n’ont pas toujours les moyens de lire leurs propres travaux. La plupart déploient des trésors d’ingéniosité pour consulter les articles sans avoir à débourser les quelque 30 dollars de droits de consultation imposés par la plupart des éditeurs.

  • Newspaper

    « Publier ou périr » : la faille éthique de cet impératif

    Press

    Julius Kravjar and Marek Hladík - University World News

    « Publier ou périr » : la faille éthique de cet impératif
    La revue par les pairs est la référence absolue des publications savantes tandis que le nombre d’articles publiés constitue souvent un indicateur majeur de performance pour un scientifique. La pression exercée est telle qu’un chercheur voudra à tout prix publier dans une revue qui propose un examen collégial de l’article avec, pour conséquence, l’apparition d’éditeurs ou de revues qui publieront, moyennant finance, des travaux non soumis à l’examen des pairs. Le blog Scholarly Open Access a établi une liste des éditeurs et des revues potentiellement « prédateurs » qui publient en accès ouvert.

  • Newspaper

    « Publier ou périr » : la faille éthique de cet impératif

    Press

    Julius Kravjar and Marek Hladík - University World News

    Savez-vous ce qu’on entend par des éditeurs ou des revues « prédateurs » ? Il s’agit d’individus ou d’entreprises qui publient, moyennant finance, des travaux non soumis à l’examen des pairs. Ils sont de plus en plus nombreux. Le blog Scholarly Open Access a établi une liste des éditeurs et des revues potentiellement « prédateurs » qui publient en accès ouvert.

  • Newspaper

    La Commission décide de bloquer l'utilisation d'éditeurs « prédateurs »

    Inde

    Press

    Ranjit Devraj - University World News

    Afin d'améliorer la qualité des publications scientifiques et de lutter contre les éditeurs académiques dits «prédateurs» - qui facturent les auteurs, mais ne fournissent pas un contrôle qualité adéquat ou donnent des indications inexactes quant à leur propre qualité – la Commission des subventions universitaires de l’inde (UGC) a publié des listes de revues agrées pour les publications de recherche. L'UGC, un organe statutaire qui supervise l'enseignement universitaire en Inde, lie désormais les promotions et le recrutement universitaires à son système d’Indicateurs de Performance Académique qui ne reconnaîtra que les articles publiés dans des revues figurant sur les listes homologuées.

  • Newspaper

    « Terroriste universitaire »

    Etats-Unis

    Press

    Inside Higher Ed - Carl Straumsheim

    Plusieurs mois après la suppression par un bibliothécaire universitaire des listes de journaux et d’éditeurs « prédateurs » qu’il avait publiées sur son blog, un site web contenant des commentaires insultants sur sa formation académique et sa santé mentale est toujours en ligne. Ce bibliothécaire de l’université du Colorado, à Denver, tenait à jour depuis plusieurs années des listes de revues et d’éditeurs universitaires qu’il estimait abusifs. Bien que controversées, ces listes étaient une mine d’informations pour nombre de chercheurs qui s’interrogeaient sur la légitimité d’une invitation à publier ou à intervenir à une conférence, arrivée dans leur boîte mail.

  • Newspaper

    De nouvelles orientations placent haut la barre des publications universitaires

    Kenya

    Press

    Wachira Kigotho - University World News

    La commission kényane pour l’enseignement supérieur a publié de nouvelles orientations strictes pour la nomination et la promotion du personnel académique, au sein d’un système qui met l’accent sur la publication de travaux dans des journaux réputés où ils sont relus par un comité de lecture, plutôt que dans des revues dites « prédatrices ». Si cette initiative vise à relever le niveau des articles, elle a soulevé certaines inquiétudes quant à la difficulté pour nombre d’universitaires du pays à se faire publier.

  • Newspaper

    Une enquête contre la « publication prédatrice » pourrait déboucher sur le retrait des subventions accordées pour la rédaction d’articles scientifiques

    Afrique du Sud

    Press

    Bekezela Phakathi - Business Day

    Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la formation va ouvrir une enquête à la suite de plaintes contre la surenchère de publications, qui pourrait déboucher sur le retrait des allocations versées pour les articles concernés. Selon une analyse de Stellenbosch University, les universitaires sud-africains ont publié plus de 4 200 articles dans 47 revues entre 2005 et 2014, une telle productivité pouvant s’apparenter au phénomène de « publication prédatrice ». Ce concept désigne la publication, par des éditeurs diffusant les travaux en accès libre, d’articles n’ayant pas fait l’objet d’une évaluation collégiale ou alors minime. Le gouvernement verse près de 100 000 rands à une université pour un article, à condition qu’il soit publié dans une revue accréditée par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la formation.

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