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    Exclusif: L’ACT augmente le prix des tests à l'étranger pour financer la lutte contre la tricherie

    Press

    Steve Stecklow and Alexandra Harney - Reuters

    L'auteur de l'examen d'entrée à l’université (ACT), qui lutte pour contenir une épidémie internationale de tricherie, augmente ses honoraires de 10 $ pour les candidats à l’étranger afin de payer des frais de sécurité accrus. L’ACT, une société sans but lucratif basée dans l’Iowa, a subi de graves revers concernant la sécurité au cours des derniers mois. Après la session d'octobre, l’ACT a annulé les résultats d’un nombre non précisé d'étudiants en Asie et en Océanie sur la partie écrite du test en raison d'une fuite.

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    Porte close pour les politiciens en quête de diplômes rapides

    Kenya

    Press

    Dave Opiyo and Raphael Wanjala - Daily Nation

    Les politiciens qui se bousculaient pour obtenir rapidement des diplômes avant les élections générales de l'année prochaine ont trouvé porte close. Une directive du Président kényan a indiqué jeudi que les étudiants universitaires doivent satisfaire aux exigences minimales d'admission et de temps de présence. Le ministère de l'Education a reçu l'ordre de mettre ces directives pleinement en œuvre. « Les universités qui ne tiennent pas compte de ces exigences seront traitées conformément à la loi », a déclaré le Président.

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    Comment des responsables des admissions dans certaines des plus grandes universités américaines se sont fait graisser la patte par des Chinois

    Etats-Unis, Chine

    Press

    Steve Stecklow, Renee Dudley, James Pomfret and Alexandra Harney - Reuters

    Une importante entreprise chinoise spécialisée dans l’éducation a déversé des milliers de dollars, en nature ou en espèces, sur les responsables des admissions dans les plus grandes universités américaines pour aider ses étudiants à y postuler. Selon huit anciens employés, les services de l’entreprise ne s’arrêtaient pas là : certains ont été amenés à rédiger les mémoires d’admission pour les élèves, à modifier les courriers de recommandation ou à changer les notes figurant sur les certificats d’étude. La capacité de cette entreprise à accéder aux grands établissements américains montre à quel point, de part et d’autre du Pacifique, on est anxieux de capitaliser sur cette appétence des étudiants chinois pour suivre un cursus aux États-Unis.

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    Des difficultés variables – le coût de la triche

    Cambodge

    Press

    Yesenia Amaro - The Phnom Penh Post

    Lorsqu’en 2014, le ministère de l’Éducation a introduit sa stricte politique de « tolérance zéro face à la triche » pour les élèves en fin d’études, la plupart de ceux qui, les années précédentes, avaient triché pour se frayer une place ont sans doute poussé un soupir de soulagement. Cette fermeté du ministère a été largement applaudie : comment justifier en effet un système dans lequel il suffit de tricher pour obtenir les meilleures notes ? Mais si les conditions d’entrée à l’université ont bel et bien été durcies, une fois dans le système supérieur, les choses n’ont guère changé : une fois admis (tout dépend des établissements, bien entendu), les possibilités de tricher sont les mêmes qu’avant. Ce qui veut dire que certains des 250 000 étudiants de l’enseignement supérieur n’ont pas besoin d’apprendre quoi que ce soit pour décrocher leur diplôme.

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    Mise en garde des étudiants contre des établissements non agréés

    Madagascar

    Press

    - University World News

    La ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche a mis en garde les nouveaux étudiants afin qu’ils aillent bien s’inscrire dans des établissements agréés et accrédités par l’État. Ces dernières années en effet, avec la hausse du nombre d’étudiants pouvant accéder à l’enseignement supérieur, un certain nombre d’établissements privés ont vu le jour pour compenser le manque de places dans le système public. Elle a rappelé que « le ministère se refusait à ratifier ou reconnaître des diplômes délivrés par des établissements non agréés ».

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    Les étudiants, victimes de la corruption et de l’ingérence politique dans un système éducatif vicié

    Inde

    Press

    Sushil Aaron - Hindustan Times

    En cette époque de résultats d’examens et d’inscriptions, la déréliction du système éducatif indien fait à nouveau la une de l’actualité. En effaçant une trentaine de notes pour les élèves de 12e année, le conseil éducatif du Pendjab a, par cet acte de bienveillance, permis à l’État de redorer son blason puisque le taux de passage a ainsi grimpé de 54 à 76 %. Au Gujarat, le taux de passage en 10e année est passé de 73 % en 2014-15 à 63 % cette année — un recul que le ministre de l’Éducation attribue à l’installation de caméras de vidéosurveillance dans les centres d’examens pour éviter la triche. Alors qu’ils avaient atteint plus de 80 % de l’objectif dans un devoir de mathématiques, un grand nombre d’élèves de 10e année interrogés une seconde fois ont été incapables de répondre à des questions élémentaires.

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    La Chine désigne et dénonce 30 fausses universités

    Chine

    Press

    - RT

    La Chine met en garde ses étudiants, les invitant à ne pas succomber aux charmes des universités bidon. Dans la foulée de l’examen annuel d’entrée à l’université, en juin, un site d’information vient de publier une liste de 30 noms. C’est la sixième du genre. Se faire passer pour une université est apparemment simple comme bonjour et les autorités s’inquiètent d’avoir de plus en plus de mal à détecter les fraudeurs. Selon Xinhua, une bonne dizaine de provinces et de régions, parmi lesquelles Beijing et Shanghai, figurent dans la liste publiée sur sdaxue.com, un site web sur l’éducation. Les 30 nouvelles venues s’ajoutent à une longue liste qui comprend déjà 400 noms depuis 2013.

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    L’Algérie bloque les réseaux sociaux pour empêcher la triche aux examens

    Algérie

    Press

    - BBC News

    Le gouvernement algérien a temporairement bloqué l’accès aux réseaux sociaux dans tout le pays pour tenter d’endiguer la triche aux examens du secondaire. Selon des responsables interrogés par l’agence d’informations APS, cette décision a été prise pour protéger les étudiants contre la publication de « questions bidon sur ces réseaux ». Pratiquement la moitié des élèves sont obligés de repasser leur baccalauréat à compter de dimanche prochain, les épreuves ayant été entachées par une fraude massive en ligne.

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    La fuite des sujets d’examen donne lieu à des arrestations pour fraude

    Algérie, Maroc

    Press

    Jane Marshall - University World News

    En Algérie, la gendarmerie a procédé à des « dizaines d’arrestations » de fonctionnaires, d’enseignants et de responsables de centres d’examen, accusés d’avoir fraudé. Des sujets d’examen avaient été diffusés sur les réseaux sociaux, à travers plus de 150 comptes Facebook, ce qui a facilité l’identification et l’arrestation des contrevenants. Dans le même temps, 53 personnes ont été arrêtées dans plusieurs villes du Maroc, accusées d’avoir participé à une fraude au baccalauréat. Parmi eux, 22 administrateurs de tchat sur les réseaux sociaux et de sites qui auraient, moyennant une rétribution, fait fuiter les sujets d’examen et les corrections.

  • Newspaper

    La fuite des sujets et des corrections perturbe les examens nationaux

    Egypte, Algérie

    Press

    Jacob Wirtschafter - Al Fanar Media

    La divulgation en ligne des sujets d’examen d’entrée à l’université a provoqué d’incroyables perturbations en Égypte et en Algérie. Malgré l’engagement des autorités des deux pays à sécuriser les examens, certains sujets fuitent depuis plusieurs années, avant les épreuves. Un décret du président Abdel Fattah El-Sisi, publié en octobre, appelle à des peines d’emprisonnement pour quiconque divulgue sans autorisation les sujets d’examen. Mais cela n’a pas servi à grand-chose face à plusieurs groupes Facebook qui ont, ensemble, publié les sujets d’examen.

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