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  • Étudiants et universitaires chinois discutent de solutions pour éradiquer la corruption dans les systèmes d’éducation

    News

    À l’invitation de la Communication University of China (CUC), l’IIPE a donné une série de conférences sur la lutte contre la corruption dans l’éducation sur le campus de la CUC, à Beijing, et a participé à un forum sur l’intégrité académique réunissant 100 universités chinoises.

  • Newspaper

    Les robots provoquent un débat autour de l’éthique dans la recherche sur l’IA en Asie

    Chine

    Press

    Yojana Sharma - University World News

    En Chine comme dans d’autres pays d’Asie, les universités rejoignent tardivement les alliances internationales visant à promouvoir des pratiques éthiques en matière d’intelligence artificielle (IA), qui jusque-là été étudiée dans les centres de recherche universitaires sans vision d’ensemble. De fait, il n’existe toujours pas de directives et de normes internationales relatives à l’éthique dans la recherche, la conception et l’utilisation de systèmes automatisés et de l’AI. Les universités chinoises en particulier produisent un grand nombre de chercheurs spécialisés dans l’IA qui choisissent aujourd’hui de rester dans leur pays pour travailler dans des géants locaux de la technologie, comme Alibaba, Tencent ou Baidu – des entreprises qui collectent et exploitent une masse de données personnelles de leurs clients sans véritables garde-fous juridiques.

  • Newspaper

    Un risque accru de fraude académique sur fond de concurrence renforcée : experts

    Singapour

    Press

    Yuen Sin - The Straits Times

    Avec le durcissement de la concurrence entre les universités du pays, Singapour pourrait plus que jamais être victime de fraude académique. Le risque a toujours été là, mais la pression exercée sur les chercheurs, qui doivent « publier ou périr », s’accentue depuis quelques années avec la reconnaissance internationale grandissante de la National University of Singapore (NUS) et de la Nanyang Technological University (NTU), notamment dans le très influent palmarès du Times Higher Education. La qualité de la recherche et des résultats publiés joue un rôle clé dans cette évaluation, ce qui oblige les universitaires à imprimer leur marque.

  • Newspaper

    Des chercheurs néerlandais recyclent leurs textes

    Pays-Bas

    Press

    Debora Weber-Wulff - Copy, Shake, Paste

    Le 24 septembre 2017, le journal néerlandais de Volkskrant indiquait qu’un groupe de chercheurs de Nimègue enquêtait sur des cas d’auto-plagiat (zelfplagiaat). Le groupe, composé de doctorants placés sous la houlette de leur enseignant en sociologie des sciences, a analysé 922 publications récentes de chercheurs du pays. En économie, 14 % des articles reprenaient des textes tirés de publications précédentes de l’(des) auteur(s), contre 5 % en psychologie. Le groupe a découvert dans le même numéro d’une revue un article republié tel quel, à un changement minime près, et deux autres articles quasiment identiques du même auteur. Il a également constaté que plus les chercheurs publient, plus ils ont tendance à recycler leurs textes.

  • Newspaper

    Un chirurgien pour célébrités a affirmé à tort avoir implanté avec succès des trachées artificielles, révèle une étude

    Suède

    Press

    Lee Roden - The Local

    L’organisme suédois chargé d’évaluer les travaux de recherche a accusé un chirurgien touché par un scandale de fraude académique pour avoir décrit de manière trompeuse dans une série d’articles scientifiques des implantations soi-disant réussies de la trachée. En 2014, quatre médecins du Stockholm’s Karolinska University Hospital l’avaient dénoncé au président alors en poste du Karolinska Institute (KI) pour avoir présenté ces implantations de manière fallacieuse dans différentes revues scientifiques. En 2015, les articles ont été étudiés par le professeur en chirurgie de l’Uppsala University, qui a conclu que le chirurgien était coupable de fraude académique, alors que l’évaluation du KI visait à le blanchir, lui et ses co-auteurs.

  • Newspaper

    La QAA aide les universités à lutter contre le recours frauduleux à des tiers

    Royaume Uni

    Press

    Brendan O'Malley - University World News

    L’organisme indépendant chargé du contrôle de la qualité dans l’enseignement supérieur au Royaume-Uni, la QAA, vient de publier de nouvelles directives sur la manière de combattre le recours frauduleux à des tiers (ou contract cheating) par des étudiants qui, moyennant finance, font exécuter par une entreprise ou un particulier un travail qu’ils s’attribueront ensuite. On qualifie souvent d’« usines à thèses » ces structures, qui utilisent en général Internet pour vanter leurs services et récupérer des commandes, mais elles peuvent aussi effectuer des recherches pour leur client, faire ses exercices ou passer des examens à sa place. L’agence souligne « qu’aucune donnée britannique ne permet de corroborer » l’idée assez répandue selon laquelle cette forme de triche serait plus fréquente chez les étudiants étrangers que chez les étudiants britanniques.

  • Newspaper

    Les « points chauds » de la fraude : réprimer le recours frauduleux à des tiers dans les universités

    Press

    Henrietta Cook - Sydney Morning Herald

    Les universités sont instamment priées de bloquer les sites Internet qui commercialisent des thèses, mais aussi de repérer les « points chauds » de la fraude et de publier des informations sur les cas de violation de l’intégrité académique. Face au phénomène grandissant du recours à des tiers (ou contract cheating), qui conduit des étudiants à sous-traiter les contrôles de connaissances, l’autorité australienne chargée de surveiller l’enseignement supérieur a dévoilé de nouvelles directives pour le combattre. Selon une enquête récente menée par un professeur associé de l’University of South Australia, qui a participé à l’élaboration de ces directives, 6 % des étudiants australiens pratiquent une forme de triche.

  • Newspaper

    Une enquête contre la « publication prédatrice » pourrait déboucher sur le retrait des subventions accordées pour la rédaction d’articles scientifiques

    Afrique du Sud

    Press

    Bekezela Phakathi - Business Day

    Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la formation va ouvrir une enquête à la suite de plaintes contre la surenchère de publications, qui pourrait déboucher sur le retrait des allocations versées pour les articles concernés. Selon une analyse de Stellenbosch University, les universitaires sud-africains ont publié plus de 4 200 articles dans 47 revues entre 2005 et 2014, une telle productivité pouvant s’apparenter au phénomène de « publication prédatrice ». Ce concept désigne la publication, par des éditeurs diffusant les travaux en accès libre, d’articles n’ayant pas fait l’objet d’une évaluation collégiale ou alors minime. Le gouvernement verse près de 100 000 rands à une université pour un article, à condition qu’il soit publié dans une revue accréditée par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la formation.

  • Newspaper

    L’UGC élabore une nouvelle politique de lutte contre le plagiat universitaire

    Inde

    Press

    Anisha Singh - NDTV

    L’University Grants Commission (UGC) vient de révéler son projet de loi pour la promotion de l’intégrité académique et la prévention du plagiat dans les établissements d’enseignement supérieur. Comme son nom l’indique, ce nouveau texte vise à sensibiliser les universitaires à la recherche responsable et à prévenir les comportements non professionnels, y compris le plagiat dans les publications savantes. L’UGC entend également introduire un mécanisme institutionnel de promotion de l’intégrité académique et des systèmes de détection et de prévention du plagiat.

  • Newspaper

    L’agence nationale s’allie aux universitaires pour combattre la corruption

    Nigéria

    Press

    Jackie Opara - University World News

    L’agence nationale de lutte contre la corruption et la National Universities Commission (NUC) ont décidé de parrainer ensemble 20 thèses de doctorat abordant la question de la corruption au cours des dix prochaines années et de créer un cours sur ce thème pour tous les étudiants de premier cycle. Selon le chef de l’Economic and Financial Crimes Commission, les étudiants sont une cible stratégique pour les actions de formation et de sensibilisation sur la corruption, ce qui explique que la commission soutienne ce type de recherches à travers des bourses d’études ainsi qu’un cursus de lutte contre la corruption pour tous les étudiants de premier cycle.

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